tw: notion rapides de trafic, accident de la route et perte de mémoires.

les ailes brûlés si rapidement, tandis que la naissance plonge les espoirs dans ce que le paternel ne voulait. puisque le corps sonne différent, petite demoiselle sortant des accords de la maternelle. amertume du monsieur, tendrement arrêté au premier sourire de la nouveauté. puisqu'elle a toujours eu ce don de la douceur, le baiser des anges sur ses traits et les rimes soyeuses sur son front. divine violence, que les cieux aient pu offrir l'enveloppe de chair dans un destin aussi tragique, les jeux sont démons. les affaires louches, qu'il ne faudrait que les chairs s'observent de leur pourriture à ce rythme. l'argent arraché, héritage des valeurs de la santé voulant cacher les marchandises des épidermes. commerce illégal, à la couverture beauté, il n'y a que des massacres dans lesquels elle s'est chutée. père masque les entités, sans que mère ne le sache.

pouvons-nous tromper de notre réalité.

angélique enfant, qu'elle grandit à la vitesse de la lumière, dans les prunelles des observateurs. les airs de sa mélodie enchante les alentours, tandis que la symphonies de ses expressions sont à jamais expressions de sa définition. elle est précieuse, la gamine attrapant les salutations divinations. les jours évolues, imagerie ne fait que s'améliorer aux yeux de la société. et pourtant, au fond, nanami est une fleur aux pétales ne voulant se dévoiler. les vocales fragiles, à l'indifférence de communiquer. la petite est silencieuse étoile, à la lumière sans traduction. rares sont les vocabulaires osant sortir de ses lippes, s'ils arrivent déjà à se monter en lunaire. princesse de glace, à la délicatesse des flocons. le monde fait pression par l'entendre, mais rien ne sort. puisqu'elle ne sait faire qu'écouter, les secrets vagabonds qu'elle ne devrait pas.

maman, papa parle de vendre les autres.

orage qu'elle a crée, par les paroles qu'ils ont toujours demandé. offrande réalisé, au poison que les dieux voulaient s'en amuser. les mots maudits, à l'esquisse d'une guerre entre les éléments de famille. ô, fatal arme qu'elle a été ! nanami n'est que poupée de leur dessin, aux formes qu'il faudrait modifier. trop curieuse, connaissant ce qu'elle ne peut exprimer. maîtresse de l'apocalypse, alors que les créatures ont choisis de s'évader. décision de la maternel, réagissant dans la hâte de sauver les devoirs de son titre. famille différente, fuyant les échanges qui pourraient détruire l'harmonie de leur séjour. trésor de cette terre, là où les sourires peuvent accueillir les personnages nuageux.

courir loin des vérités, à se noyer de mensonges.

territoire de renaissance, à la merveille des poésies; les espérances posées sur cette rosée, ravissante de son insomnie. les enjeux à récupérer, pour sauver les honneurs des aînés. abandonnée de ses choix, prisonnière d'une once qu'elle doit embraser. puisqu'ils ont anéanti les alignements, fleuret doit devenir arabesques d'un inconnu. héritière de ce péché, les ronces se glissent contre sa peau pour mieux la capturer. qu'on lui donne l'ordre d'accepter, mais caractère ne veut se laisser jusqu'à que maternelle chante les augures réservés si chemin n'est guère serré. et le pulsant a mal, blessure de possiblement être coupable de malheurs frappeurs. qu'elle est sucrerie, les songes lyriques se sacrifiant pour ses aimées qui l'ont assassiné.

parce que tu brilles toujours des bontés.

la pureté dans la sagesse du corps fâché. polaire nymphe, regardant son chevalier comme tunnel dans lequel son euphorie allait se dérober. gravité, qu'elle préfère toujours être prêtresse des douleurs plutôt que ses appréciées. alors, l'anneau se file, sur sa phalange tremblante. sûre d'elle, muse des saisons dansant à s'enivrer. la candeur lui devine les lien. et, tandis que les temporels ne sont que s'avancer, les battements commencent à s'accorder. mauvais augure, à la composition des plus belles comptines. le devoir a laissé les répliques à leur signification quand les entités ont fini par s'animer d'une même émotion; nécessité d'être à ses côtés.

ma vitalité est programmée, mais jamais de tomber.

prises par volonté, royaume lui aurait demandé. mais la demoiselle a toujours aimé les vestiges de son corporel, le santé à son futur métier. à la connaissance de ses mystères, dynamiques de sa réussite. comme impératrice de cet univers, couronnée de gloire par la route empruntée. l'une des meilleures élèves de sa promotion, le travail sérieux et les recherches à la gourmandise de l'apprentissage. il y a eu des instants de batailles, où le parcours n'était plus aussi certain. mais la terminaison à la maîtrise de continuer, alors nanami s'est ensorcelée de ce monde.

et si les canzones ne se déchiraient pas ?

l'une à l'autre, les violences de mots. caprice des cieux, à l'appel d'animation. alors, qu'on ordonne destruction ! tout n'est que brume, dans l'objet de cristal et de technologie. les notions se balancent entre eux, piques à sa carte pour sa dévastation. qu'il aurait fallu que les nuances pleurent d'en haut pour que les présences souffrent plutôt que rirent, ô furies ! brouillon de ce qu'il s'est passé, néant à l'existence de ses pensées. chute des comètes sur les esprits aimants. déchéance ! qu'elle ne fût que carcasse dans la cage d'avancement, évolution transformant la facilité en possible finalité. cendres, elle n'est plus la nymphe, mais fantôme de son coryphée.

j'ai choisi de te laisser m'a(b)imer.

qui es-tu ?
je ne me souviens pas de toi.
mon fiancé ?
j'ai peur de ce que je ne sais plus.
c'est terminé, je ne veux pas de toi, je ne sais pas qui es-tu.
bague envolée.
oublies moi.
comme je t'ai oublié.

adieu.
viens à ma poursuite, je veux fuir avec toi.