＊. petite merveille. bébé sans hurlement (le genre qui offre mille sourires aux passants). keiko gazouille dans les bras de sa sœur, une miu enchantée prenant son rôle très à cœur. tous les soirs, l'aînée vient compter des histoires à la nouvelle arrivée... lui promet d'être toujours à ses côtés.

＊. grandir main dans la main - miu pour terrible modèle qui emmène keiko dans les mauvais coups (tente même de la faire passer pour responsable peu crédible de ses bêtises). le rire l'emporte éternellement, la cadette admire la fougue de drôle de terreur qui lui serre de sœur.

＊. spectatrice juvénile dans la descente aux enfers de sa sœur; incapable de trouver les mots (fantasme impossible). miu, tu crois pas que tu vas un peu trop loin ? rolling eyes en écho de ses inquiétudes - terreur de la perdre. trois fois sa pink lady est envoyée en rehab (pas de mieux). avant de se faire virer de la maison, ce malgré les supplications de keiko.

＊. contact rompu; des nouvelles lointaines qui assure à keiko la survie de sa sœur. les rares rencontres sont dramatiques, miu ne cessant de consommer - tente de la préserver en l'éloignant d'elle au maximum (ça hurle, ça repousse là où keiko s'accroche). ses parents lui interdisent aussi de s'approcher de l'aînée poison (tentative de protection)... colère monte face à ces décisions que l'on prend pour elle: impression qu'on lui brise les ailes.

＊.

— miu prend des nouvelles de keiko par le biais d'un ami de la cadette qu'elle coince et force à parler (drôle de malfrat) — mélange chez keiko de peine et de colère. à n'en plus savoir sur quel pied danser avec sa sœur. — la demoiselle a récemment quitté la maison des iyo pour prendre son 'indépendance' (en restant financièrement sous leur joute). — elle n'en veut plus à ses parents pour avoir viré miu: la rancune s'est envolée, keiko comprend qu'ils ne savaient plus quoi faire. — voix d'ange — rire enfantin - cœur d'une adulte.