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(#) Sujet: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 22:39
Cha In Beom
What did you do yesterday ?
Profil
nom : Cha prénom : In Beom âge : 23 ans lieu & date de naissance : 1er Juin 1993 origines : Parfaite union des deux Corées. nationalité : Sud-Coréen cursus : Médecine - 4ème année. métier : Livreur de Pizza - Escroc situation financière : Aisée orientation :Hétérosexuel souhaites-tu rejoindre une société ? (voir ici) : Melted à la vie à la mort note ; à savoir que le choix s'effectue par lancement de dé lors de la validation.
❯ AnecdotesSes parents sont divorcés • Sa mère est une réfugiée Nord-Coréenne • On dit qu'elle était déjà enceinte lorsqu'elle est arrivée en Corée du Sud, et qu'elle s'est mariée après sa naissance. • Il a un petit frère, Bang In Ho, ils n'ont pas le même père • Il a déjà tenté d'abuser d'une fille en utilisant du GHB. • Il s'est fait tabassé suite à ça. • Sa vie comporte deux secrets. • Sa tante est morte de la chorée de Huntington quand elle avait 18 ans. • C'est un nageur doué, espoir national. • Il est malin et vicieux. • Il n'aime pas le café. • Il adore les animés japonais et les mangas. • Il a une très bonne hygiène de vie et insiste pour dormir et manger correctement. Cela entretient son corps, sa beauté, et son intelligence, selon ses propres dires. • Il est instinctif • Il a sans arrêt l’impression intime que le temps lui est compté. • Il pense qu’il vivra vieux parce qu’il vit sainement. • Il est maladroit. • Il a toujours les mains qui tremblent. Ça empire lorsqu’il est fatigué, ou qu’il boit du café. • Il est gaucher. • Il est frivole et cumule parfois plusieurs petites amies simultanément. • Il n'a pas peur de prendre des gifles. • Il ne se défait jamais de son sourire railleur. • Il a essayé plusieurs teintes de cheveux. • Son père est un marginal alcoolique. • Il largue toujours ses copines par SMS, si elles ne le quittent pas avant. Il a un sms pré-écrit qu’il copie-colle à chaque fois. • Il est doué pour manipuler les gens et se faire plaindre. Il est capable de retourner en quelques mots une situation et de se faire passer pour la victime. • C'est une drama queen. • Il adore mater les chanteuses de girlsbands. • Il fantasme secrètement sur la présidente des Firestones et aurait voulu être membre de cette société. • Il pense que Park Bora est une planche à pain. • Il pense qu’Han Ja est un rival parce qu’il est presque aussi beau que lui. • Il dort la bouche ouverte. • Il est plus salé que sucré. • Le seul écart à son hygiène de vie est l'alcool. • C'est un trés mauvais danseur. • Il est trop franc. • In Beom est un pur connard, mais il est fidèle à ceux qu'il aime et ne fera jamais de mal à ses proches. • Lorsqu’il était enfant, il était timide et craintif. • Il ne paye jamais les transports en commun et connait toutes les ficelles de la fraude. • Il a un ami dans la police. • Une de ses cousines est une hackeuse douée. • Il se voit bien comme un Clyde, mais il lui manque une Bonnie. • Il est fan de Captain America. • Il a hâte de faire son service militaire, mais est effrayé de tenir une arme. • Il pense qu’il pourrait tuer quelqu’un si on touche à ceux qu’il aime. • Il ne drague jamais les sœurs et les mères de ses amis. • Il est très exigeant envers lui-même et envers les autres. • Il ne tolère aucune faute. • In Beom pense qu’il est si beau qu’il pourrait plaire même aux hommes. • Il a peur du feu. • Sa couleur préférée est le rose. Il trouve ça très masculin. • Il a son permis de conduire mais pas de voiture. Il se déplace le plus souvent en scooter.
Caractère
MALIN
MALHONNÊTE
ARROGANT
BLUFFEUR
OUVERT
HYPOCRITE
ROMANTIQUE
LÂCHE
CALME
DELOYAL
Le sourire railleur, la figure espiègle, In Beom n’est pas une personne dont on se méfie de prime abord. Il a cette jovialité irradiante qui lui confère cette réputation de clown de la classe de puis le plus jeune âge. Vif et malin, il parle en zozotant un peu, même s’il a appris à le réduire. Ça le rend amusant, et il aime qu’on rit de lui. A ses yeux, un homme avec de l’humour est un homme séduisant. Il est sûr de lui et audacieux, trop même. Il impose son style et prend un soin particulier à renvoyer une image impeccable de sa personne. C’est un manipulateur aguerri, capable de pire comme du meilleur. Farceur voir voleur, escroc sans scrupule, il serait capable d’arnaquer une grand-mère sans la moindre hésitation. Il prend ce qu’il estime lui être du, pour son confort personnel. In Beom pense que chaque être humain est capable, par son égoïsme naturel et souvent refoulé, de subvenir à ses besoins. Chacun prend ce dont il a envie, besoin, avec plus ou moins d’honnêteté, et c’est en cela qu’il se considère comme différent. Il assume son avidité et son hypocrisie. Il se moque de passer pour un sale type auprès d’une poignée de frustrées féministes, parce qu’il prend et jette les jeunes filles selon ses désirs. Il y aura toujours l’autre moitié pour lui tomber dans les bras. Oui, In Beom ne doute de rien, et n’a aucune considération. Cumuler les petites amies est fréquent pour lui. Prétendre que c’est un sale con … c’est vrai. En revanche, contrairement à ce qu’on pourrait penser, il ne fait jamais rien pour blesser les gens. Simplement pour son propre plaisir. N’en doutez pas, mais c’est un excellent petit ami, qui sait donner de l’importance à ses conquêtes. Il est capable de rendre les gens uniques, même s’ils ne le sont pas à ses yeux. Romantique et doux, il a toujours un mot gentil pour les gens qu’il aime, même le plus brièvement. Il a du respect pour les gens en tant qu’êtres humains. Pas pour les personnes dans leur individualité. C’est un jeune homme romantique et épris de justice, ouvert et tolérant. Tolérant sauf pour une chose. Il n’accepte pas les erreurs, ni de sa part, ni de celle des autres. Le décevoir c’est le perdre. Comme il ne s’attache pas aux gens, il lui est facile de partir, en dépit des sentiments qu’on peut lui porter. C’est un ami fidèle. Contrairement à ses copines, il ne change pas souvent de bande, et garde les mêmes depuis le lycée, voir avant. Pour les gens qu’il aime, pour ce cercle très fermé de famille et d’amis, il est le plus aimant et le plus respectueux. C’est un fils dévoué et affectueux, un frère complice, un pote disponible. Ces gens-là, ceux qui sont nécessaires à son bonheur, il ne les trahira jamais. In Beom a besoin de leur confiance pour avancer, pour s’affirmer. On ne rentre pas facilement dans son cœur, mais lorsqu’on y est, on y reste. Il aime de deux façons. L’amour profond et l’amour superficielle, celui qui se gagne et celui qui s’achète. Alors oui, In Beom est aux yeux du monde un garçon arrogant, un sportif hautain, un bluffeur né. Il est hypocrite en un sens, et méchamment honnête dans un autre. Il est lâche et déloyal. Dire les choses en faces, ce n’est pas pour lui. Subir les pleurs des autres, il n’en veut pas. Ça commence par un baiser, une étreinte, et ça fini par un sms bien sentit, le même qu’il copie-colle à chaque rupture. Il n’a pas d’illusion, In Beom pense qu’il connait le monde. In Beom pense qu’il ne faut pas rêver, juste savoir, et s’adapter. Il croit en l’intelligence viscéral, celle qu’on appelle l’instinct. Ce qu’il fait, c’est juste survivre, sur le dos des gens. S’ils sont trop faibles pour l’imiter, ils ne resteront que des proies, pour lui, et les autres. In Beom n’est pas une proie. Il a des hautes attentes à satisfaire, une jeunesse à savourer, avant d’être vieux et faible, avant d’être laid et dément. Avant que la mort qu’il craint trop ne vienne cueillir ce qui est nécessaire à son bonheur. Il veut courir le plus loin possible tant que son corps n’est pas fourbu, quitte à abandonner sur le tas ses camarades au désir trop chétif.
Histoire
13 Février 1991 – No Jin Kyung Le fleuve est derrière nous. Enfin. J’écris depuis la rive Chinoise, pour la première fois. Nous sommes trempés, car le bateau s’est renversé quelques mètres avant l’arrivée. Jin Ha a froid, elle pleure depuis qu’on a posé pied à terre. Jin Hyun va bien, il la rassure. Il essaye. C’est allé si vite, on a à peine pu dire au revoir à Maman. Papa ne nous reconnait plus, il délirait de nouveau lorsque nous avons quitté la maison. On savait tous qu’on partirait, mais ni Jin Ah ni moi n’imaginions que ce serait si tôt. Jin Hyun nous a pressé. C’était le moment selon lui, le passeur était prêt. Il a déserté l’armée pour venir nous chercher, il risquait sa vie si nous n’avions pas disparus avant l’aube. Les adieux ont été abrégés, on est partis sans rien sur le dos, juste quelques repas offerts à la hâte par Maman.
Les passeurs nous ont demandé d’attendre ici. En plus de mon frère et ma sœur, trois hommes et une femme nous accompagnent. On a tous froid, et peur. Il a encore neigé dans la nuit, et maintenant, le soleil se lève. C’est étrange de le voir de ce côté-ci du monde. Jin Hyun m’a demandé d’écrire, il veut qu’on retranscrive tout. Pour pouvoir raconter plus tard, dit-il. Je pense qu’il est soulagé d’être parti. L’armé l’excédait, les crises de Papa le rendait fou. On devenait tous fous, de le voir mourir. Maman devra être forte sans nous.
La seule qui ne comprend pas, c’est Jin Ah, celle pour qui on fait tout ça. Nous on sait, que c’est important pour elle. Elle est malade, malade comme Papa. Au Nord, ils ne sauront pas la soigner. L’espoir est au Sud, alors on l’emmène là-bas. Ma sœur est encore jeune, elle est têtue et inconsciente, mais elle ne mourra pas, on la sauvera.
19 Février 1991 – No Jin Ah Jin Kyung est malade, elle m’a dit que je devais écrire pour elle. Elle sait que je n’aime pas ça, mais puisqu’elle est au lit, je vais le faire pour elle. Qu’est-ce que je dois écrire au juste ? Des choses sur notre vie ? On a quitté la maison depuis six jours. Après des heures dans le froid, ils sont venus nous cueillir sur la berge, et on nous a emmené ici. C’est d’avantage une cave qu’une maison, mais les passeurs disent qu’on doit rester en Chine encore un peu, avant d’aller au Sud. Pour payer notre dette. Ici c’est l’enfer. On ne comprend pas la langue, on vit entassé dans une chambre exiguë, sans fenêtre. Maman me manque. Jin Hyun est allé travailler, il rentre chaque soir plus fatigué. Jin Kyung est tombée malade après être tombée dans le fleuve. Elle a eu beaucoup de fièvre, mais elle va mieux maintenant. Les logeurs disent qu’elle devra aller travailler elle aussi. Moi on m’ignore, je reste toute seule dans la chambre, je n’ai pas le droit d’en sortir.
Je voudrais rentrer chez moi.
3 Mars 1992 – No Jin Ah Je m’ennuie à mourir. Jin Hyun et Jin Kyung sont sortis travailler, je ne peux toujours pas aller avec eux. Les logeurs disent que dans quelques mois, peut-être un an, je serais assez grande. C’est idiot, on ne restera pas jusqu’ici, on doit partir au Sud. Mon frère m’a apporté un livre, mais il est en Chinois, je ne comprends pas. A la place, j’écris. Quand on relira cette histoire, je veux qu'n se souviennent de qui on était à l'époque. Je m’appelle No Jin Ah, j’ai quinze ans. Ce n’est pas pour être prétentieuse, mais on dit toujours que je suis bien plus jolie que ma sœur. J’aime lire, et j’ai hâte de me marier. Je voudrais avoir des enfants, trois, et enseigner le Coréen dans une école. Ma sœur dit qu’au Sud, je pourrais le faire, quand on m’aura donné un médicament. Ma sœur ainée s’appelle No Jin Kyung. Elle a vingt ans, mais on lui en donnerait cinquante, tant elle est assommante. Elle est plutôt belle, mais moins que moi. En fait elle ressemble vraiment à notre mère. Jin Kyung rêve d’étudier, et de devenir comme un homme, comme Jin Hyun. Jin Hyun c’est notre grand-frère. Lui a vingt-deux ans. Il est vraiment très grand par rapport aux autres hommes, il est très amusant. On dirait qu’il ne sait pas qui faire de ses grandes pattes. Jin Hyun était un soldat, mais il détestait ça. Lui aussi voudrait étudier, pas se battre. Ils disent qu’on est parti pour moi, pour me guérir et que je ne finisse pas comme Papa. C’est vrai qu’il devenait effrayant, il ne marchait même plus. Au Sud, ils auront des médicaments pour moi.
19 Juin 1992 – No Jin Hyun Qu’est-ce que j’ai fait. J’ai arraché mes sœurs à notre vie en leur promettant une vie meilleure. On m’avait dit que traverser ce fleuve rendait tous les miracles possibles, mais ici, c’est l’enfer. On doit rembourser une dette dont on ne connait pas le montant. Un an et demi qu’on vit en Chine, dans cette cave. Un an et demi que l’état de Jin Ah se dégrade tout doucement. Elle ne le voit pas, mais on le remarque, elle perd l’équilibre, elle parle mal. Jin Kyung est inquiète. Elle va aussi mal que Papa lorsque tout a commencé, et pourtant, elle est beaucoup plus jeune. Quel genre de virus ont-ils attrapé ? J’ai honte. Ma naïveté nous a mis dans une situation terrible. Je m’en sors sûrement le mieux. On me fait travailler jusqu’à la nuit sur les chantiers. Les logeurs ont fait engager Jin Kyung dans une maison de la ville, ou elle vend son corps à des hommes pour quelques pièces. Elle encaisse mais vieillit. Mes ses bonnes joues ont fondues. Mais à présent, c’est Jin Ah qu’ils font travailler là-bas. Jin Kyung est furieuse, mais que peut-elle faire, ils menacent de nous livrer au nord si elle refuse. Je regrette tant. On ne s’échappera pas, on a juste trouvé pire que l’enfer.
29 Décembre 1992 – No Jin Ah Je pense qu’on ne quittera jamais la Chine. Jin Kyung n’en peut plus, et je suis fatiguée, si fatiguée. J’ai perdu mes rêves dans ce désastre.
6 février 1994 – No Jin Kyung Ce vieux journal était tombé dans l’oubli. A vrai dire je pensais qu’il avait été perdu, laissé dans cette cave en Chine. Cette tête en l’air de Jin Ah l’avait laissé dans la poche intérieure de son manteau. On a quitté la Chine. Ça va presque faire 8 mois. Là-bas j’ai rencontré un Sud-Coréen, Cha Do Sik. Je crois qu’il m’a aimé, parce qu’il est revenu plusieurs fois. On se rencontrait tard la nuit, il me promettait de nous sortir d’ici, moi et ma fratrie. Il avait l’air peureux et doux, mais finalement, il n’a pas failli à sa promesse. Après deux mois, on avait des Visa pour le Sud. On peut enfin vivre dignement. On est parti à trois, il y a trois ans. On est arrivé à destination, tardivement, et à quatre. La naissance d’In Beom n’était pas prévue. A vrai dire, je ne peux pas vraiment dire que c’était une bonne surprise, ça a tout précipité, mais maintenant qu’il est là, on ne peut que l’aimer. On était seulement à Séoul depuis quelques semaines quand il est né. J’ai épousé Do Sik, à la hâte. Mais c’est un père sûr et un mari agréable. Après notre arrivé en Corée du Sud, il a quitté son travail pour m’aider à m’occuper du bébé. Jin Hyun et moi avons commencé des études. Jin Ah ne guérira pas. Quelques mois avant la naissance d’In Beom, sa santé c’est brusquement dégradée. Elle marchait de plus en plus mal, et faisait des cauchemars terribles. Elle faiblissait de semaine en semaine. A notre arrivée à Séoul, on l’a conduit chez le médecin. Ils nous ont dit que sa maladie n’était pas un virus. Qu’aucun médicament ne la soignerait. On nait et on meurt malade, inéluctablement. Jin Ah adorait In Beom. Elle l’a bercé plus longtemps que n’importe qui. Elle aurait été une belle petite maman, elle qui avait tant rêvé d’avoir son propre enfant. Jin Ah est morte il y a deux mois. Tout ce voyage, toute cette souffrance, n’auront fait que la tuer plus vite. Jin Hyun est inconsolable. De nous trois, elle était celle qui méritait le plus de vivre encore, de voir ses rêves se réaliser. Jin Ah méritait la vie simple qu’elle s’imaginait. Mais même au Sud, les gens meurent.
La suite de l’histoire, c’est In Beom qui grandit, un parfait petit sud-coréen, éduqué et gâté. Son enfance ne ressemblera pas à celle de sa tante. C’était un garçon calme, maladroit et peureux. Il tombait beaucoup, imprime ses genoux de cicatrices. L’enfant In Beom était bien différent de l’homme qu’il est devenu. Froussard, timide, maigre et nerveux, il est marqué par des terreurs nocturnes violentes qui lui laissèrent depuis une sainte terreur de la mort. Malgré l’amour de ses parents, l’ambiance du foyer se dégradait de jours en jours, et le stress, invisible et ravageur, se répercutait sur le psychique du garçonnet. Chaque nuit il se sentait mourir, dévorer par des ombres terrifiantes. Il paniquait souvent, l’épuisement asséchait son petit corps. C’est probablement cet état qui accéléra la chute du couple Cha-No. Rien n’allait plus depuis longtemps d’une certaine manière. Son père était un mari aimant et un père doux, mais il était lâche, sans ambitions et aveuglé par le doute. Il travaillait dans une grande entreprise de Séoul, comme un petit employé de bureau. Un boulot assez peu épanouissant, mais qui lui garantissait un salaire confortable, et surtout, l’anonymat qu’il désirait tant. Se fondre dans la masse, n’être qu’un parmi des centaines d’autres. C’est ce salaire qui permit à Jin Kyung de mener à bien ses études. In Beom avait des parents occupés. Il passa une large partie de son enfance dans le foyer de son oncle, Jin Hyun, et de sa femme. Sa tante par alliance s’occupait de lui avec ses propres enfants, pour dégager du temps à sa mère qui étudiait jusque tard le soir. Son oncle s’était aussi bien intégré que possible dans sa nouvelle patrie, même s’il était bien plus mélancolique que sa sœur cadette. Il gardait en lui la frustration de n’avoir pu en sauver qu’une. Jin Hyun était celui qui parlait le plus de Jin Ah, et qui transmis à In Beom la plus grosse partie du souvenir de la jeune femme. Jin Kyung évitait généralement de la mentionner.
Pour un garçon de cinq ans, l’histoire rocambolesque et tragique de sa famille maternelle n’avait que peu d’intérêt, et pour être tout à fait honnête, il ne développa jamais réellement de curiosité pour ces années désastreuses qui précédèrent sa naissance. Sa mère détestait se rappeler de ces évènements, elle évitait depuis toujours très soigneusement de s’étendre de cela devant son fils. L’immigration de la fratrie No demeure encore aujourd’hui pour le jeune homme un secret flou, dont il ne connaissait ni la durée, ni la douleur. Juste ce petit élan de panique et de regret qui assombrissait les yeux de Jin Kyung. Il savait qu’elle se disputait souvent avec Jin Hyun à cause de ça. Elle détestait qu’il lui raconte ces histoires, et il lui reprochait de vouloir enterrer la mémoire de leur famille. Le carnet, si soigneusement tenu par le trio durant son périple, avait été oublié, caché dans un tiroir sous clé du bureau de Jin Kyung.
L’histoire du couple Cha-No s’essouffla six ans après la naissance d’In Beom. Ça n’était pas réellement une surprise pour leur entourage lorsqu’ils annoncèrent leur divorce. En réalité, il fut décidé de manière unilatérale par la femme. Pour ces deux jeunes parents, forcé au mariage par la naissance imprévue de leur fils, tout avait été trop vite. Le licenciement de Do Sik n’aida en rien. L’homme, désespéré et terrassé de honte, n’était plus que l’ombre de lui-même. Jin Kyung, fraichement diplomée et pimpante avocate de bonne situation, déterminée à se faire une carrière, ne supportait plus tout ceci. Son alcoolique de mari qui laissait leur fils de cinq ans cuisiner seul, car il était trop soûl pour se lever. Celui qui la prenait dans ses bras en fondant en larme chaque soir, qui lui bégayait qu’il l’aimait d’une haleine éthylique. Elle voulait faire cesser ça. Pour ne rien arranger, elle avait rencontré quelqu’un. Jin Kyung voulait recommencer à zéro. C’est main dans la main avec son fils qu’elle épousa son second mari. Mari qui lui donnera un enfant, In Ho, quelques mois plus tard. La nouvelle famille d’In Beom, l’atmosphère plus sereine, calma ses paniques, et il ne fit plus jamais de terreurs nocturnes. Il n’en garda qu’un traumatisme persistant, une peur résiduelle de la mort, la sienne et celle des autres. Le dégout de la maladie. La répulsion pour le sang. Le beau-père d’In Beom lui apprit à être un homme, à ne plus avoir peur, à se tenir droit et à regarder devant lui. C’est sous son influence et celle de son oncle qu’il parvint à quitter sa carapace d’enfant timide pour devenir un jeune garçon assuré. Lui qui prenait son rôle de grand-frère très à cœur se donna pour mission de devenir un exemple pour In Ho. Jin Kyung, qui n’était ni jolie, ni intelligente, mais très travailleuse, avait fini par réaliser conjointement son rêve et celui de sa sœur. Etudier, travailler, se marier, avoir son propre enfant. Après la naissance d’In Ho, elle ne mentionna plus jamais la Corée du Nord, ni sa sœur, ni son périple, devant ses enfants. Elle leur demandait simplement de prier deux fois dans l’année, le jour de l’anniversaire de Jin Ah, et le jour de sa mort.
Quant au père d’In Beom, il vécut très mal son divorce. Il s’évapora dans Séoul et on n’eut plus de nouvelle de lui pendant de longs mois. Il finit par réapparaitre, presque deux ans après sa séparation. « Maman ! Maman ! » Hurlait In Beom, pendu au bout du câble du téléphone, le combiné en main. Ses yeux étaient écarquillés, luisant d’espoir. « Maman c’est Papa ! Papa est au téléphone. » Appelait-il, au bord des larmes, tant sa mère était lente à venir. Jin Kyung avait vacillé en reconnaissant sa voix dans le micro. Son fils demeurait assis à ses pieds, ses pupilles levées vers elle, buvant ses paroles. Il adorait son beau-père, il était son deuxième papa, son troisième peut-être, en comptant Jin Hyun. Mais c’était tout de même différent de son vrai père. Il n’osait pas parler de lui devant sa mère, pour ne pas la rendre triste, mais le jeune homme rêvait de le voir. L’oreille tendu, il essayait de deviner les paroles de son père à l’autre bout du fil. Les réponses de Jin Kyung était froide, sa voix incertaine et tremblante trahissait pourtant son trouble, et quelque part, du soulagement. Combien de fois l’avait-elle imaginé crevant dans un caniveau, soûle et seul. Ils échangèrent des banalités, elle lui apprit qu’elle allait bien, qu’elle était mère. Qu’In Beom allait bien. Très bien même. Un long silence s’installa, avant que la voix de Do Sik ne crachote à nouveau dans le micro. « Est-ce que tu serais d’accord pour que je prenne In Beom avec moi pour le week-end ? » Jin Kyung ne répondit pas. « On n’est pas obligé de se voir, je peux le récupérer à l’école, et le ramener le lundi matin. Je sais que tu ne me fais sans doute pas confiance, mais j’ai changé. Je vis mieux. » In Beom n’entendit pas la fin de la conversation. D’un signe de la tête qu’il ne distingua pas, sa mère avait fait signe à son mari d’emmener le petit garçon. « Viens Beom-ah, aide moi à doucher In Ho. Tu peux faire ça ? » Docile, il le suivit avec regret, guettant encore au loin la réponse de sa mère.
Contre toute attente, Jin Kyung accepta de laisser In Beom à son père. Sans doute malgré sa déception et sa frustration, elle n’avait jamais cessé de croire qu’il était un père irréprochable. Sans lui, qui sait à quoi aurait ressembla sa vie, celle de son frère, et de son fils. Jin Ah serait morte dans la peur. Avec de l’espoir certes, celui de vivre, mais avec douleur. Do Sik passa donc chercher son fils à l’école. Il avait changé depuis la dernière fois. Il semblait plus maigre, sa barbe avait poussé, ses cheveux étaient plus négligés. Pourtant son visage était plus lisse, plus détendu. Il ne sentait plus l’alcool. Do Sik avait fui Seoul et rejoint une vie à laquelle il aspirait depuis longtemps. Devenu ce qu’on pourrait appeler un marginal, il avait racheté une vieille caravane, dépourvue de roues, et un petit terrain en sortie de ville, au milieu d’un petit bois, au bout d’un sentier de terre. Il avait posé là son tas de ferraille, et en avait fait sa maison. Il vivait avec un chien, un molosse massif, baveux, mais ridiculement inoffensif, malgré sa stature. In Beom garda de ce week-end un souvenir délicieux. Ça ne ressemblait pas à l’appartement confortable de sa mère, mais c’était amusant et inhabituel. Son père lui demanda à quoi ressemblait sa vie, il lui parla de l’école. Il lui dit qu’il était désolé, qu’il n’était pas très bon à l’école, mais qu’il essayait très sérieusement. Son père répondit que ce n’était pas grave, on pouvait être intelligent de façon différente, même sans être doué pour les maths. Il lui apprit qu’il aimait nager, que son petit frère était mignon, que Jin Hyun avait un nouveau travail, toutes ces banalités qui faisait sa vie. Do Sik l’emmena pécher dans un ruisseau, il lui montra la ligne de bus qui pouvait l’emmener ici depuis Séoul, et l’arrêt qui avait été posé là, à quelques pas du chemin. Le lundi soir, lorsqu’In Beom rentra à la maison, il jeta son cartable à la hâte et fonça embrasser son frère. A la question impatiente de sa mère, qui lui demandait comment ça s’était passé, il répondu d’un air plus boudeur, que c’était bien, « enfin, j’crois.. ». Pudique, il se refusa à admettre à sa mère qu’il avait adoré. Elle serait sûrement triste. Il ne voulait pas qu’elle croit qu’il aimait plus fort son papa.
Il continua souvent à rendre visite à son père. Parfois, il manquait même l’école sans le dire à Jin Kyung. Il prenait le bus, tout seul, et rejoignait la caravane. Il s’amusait bien, même s’il avait un peu honte de dire à ses copains, que son papa était un sans-abri. De toute façon, la plupart des gens à l’école, y compris les profs, pensait que son père était le mari de sa mère. « Un homme très bien. » Il avait honte mais Do Sik restait son papa, alors il l’aimait. Il aimait ses petits rendez-vous secrets, ces petites journées dehors, loin de l’école. Avoir son père rien que pour lui, comme In Ho. Parfois, lorsqu’il venait trop tôt, ou sans prévenir, il trouvait son père endormi au milieu de cadavre de bouteille, mais l’homme faisait toujours très attention à ne pas boire devant son fils. Il voulait être en en pleine possession de ses moyens. Son alcoolisme n’était pas guéri, mais il savait que pour pouvoir profiter du petit garçon, il devrait faire semblant. Leurs relations n’était pas totalement celle d’un père et d’un fils, mais c’était important pour lui de combler ces petits manques qui les séparaient parfois.
Dans le bus pour aller chez son père, il y avait un petit vieux. Il était négligé, très grand et très maigre, comme un squelette avec de la peau. Il portait toujours des vieux joggings très larges et très laids. Au pied, son éternelle paire de basket roses. Il s’habillait comme un « jeune » disait-il, et ça faisait rire le In Beom pré-adolescent à présent. A douze ans, le garçon avait fait son entrée au collège. Il gagnait en assurance et en force. La natation avait rendu son corps moins frêle, et il avait même réussi à entrer dans l’équipe de son école. Mais revenons à ce petit papi aux baskets roses. Il vivait à Séoul, mais il faisait chaque jour les longs trajets en bus jusqu’à un petit café, dans un quartier de banlieue, deux arrêts avant celui d’In Beom. Il venait jouer aux cartes avec des vieux amis, disait-il. Il parlait fort, et à tout le monde, même au chauffeur, mais ne payait jamais son ticket. Un vieux lascar qui s’était pris d’affection pour le gosse du terminus, celui qui restait toujours tout seul dans le bus avec lui, jusqu’à la fin de la ligne. Ils parlaient parfois, il avait beaucoup de chose à raconter, et adorait se plaindre de la dure vie d’un vieil homme. Ce qu’il détestait le plus, c’était d’avoir à sourire de l’argent de son porte-monnaie. « Tu sais fiston, j’ai payé le bus toute ma vie, alors j’me dis, pour la fin de ma vie, on peut bien me faire ce cadeau. Puis tu sais bien, les contrôleurs ne sont pas si malins. » Ce type a inspiré à In Beom le goût de la triche et du magouillage. Il ne paya plus jamais un seul transport en commun après cela. Ce grand-père filou qui jouait comme un enfant dans ce bus, In Beom n’a jamais pu l’oublier. Sa philosophie est restée ancrée dans son esprit. N’avoir besoin de personne, et vivre sur le dos des autres, être libre de toute contrainte. Il avait adoré cette sensation. L’adrénaline d’entrer dans le bus sans avoir acheté un ticket, d’en sortir à la hâte à l’arrivée des contrôleurs. Il se sentait plus vivant en bravant l’interdit. Et avec l’argent sauvé, il achetait des bonbons, et se gâtait les dents.
Le temps a passé et In Beom a dix-neuf ans. Il a eu son diplôme de fin d’étude avec une petite année de retard, un écart de parcours. De toute façon, cela faisait longtemps que ses parents avait compris qu’il ne serait jamais doué à l’école. Il trichait mieux qu’il n’étudiait. Ce n’était pas de la mauvaise volonté, juste de la résignation. En revanche, il excellait en natation, et avait participé à la victoire de son équipe, au tournoi national inter-lycée. C’est d’avantage son niveau sportif, plutôt que son dossier scolaire, qui lui permit d’entrer à la SNU. Son beau-père tenait à ce qu’il ait un diplôme malgré tout, « car tu sais In Beom, le sport ça ne dure pas toute la vie. » Alors il a continué nager sous de nouvelles couleurs, et à étudier aussi sérieusement que possible. Son goût pour la tromperie s’était accentué avec le temps, et ses fréquentations. Partir sans payer, quémander quelques pièces à une petite vieille pour acheter des cigarettes, c’était léger pour commencer. Puis il a grandi dans ses délits, il s’est amusé à berner, pour tout et rien, de l’argent, de l’amour. Ses amis étaient comme lui, des voyous, comme on les appelait. Ces fréquentations douteuses faillirent briser sa carrière de nageur en première année. Entrainé par ses ainés du club de natation, il se laissa convaincre un beau soir d’en finir avec sa virginité demeurante. « Allez In Beom, tu ne peux pas rester comme ça, faut que tu sois un homme. » Et il était d’accord, naïf mais d’accord, ça avait assez duré. Les dernières années n’étaient jamais tendre avec les premières, alors lui et ses camarades rookies eurent droits à un défi stupide, celui de ramener une fille lors de la soirée d’Halloween. Et ainsi, ils se virent distribuer chacun une ampoule remplie d’un liquide incolore. « Si elles sont un peu têtues, mettez ça dans leur verre, après ça, elles seront beaucoup plus dociles. » Avait indiqué l’ainé. Les plus sérieux refusèrent de se plier au jeu, et se résignèrent à passer la serpillière à la piscine le lendemain. In Beom et quelques copains téméraires prirent en revanche l’idée très à cœur, et acceptèrent de jouer. La fille qu’In Beom avait repéré était vraiment jolie. Il l’avait regardé dansé toute la soirée, il était sûr de son choix. Lorsqu’il s’approcha l’air de rien, laissant couler le liquide dans le verre de la belle, il ne remarqua pas le type qui le surveillait de loin. Il ne vit pas venir le poing qui lui brisa le nez. Ni le genou qui se plongea dans son estomac. L’instant d’après, il se trouvait jeté sur le trottoir, roué de coup jusqu’à ce qu’on intervienne. Il dut s’évanouir rapidement, parce qu’il ne garde pas grand souvenir de son passage à tabac, seulement de la douleur dans sa nuque, son nez ensanglanté, et son bras disloqué. Les dernières années furent renvoyées avant la fin de l’année scolaire. Les viols commis sur plusieurs étudiantes sous l’influence du GHB avaient fini par être révélé, et sans doute qu’un première année plus malin que les autres avait eu le cran d’aller les dénoncer. In Beom ne fut jamais inquiété pour sa tentative. En revanche, il frôla l’arrêt définitif de sa carrière. Son bras brisé mis plusieurs mois à guérir, et il ne put reprendre son sport que l’année suivante.
Sa mésaventure ne le dissuada pas de jouer avec les filles. S’il ne fit plus usage de drogue pour arriver à ses fins, il apprit que son sourire était une arme bien plus efficace et sans danger. Son petit air de bad boy semblait plaire, et la musculature fine du nageur ne laissait pas indifférent. In Beom commença à aimer les femmes, à les aimer passionnément. Les aimer ne signifie pourtant pas forcément les respecter. Il n’est pas rare qu’il cumule plusieurs petites amies, à leur insu bien sûr. Il a appris à encaisser les gifles, à enjôler par sa voix, à rassurer par ses gestes. Avec l’hypocrisie qui lui sied. De la considération, In Beom n’en a que très peu. Il a l’amour sélectif. Il a une conscience précise des gens important à sa vie. In Ho, sa mère, son beau-père. Son père, le petit grand-père aux baskets roses, qui vieillit drôlement ces derniers temps. Ces amis, les quelques un qu’il possède. Son oncle, ses cousins. Sa famille, il la connait, elle a des limites précises, elle ne s’étend pas. Il ne prête pas son cœur comme ça, parce qu’il est libre, libre d’aimer et de détester, de se faire passer avant les autres, et de jouer. In Beom aime cette indépendance audacieuse, même si les autres la déteste. Parce qu’elle ne leur profite pas. Ça fait rire le jeune homme. Tout le monde est égoïste, tout le monde lui ressemble. Il est juste le seul à être suffisamment confiant pour l’admettre en face du monde.
Au delà de l'écran
Junior
❯ Derrière l'écran ; Point. YO LES AMOUR DE MA LIFE. TULULU ~ Le voici le voilà, mon délicieux In Beom dont j'ai tant parler ! J'espère qu'il vous plaira et que vous me ferez une petite place pour lui dans vos fiches de lien Y a une petite histoire derrière ce personnage. Je pense que certaines lectrices reconnaitrons certains d'entre eux. Pour ceux que ça amuse de chercher à deviner, sachez qu'il y a des secrets non-révélés dans l'histoire de Beom. Plusieurs. Je vous laisse les chercher ahah Non en vrai je me doute que vous vous en fichez mais j'étais fière de le dire, c'est un mysterious man.
Je vous aime très très très très fort, et j'ai hâte de le jouer mon Beomie LOVE SUR VOUS :<33: :<33: :<33: :<33: :<33: Et le petit bout de code pour le bottin
Code:
[code]<span class="style1">✗</span> [b]CHOI MINHO[/b] (Minho - SHINee) ⟫ cha in beom[/code]
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 22:43
Citation :
orientation : Hétérosexuel
IS THAT REAL livreur de pizza, un très bon bail le destin voulut que je choure éhontément le first ça a l'air tarpin intéressant tout ça cutiepie, bon courage pour la suite & hâte de la voir, cette suite ♥♥
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 22:52
Cha in beom a écrit:
orientation : Hétérosexuel
sorry pas d'accord. Jung va te homogéiniser. je t'aime. t'es beau. pk t'es hétéro ? je vais faire un QC femelle pour sortir avec toi. ( enfin.. non jserais pas capable d'avoir quatre compte sad life )
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 22:53
présidente a écrit:
Melted à la vie à la mort
beautiful girl a écrit:
Hétérosexuel
t'es toujours là pour les représenter, jpp, je t'aime
handsome guy man a écrit:
MALIN
MALHONNÊTE
ARROGANT
BLUFFEUR
OUVERT
HYPOCRITE
ROMANTIQUE
LÂCHE
CALME
DELOYAL
where can i buy you
BJR ET BIEVENUE ET MINHO ME GUSTA ME GUSTA TU ES MUY HERMOSA
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 22:57
Park Min Su a écrit:
Cha in beom a écrit:
orientation : Hétérosexuel
sorry pas d'accord. Jung va te homogéiniser. je t'aime. t'es beau. pk t'es hétéro ? je vais faire un QC femelle pour sortir avec toi. ( enfin.. non jserais pas capable d'avoir quatre compte sad life )
allez, dp de pd mais jsuis dans l'impossibilité d'éditer du coup
HOMOGEINISER JM. JTM MIN SU JPPPP
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 23:06
MAIS C'EST QUOI CA ELLE SORT D’OÙ CETTE PERFECTION ??? Minho... jpp, je meurs (pas que je suis à fond sur Hwarang et que j'ai du me refaire chaque épisode sorti trois fois mais... non, c'est faux, calomnie )
BREF. suite à mon arrêt cardiaque et mon retournement de cerveau, je tente de respirer mais la chose est difficile. alors assume tes responsabilités et épouse moi. (tu voulais m'épouser, non ? je t'en donne l'occasion //sort)
plus sérieusement, ton perso a juste l'air parfait et... dépêches toi de finir de nous pondre cette petite merveille, trop hâte ma mama.
JE T'AIME FORT FORT FORT.
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Ven 27 Jan - 23:40
Le voilà enfin ce beau monsieur Et il a l'air très intéressant, hâte d'en lire plus
Re chez toi ma belle & bon courage pour ta fichette
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Sam 28 Jan - 0:35
Sooli-chan la plus belle a écrit:
allez, dp de pd mais jsuis dans l'impossibilité d'éditer du coup
HOMOGEINISER JM. JTM MIN SU JPPPP
oh un dp rien que pour moi je t'aime
oui j'invente des mots, je vais faire une pétition pour que sa rentre dans le dictionnaire international. x))
Homogéiniser : V. action de faire changer d'orientation sexuel une personne hétéro pour quelle aime une personne de même sexe.
conjugaison du verbe Homogéiniser, présent de l'indicatif :
j'homogéinise tu homogéinises il/elle/on homogéinise nous homogéinisons vous homogéinisez ils/elles homogéinisent
(voir ultérieurement pour les autres temps )
pourquoi je vis en faite ?... XD
je t'aime aussi sooli de mon coeur (j'aime se smiley... pk ? )
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Sam 28 Jan - 13:39
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Sam 4 Fév - 19:33
mais aussi....
Spoiler:
et encore ....
Spoiler:
(protect my butt daddy)
OK ENOUGH I HAVE NO SHAME
HONESTLY J'espère que tu sais que je te réserve un lien whatsoever bb i'm coming for you!!!! Bonne chance pour le reste de ta fiche j'ai hâte d'en apprendre plus sur lui! MUCHOS LOVE SUR TOI
Han Soo Yun
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mar 7 Fév - 15:21
Citation :
Il fantasme secrètement sur la présidente des Firestones et aurait voulu être membre de cette société.
cc
on va enfin l'avoir notre super lien sans haine ?
—
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MA SARAH DE MA VIE a écrit:
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MON JANOUILLE a écrit:
ON A TOUS LES DROITS SURTOUT CELUI D'AIMER SY
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mar 7 Fév - 17:02
J'EDIT SOON PARCE QUE J'AI UN TRUC URGENT A FAIRE LA, MAIS C'ETAIT POUR VOUS DIRE QUE J'AI FINI MA PREZ VOILA VOILA
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mar 7 Fév - 17:53
je voulais juste dire que ta fiche est un chef d'oeuvre, voila :/
Han Soo Yun
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:54
oublie pas ce qu'on a dit si ça tombe sur fs tu viens :ilu:
(sinon ta fiche devrait être interdite) (merci) (jtm)
Félicitations ! Tu as terminé ta fiche et tu es donc validé ! Le jeu commence pour toi dès maintenant ! Mais avant de commencer à RP, il va te falloir remplir quelques paperasse afin d'être en règle et faciliter ton intégration ! Première étape à ton parcours, n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin, afin qu'il soit définitivement lié à ton personnage. Ensuite, direction les relevés de compte pour y poster ce qui te feras office d'activité RP. C'est obligatoire, et bien sûr, tu devras veiller à le maintenir à jour ! Une fois ces petits détails réglés, tu peux te diriger vers les demandes de liens pour y poster ta fiche et trouver tout un tas de potos à ton personnage ! N'hésite pas à passer faire un tout du côté des réclamations, histoire pourquoi pas d'attribuer un dortoir ou un métier à ton personnage ! Si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram ou Twitter, et même nous laisser ton numéro de téléphone, ou de GSM comme dirait un Belge. Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du Flood et de la Chatbox, nous seront ravis de t'y accueillir.
Avec ce message, tu remportes automatiquement une bourse de 200 wons. N'oublie pas d'indiquer ce montant dans ton relevé compte lorsque tu l'ouvriras ! Par ailleurs, si tu as choisi de t'engager dans une société, un dé va être lancé à la suite de se message, qui décidera du groupe que tu intégreras. Tu as 72h pour valider ou invalider ce choix. Si tu décides de ne pas l'accepter, tu as la possibilité de relancer une seconde et dernière fois, et tu seras alors tenu d'accepter le groupe qui t'a été donné.
Bon jeu sur Hundred Miles !
—
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MA SARAH DE MA VIE a écrit:
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:54
Le membre 'Han Soo Yun' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'CHOIX DU DORTOIR' :
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:55
si c pas le destin ça on fait quoi, tu dissous MT et tu viens ?
(jpp jsuis dcd)
—
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MA SARAH DE MA VIE a écrit:
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:55
Je voudrais relancer merci.
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:56
je t'ai pas proposé de relancer :////
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MA SARAH DE MA VIE a écrit:
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:57
C'est écrit dans le règlement que j'ai droit :/
—
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(#) Sujet: Re: WHATTA MAN ‣‣‣ Cha In Beom Mer 8 Fév - 13:59
mais cette règle te concerne pas :///
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