⊱ hundred miles c'est un forum réel asiatiquecity/universitaire basé à Séoul — une réponse par mois minimum — Avatars occidentaux bienvenus ! — Taille des avatars 200*320px — Une semaine pour finir sa présentation — Pas de prise de tête, rien que du love. That's all folks ٩(^ᴗ^)۶
harcèlement scolaire, accident, amnésie + lésion cérébrale, trouble de stress post-traumatique (ptsd), mention de groupuscules sectaires (cursus) + érotisme, vol de création, mort
FT KIM TAEHYUNG (BTS) :: original character ♡ MOON ENDER
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≋ nom prénom ↝
‹ ENDER — 문 상우 — MOON SANG WOO ›
le très rare en unique bijou et baiser étymologique. autel de fin sans un simulacre de début, la première syllabe résumée en un end sans apogée méritée. ‹ ender › ; brave et droit, contacts étroits avec des liens mystiques et mystifiés. honoré de rareté et de résistance face à des assauts couronnés d’horreur, dépeignant de détresse et de tristesse un mal éternellement puissant. à étinceler dans l’échiquier diamantifère de rois et reines dont il servirait de chevalier-archer, il fuit les mensonges de la ruse mystificatrice pour ne s’atteler qu’à s’enterrer dans les vestiges et artères d’une terre mère. tel est le commencement et la fin d’ender ; dont le très rare métamorphosé en trop rare, l’aurait écharpé. / souffle lunaire en patronyme, siroco astral empruntant pour aromate la résine et la sève de la toile astrale millénaire. ‹ moon ; 문 › ôde à la famille dont l'éclair des pierres n'a rien à envier à l'enchantement des philosophales. puis, lorsque les estampiles d'une nationnalité à peine avalée se blessent sous l'ourlé de la langue, les vieilles racines reprennent la régence des traits. ‹ sang woo ; 상우 › dont les hanja (( 相佑 ≡ to assist each other )) en superlatifs eurent prédit ses dispositions à la traque des insolences crapuleuses.
≋ âge & date de naissance ↝
‹ 26 Y.O — 970218 — WINTER BLESSING ›
18 février 1997 ainé de la gémellité des sentinelles, quelques minutes avant la belle aurore et ses fils dorés.
≋ lieu de naissance & origines ↝
‹ ENFANT COSMOPOLITE — NEW YORK — SOUTH KOREA, SEOUL ›
elle est belle, lorsqu'elle donne naissance à d'autres anges, accueille leurs songes et les fait briller en éclat. elle est dangereuse, épineuse, vénéneuse, mère marâtre jonglant du sort pour punir et élever ses milliers de bras, n’élevant que plus le succès déjà consternant tout en rabaissant ceux qui ne veulent planter un drapeau doré en son sein ; ‹ new york › dont on ne se lasse jamais, la seule créature autre que la royauté à qui il offre une fidélité aimante. car les générations passent et ne trépassent en son sol, que les larmes versées ont nourri sa créativité jusqu'à ce qu'elle dépasse les frontières du réel et l'imaginaire. new york de naissance, les racines sont pourtant ancrées dans une south korea depuis toujours. s'il avait pu avoir la double nationalité, il aurait emprunté des étoiles de seoul toute entière.
≋ orientation ↝
‹ PANSEXUEL — YOU'RE A DISASTER ›
complexe dans sa dualité, à la fois homme et divinité ≡ l'amoureux sincère et le saltimbanque de vulgarité. incarné de l'érotisme, sentimentalisme, abandons et reprises d'émotions endeuillées puis ravivées. pluridisciplinaire dans le domaine d'amours imaginaires et ô combien imagés. (( il est eros )) amateur de l'endocarde des tritons, des écumes et des ondines qu'il peut faire imploser sous des frénésies satyriasis. en son jardin d'eden toutes les fleurs sont belles, qu'importe leur manière se polliniser. éros est un ‹ panromantique ›, hyperactif dans l'intimité, collectionneur des plaisirs-conquis, adorateur de genres, amour inclassable, diable des femmes, tourmenteur des hommes, passionné des non-genrés dont il sculpte le corps précédemment griffés de baisers. (( il fût agapé )) l'inconditionnel candide, transi d'amour, idéaliste accumulant les défauts qu'il métamorphose en d'innombrables qualités. celui qui ne su aimer que par amour d'aimer.
≋ cursus ↝
‹ CRIMINOLOGY — VIOLENT DELIGHTS HAVE VIOLENT ENDS ›
poursuiveur d'ombres et d'ombrelles, aspiration à traquer les cannibales émotionnels se nourrissant du crime et des arnaques. il punit intérieurement les diables et les créateurs maudits d'esclandres, sans que fin ni faim ne viennent signer l'arrêt d'efforts ni de sueurs. ‹ cursus en criminologie › condamnant l'hérésie indisciplinée sous le coups de ses chaussures compensées, nageant jusqu'à dans le styx pour trouver vermines et ceux qui se sont trop tôt égarés et qui se font désormais bouffer par la machination corruptible. dans un futur parfait, il les chassera, traquera, surveillera, heurtera, arrêtera, condamnera, ruinera et détruira au nom de cette justice ultime qui le définit. celle qui se présente pour tous mais que l'on ne trahit sous peine de finir carbonisé sous sa broche. elle qu'il agite et avec laquelle il embroche les ennemis du bien, ayant été durant plus d'une année en arrêt forcé suite à l'accident qui le corrode et la haine qui l'inonde mais n'ayez crainte : dans leur monde les bandits sont requins et lui, il prépare en festin leur carcasse cuite.
≋ club(s) ↝ (si étudiant) littérature + tir à l'arc.
≋ métier/job ↝
‹ ANCIEN ECRIVAIN — DÉPOSSÉDÉ DE CE QUI LE POSSÈDE ›
qu'il eût versé dans le romantisme ou le nihilisme, des larmes sur le papier vierge, papyrus en opuscule de nulle sagesse. éthylisme catastrophé, sang vicié de paraboles, les métaphores-horreurs embellissent toutes les aurores passées à s'enrayer la psyché de versets épidémiques. ‹ petit écrivain › raté car ayant été publié désormais ses écrits ne lui appartiennent plus. ils sont au peuple, aux férus de lecture, aux addictes d'adrénaline et d'encre décantée à la place du cruor fatal. aux critiques et aux vandales, détracteurs de vers qu'ils piochent pour les faire dire ce qu'il n'a jamais susurré de lui-même. il est l'écrivain timoré, l'enfant prodige que tout littéraire rêverait d'élever. il est le poète d'allégresse, l'amoureux des mots, l'amant de comparaisons néfastes, le prisonnier modèle ayant été l'architecte non pas de son propre échec mais de sa propre réussite catastrophique. or, il ne chérit plus le terme d'écrivain pour un métier qui n'est plus le sien, lui est le prisonnier des livres et des contes, des personnages qui a trop donner vie l'ont possédés. il n'écrit plus mais lutte pour ne pas se laisser submerger par des névroses-homicides.
≋ situation financière ↝
‹ AISÉE — RASSEMBLER MONTS ET MERVEILLES › économies préservées, héritage mis de côté pour que jamais mère et père ne manquent de rien. il a de l'argent suffisant, l'argent qui noie, l'argent pour ses futurs enfants, s'il en a.
.·:¨༺ ༻¨:·. ❁┊사랑병 ˎˊ˗ ︶꒦꒷♡꒷꒦︶
≋ caractère ↝
prodige • analytique • instinctif • inné • persuasif • magnétique • loyal • ecchymoses drastiques • animal • observateur • en quête d'une justice absolue, qu'importe les sacrifices et les coûts • artiste • manichéen biaisé par des limites inexistantes • self-destructeur • maîtrisé • colérique • poétique • abstrus • transi • désillusionné • chérophobe • protecteur • spécieux • auguste • caméléon • dissident • solitaire • bel-amant • comportement dépendant • coupable • bourreau&martyr • carnivore • sans-pitié face aux énergumènes • électrique • sensuel • marginal • individuel • enjôleur • silencieux • cabalistique • impliqué • aliéné par une PTSD • tourmenté • irrégulier • heureux présage • sage-carnage • désensibilisation aux artifices corporels, fragmenté entre psyché et corpus • altérabilité, tantôt trop, tantôt jamais assez -- hypersensible-désensibilisé, agressif-timoré, sage incontrôlé • en metamorphosis • rhapsode éperdue, poète stellaire • en perpétuelle évanescence.
car ma seule lueur d'espoir restera à jamais la lune. la seule lumiere capable d'éclairer les sombres nuages dressés au dessus de moi.
his mind is a diamond, cold and hard and brilliant • satyriasis, workaholic — collects addictions like kisses • two sugars in his coffee • searching for a sociopathsweetserial killer •
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wanna go to hell together ?
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1. Quelle est votre situation financière ?
A. Aisée
2. Dans quel domaine exercez-vous ? (métier ou étude)
C. Artistique M. Crimes
3. Qu'est-ce que qui vous correspond le mieux ?
E. Ambition, fidélité, perfectionniste
4. Votre téléphone n'a plus de batterie :
A. Je m'en fiche
5. Quel lieu préférez-vous ?
E. Planétarium
6. Vous remportez une grosse somme d'argent au loto :
B. J'investis pour faire travailler mon argent
7. Votre camarade ou votre voisin subit la divulgation d'un secret :
D. L'homme qu'il était il y a dix ans ne me regarde pas
8. Un élément qui vous représente ?
D. Air
9. Êtes-vous plutôt ?
B. Intelligent(e)
10. Vous avez en votre possession une rumeur qui peut entacher un rival :
B. Je n'en fais rien, ça ne m'intéresse pas
11. Un paysage qui vous marque le plus ?
C. Un volcan
12. Vous découvrez que votre compagnon vous trompe :
B. J'entame une discussion avec lui, afin de trouver une solution pour sauver mon couple
13. Vous découvrez une page arrachée provenant du carnet du Corbeau :
E. Je brûle la note et enterre le secret à jamais
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I
C O M P L E T E
ME
°°••....••°°
≋ surnom ↝
‹ END — DIOGENE ›
end — qui clôt et éclot en finition d’un conte raturé du bout de sa plume. end, l’unique surnom pour celui qui décore et ornemente les maux de ses sourires cristallins. end pour lui, dont la fin a été un semblant de leur début. endy ; nulles mièvreries, friandise enrobée par les lèvres du précieux osant un jour prononcer cet infime. haï au prémices, il a griffé celui-ci jusqu’à en aimer chaque zébrure.
≋ signe astrologique ↝
‹ ☉ AQUARIUS — ☽ SCORPIO — ↑ AQUARIUS ›
gouverné uranus malgré les ardeurs et les fils sycomores, c'est l'euphorie du second ainé-hiver qui suinte des pores. bien-aimé aux opposés et contraires, autonomies slalomant les tendresses en y éborgnant les faiblesses superposées. il fut paroles vilipendées, utopiste réforme au cynisme marginalisé, révolutionnaire débonnaire en quête d'une plénitude amicale. aquarius abhorrant les timorés, psyché fendant l'ignorance, virtuose dans l'art de se désynchroniser pour ne pas se laisser leurrer par des émotions détestables.
≋ signe chinois ↝
‹ BUFFLE DE FEU ›
sans tempérance, les brasiers sont diaboliques, le caractère terrible tant il y emane de la témérité. volontaire audacieux, buffle de feu demeure les braises portées par la torche de Prométhée.
≋ animal fétiche ↝
‹ BALEINE BLEUE AUSTRALE ›
sublime baleine — à la fois grand marin mammifère et flexible tige servant armature. baleine vraie - mysticète aux écailles sincèrement belles, à le captiver de son élégance toujours égarée aux yeux de ceux qui sur terre préfèrent les félins honorer. intelligence remarquable que celle des grandes bleues-grisés — il rêve un grand jour de pouvoir en rencontrer une, d'entendre leur chant et de s'inspirer des fréquences dont il sait, il captera des signes-paroles d'excellence.
≋ permis de conduire ? ↝
‹ OUI ›
bien que durant plusieurs années il se soit battu pour ne pas avoir à en posséder un, clamant que les transports communs lui convenaient plus que ce qu'une voiture ne ferait jamais. la vérité est que la peur de se perdre avec son véhicule, de ne pas pouvoir se garer et de se sentir coincé le terrifie encore aujourd'hui. il n'a acquit son permis que par simple défi personnel mais tente au mieux d'éviter de conduire dans les lieux qu'il ne connait pas. suite à l'accident, ses parents lui ont même interdit de se placer devant un volant tant qu'il n'irait pas mieux, néanmoins il n'écoute jamais et profite lors de ses escapades nocturnes pour vaguer dans la ville sans foi ni but, s'arrêtant indéniablement devant la même maison d'une hantise qu'il n'a jamais exorcisée depuis le temps.
≋ tatoo // piercing ? ↝
‹ YES ›
piercing à la langue qu'il s'est fait après une énième rupture amoureuse, l'oreille est parsemée de décorations et de piercings, il trouve cela esthétique. des tatouages (( ♡♡♡ )) lui recouvrent tout le dos ainsi que le bras, c'est un tableaux de signes logiques, de l'homme de vitruve, de croquis d'œuvres d'art et du chiffre d'or qui lui ornemente l'échine. on y trouve les phases lunaires ainsi que les deux corbeaux qui l'ont hanté jusqu'ici. puis, plus discrètement un simple symbole entourant un Saturne miniature se cache sous son oreille droite.
≋ signes distinctifs ↝
‹ FAIBLES ANOMALIES ›
cicatrices diverses, de plus en plus effacées suite aux opérations pour le remettre sur pieds• il porte souvent un bandeau à l'œil gauche, celui-ci ayant été abimé et rendu bien plus fragile et douloureux face à la lumière après l'accident • éternel air mauvais et froid lorsqu'il ne sourit pas • chevelure généralement colorée en bleu ou en gris, il alterne selon ses envies • look semblant venir d'une autre époque, casual-chic, princier poète, un peu de tout, beaucoup de rien.
≋ rêve ↝
‹ SE VENGER POUR SE RECONSTRUIRE ›
miscellanées dans les fantaisies solitaires, à redéfinir les courants d'un monde de perfection, s'esquinter sur les récifs d'une inconscience, perpétuellement. rêve au gré d'ambitions, ambitions sentencieuses métamorphosées en rêve. il y a quelques années, aurait-il dit sans hésiter qu'il aspirait à devenir la meilleure version de lui-même, sans l'ourlé d'un sourire, mais dans la prétention absolue d'un artiste-génie en quête d'un ultime défi à relever. désormais, le tableau vierge parait plus humble, le sourire n'est qu'un apparat fictif pour faire baisser la garde des plus susceptibles. ‹ poursuivre ma carrière › qu'il répondra dans une sincérité pointée de morgue, paroles sottes, propos ne tenant que d'audaces malingres, d'ambitions atténuées par le choc de l'effondrement relevant la fragilité de l'être. la phobia majeure lui pointe des crochets-venin à chaque rêve de gloire prononcé trop fort. il ne sait plus, il ne veut plus être écrivain, il ne veut plus espérer, il ne parvient pas à oublier ce qui le tourmente mais à peur d'oublier tout ce qui compte. alors, ne revêt-il que le personnage-tâche justicier pour traquer les exécrables, ruiner puis lapider les crapules, sachant qu'il n'en finirait jamais. tant mieux, ender en éternelle culpabilité nécessite cette agonie pour ne pas sombrer. et si jamais il parvient à son objectif, en recherchera-t-il un plus difficile pour ne pas savourer trop longtemps les fruits d'années de lutte — par peur des retombées.
≋ addictions ↝
‹ ÉCRITURE ›
en risible tourmente littéraire, les néophytes ne peuvent saisir toute la perfidie d'une addiction à la fois salvatrice. écrire, écrire en pleine agonie, écrire pour en pulvériser les supplices, exorciser les terreurs, cautériser tout autant que d'en raviver les plaies béantes. écrire pour se tirer des enfers, pour toucher du bout des phalanges l'ataraxie prestige, s'émanciper de la souffrance, dresser des portraits d'amour, des versets d'innocence, déclarations d'insolence. écrire jusqu'à en consumer toutes ses braises, véritable médium consommé par les frénésies de l'épiphanie salutaire. en junkie de cette œuvre diabolique, ce besoin presque constant d'être captif de ce qui aurait dû le tirer d'une solitude profonde, il a écrit jusqu'à ne plus pouvoir le faire, à en tirer tous ses démons de sous la terre. il a été scribe jusqu'à ce qu'essoré, il en a conclu que sa seule valeur était celle de le faire et s'en est flagellé de ne pas pouvoir continuer.
‹ ALCOOL ›
alcool pour rire, oublier. conjugaison en suspens, en éternel futur conjugué afin de ne pas accentuer les terreurs qui de lacrymales sont écrites. demain, peut-être. remettre à demain ce qui un jour sera aujourd’hui, inlassablement. ((prescription d'un breuvage du courage pour un homme lâche))
‹ SEXE ›
débauche et promiscuité des corps en apothéose, silhouettes filandreuses qu’il honore de ses serres tortueuses. baisers vampires, nuque ployée, astres agenouillés devant lui, pour son bon plaisir. vice semi-caché pour celui qui dans sa vie privé n’a jamais dissimulé aimer les belles et surtout les bonnes choses. exutoire pour l’esprit tourmenté, encore et toujours dévorer, expérimenter, goûter et approuver ses mêmes. car la bataille des corps est une sublime danse, qu’il aime y lire son reflet dans les yeux de ceux qu’il comble jusqu’à la jouissance. pour ainsi s’évaporer le lendemain, repartir à la chasse ; aimer se repaitre de ceux qui désireraient le soumettre.
≋ superstition ↝
‹ AUCUNE MAIS RELIGION DEFECTIBLE ›
il y avait cru, au beau de la religion, priant pour père, pour mère, pour tous ses frères. il avait cumulé les prières, préservant la vieille bible de sa grand-mère avec une douceur inouïe. depuis son accident, les pertes et le temps ont rendu tout plus flou, ayant transformé ce tendre amour en quelque chose de plus amer. cette croyance, pour lui, homme de science, lui semble désormais terriblement dérisoire et insolente, insensée puisque lorsqu'il l'avait demandé, aucune divinité n'est venue l'aider. enfant mélancolie — l'homme est un être devant compter sur une ascendance uniquement pour se déresponsabiliser de ses propres actes et ce fait le répugne de lui-même.
≋ casier judiciaire ↝
‹ BLANC ›
l'immaculée conception, translucide enfant, papiers purs malgré les doigts impurs et souillés de déception. Oiseau messager porteur de fables sans aucune forme de litige. le plus beaux de tous ses mensonges. l'achèvement de l'effort pour protéger l'image du sage carnage.
≋ ambitions/aspirations ↝
‹ S'ÉLEVER AU DESSUS DE SES PEURS ›
vengeance en tant que maître mot de ses lubies obsessionnelles, il veut traquer les bêtes, terrifié à l'idée qu'un autre enfant vive la même chose que lui. il veut saisir chaque noirceur chez autrui, dresser un portrait d'excellence dans ses écrits. la vérité est qu'il ne rêve que de retrouver sa liberté et que son aspiration ultime serait de pouvoir dresser quelques lignes inspirées sur le canvas litteraire sans se sentir sous le point d'étouffer face au vice. son ambition est de retrouver celui qui a ruiné son père et de l'esquinter à son tour, quitte à s'y pourrir. il ne rachètera jamais sa pureté, alors il est prêt à plonger au delà de la crasse pour protéger ceux qu'il aime.
≋ toc // manies ↝
‹ MISCELLANÉES ›
faire rouler son poignet pour faire craquer les articulations, il enchaine les tendinites à répétition • faire le tour d'un bâtiment avant d'y pénétrer pour s'assurer que l'apparence semble solide • toc de vérification vis à vis des fermetures de portes et du feu • légère mysophobie, il se désinfecte les mains sans cesse jusqu'à se les cramer.
≋ phobie ↝
APÉIROPHOBIE : phobie de l'infini. — la possibilité de faire face à ce que je ne peux ne serait-ce qu'imaginer, l'immatériel impalpable de l'éternité est pour moi, insupportable.
《 pourquoi, lui dit-il, cherches-tu un titre de gloire dans un facile triomphe sur des faibles adversaires ? 》les Métaphores; Ovide.
sempiternelle, l'innombrable innommable, la terreur dans le filin des boucles inaltérables. la mort n'est rien pour celui qui craint l'éternelle insipidité et amertume d'une vie aux infinis lendemains. l'éternité corrode et vitriole l'espérance, dans un monde bien ficelé seul dieu devrait être aux commandes d'un tel faix. la crainte est celle d'une vie trop longue au parfum sans-fin, à purger l'inexpiable, emmuré dans l'éternel, à porter des tourments qui jamais ne pourront s'amnistier sur le chemin. la lutte contre l'infini de la temporalité, le temps désaxé figé en un cercle ouroboros en perpétuel rétrograde. l'immortalité spirituelle, serait d'un illogisme certain puisque nul ne pourrait se vanter de l'avoir gagnée sans s'y perdre. l'infini de possibilités, de solitude et de pêchés blafarde la peau de sueurs froides. l'hystérie est telle qu'une montre fissurée et au cadran arrêté était, à l'époque, motif de crises de colères internes.
— "Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie." — Blaise Pascal.
≋ objet fétiche ↝
‹ COLLIER EN FORME DE CROIX ›
bijou offert par une de ses hantises, il lui colle à la peau comme un virus, malédiction à laquelle il a signé de son sang en un pacte sinistre mêlant amour et obsession. ce collier, il ne le quitte jamais, il a été une des premières choses qu'il a récupéré à son réveil car sa forme particulière semble avoir été faite sur mesure pour lui. ce collier signifie une vie, un lien qu'il a eu jadis, les braises d'une passion en demi-teintes saupoudrée de violence. il représente l'espérance et lorsque les nuits blanches deviennent trop sombres, c'est lui qu'il observe scintiller dans l'obscurité.
܍ les cœurs des grands R E V E U R S dansent avec les étoiles ૭ face of an angel mind of a killer ૭ we are 「 A L L 」 trying to F O R G E T someone ૭ I could set this world on fire and call it rain ૭ send me nudes when you get HOME so I KNOW you’re safe ૭ I love you but I don't need you ૭ craving you : heavy ૭ 「 C H E R O P H O B I A 」 ૭ this is not love it’s obsession ૭ J U S T I C E ૭ the purpose of literature is to turn blood into ink ૭ l’appel du vide ܍
We live and breathe words. .... It was books that made me feel that perhaps I was not completely alone. They could be honest with me, and I with them. Reading your words, what you wrote, how you were lonely sometimes and afraid, but always brave; the way you saw the world, its colors and textures and sounds, I felt--I felt the way you thought, hoped, felt, dreamt. I felt I was dreaming and thinking and feeling with you. I dreamed what you dreamed, wanted what you wanted--and then I realized that truly I just wanted you..
❝ J’ai aimé jusqu’a atteindre la folie; Ce que certains appellent la folie, mais qui pour moi, est la seule façon d’aimer. ❞ — Françoise Sagan.
‹ ┊ — void › solitudes tendres solitudes — filatures du temps égrenées dans l'immensité silencieuse. l'indicible agonie de l'isolement est un mal malingre face aux brisures que cause le temps. bambin à la psyché corrodée par d'improbables calculs, des traits tirés traçant les cadres perpendiculaires et les angles droits des bâtiments. il y avait mêlé les chiffres aux couleurs, les odeurs aux sons, les formes au sensoriel dans un concerto d'émotions lui remplissant parfois tellement l'estomac qu'il avait envie de les recracher parfois. ‹ ils étaient deux › avant la chute, les grattements sur leur bulle, la dissection de leur foyer. il étaient deux à arborer les mêmes traits de jouvence, à partager l'anxiété de finir départagé par deux foyers entièrement à l'opposé. les doigts viennent titiller les pages de son livre, alors que tant sont dehors encore, lui ne trouve aucune amitié et s'ennuie des conversations classiques. assis sur ce banc, le genou troué par la violence des enfants puis raffistolé par un pansement improvisé, il attend dans le silence la porte qui s'apprête à s'ouvrir. il ne veut pas y aller mais il sait qu'il n'a nullement le choix, qu'on ne lui avait jamais laissé autre option que de s'évanouir un jour dans les bras de précieux inconnus et indésirés complices. son cadet est parti, il ne reste que lui. ‹ bonjour ender...› que lui susurre tendrement la femme qui désormais, il devrait appeler maman et cette fois-ci, il aurait deux parents.
‹ ┊i. one › les paupières s'alourdissent lorsque le ciel s'obscurcit davantage encore, le souffle est si léger qu'il pourrait presque ne plus exister, le décor serait le même, les mêmes insomnies qui se désagrègent lorsque le bambin plonge dans la toile céleste. ender, petit ender en précieux bambin de la terre, enfant qui comprend sans jamais tout saisir du monde. ender, il est seul mais se berce dans cette solitude choisie, il ne parle que trop peu mais pense bien trop — il est l'égérie de la mélancolie absurde d'un enfant qui ne se sent pourtant pas présent, jamais entièrement. puis enfin, les bras forts l'enlacent, le petit prince se fait récupérer par la lune qui ne le cajole que trop de paroles sages. père est doux et aimant. mère est pugnace mais maternelle. ils sont à eux d'eux les forces complémentaires pourtant exceptionnelles, chanceux il est sans en avoir conscience, car l'enfant bien que brave ne demeure pourtant toujours qu'un enfant.
Les sons se perdent dans l’éther, L’aube se déguise en ténèbres. Dans un monde à jamais muet, Rien que deux voix : ta voix, ma voix. Au vent d’invisibles Ladoga, À travers un bruit comme un carillon, L’entretien de la nuit s’est transformé En l’éclat léger d’arcs-en-ciel croisés.
(Anna Akhmatova)
une nouvelle fois prodige, il brille, il brille et l'asphyxie de sa prestance. père est d'un magnétisme ensorcelant sans même s'en rendre compte, il a arrêté bien plus de brigands qu'il ne pourrait le compter, toutefois demeure-t-il l'enfant du monde que l'on a toujours admiré. père est connu, père est aimé, et mère ne se perd jamais dans d'autres bras comme pourraient reprocher d'autres enfants devant lui ; enfants nés avec une cuillère d'or et diamant entre les lippes, mais qui n'ont pourtant aucune notion d'amour et s'acharnent à utiliser ce mot pour tout et surtout – bon sang oui, surtout et ça l'exaspère – pour rien.
‹ ┊ii. two › onze ans — ender est tourmenté, ravagé de quitter une ville qu'il avait toujours connu afin de s'échouer dans une nouvelle culture. il angoisse et crise, car les regards ne se tournent vers lui que pour le briser de moqueries, car il n'existe que parce que sa famille existe, qu'il n'est qu'un plus, gamin intellectuel surdoué qui ne se sert jamais de ses compétences, car il se meurt d'ennui. on le fait sauter une classe en espérant qu'il se sentirait mieux mais c'est l'effet inverse qui se créé. les coups commencent, encore et encore, il apprend à devenir grand par la force, ne comprend-t-il pas ceux qui le blessent, mais avec maladresse il s'exprime et aggrave davantage son état. les lèvres sont bleutées lorsqu'il observe les larmes translucides du ciel ruisseler le long de ses joues ce n'est plus lui qui pleure pour le monde ; mais le monde qui s'agenouille afin de pleurer pour lui. les plaies et les bleus sont si courants, il les cache, s'agace à nouveau de voir que dans cette équation il n'a aucune place où coexister. on valorise son intelligence, mais il ne se sent pas valorisé.
humeur cyclothymique encore et encore, elle revient comme un verset, on l’entraîne ailleurs, dans un cabinet secret afin qu'il puisse enfin dévoiler une parcelle de ses plaies. l' enfant-animal se surprend à juste contempler le vide, entendre la voix suave d'une belle trop belle, celle qui lui apprend que hausser la voix n'est pas nécessaire, que l'on peut extérioriser la colère autrement. naïvement, désespérément il vole ses mots et se met à les boire, les discussions sont nombreuses, il témoigne de la violence que l'on présente dès qu'il met un pied hors de sa porte, également des marques qui ne cessent de gondoler la peau désormais de-ci et de-là violette. apprend-t-il à coucher sur papier plutôt que de crier ses problèmes, l'exercice est difficile. lorsque la violence devient normalité, que les langues sont achetées avec des promesses d'argent et de beauté. Il les hait mais ne sait haïr, puis se surprend à compatir. ender aux innombrables sentiments qui hurlent tellement, si fort que l'on ne les entend plus et à force de trop ressentir, finit-il par ne plus rien éprouver.
dans cet éclair de déliquescence pourtant, il y trouve un fragment de bienséance, une solidarité dans les yeux de celui qu'il nomme après quelques journées espérance. namsoo au génie rare, enfant plus jeune encore que lui, le voir s'épanouir et grandir, le voir scintiller de son génie est une bouffée d'air frais qui l'empêche de succomber. namsoo érigé salvateur et perle, leurs conversations atypiques sont des moments où il teste et s'émerveille de son intellect. ‹ il n'est pas seul, ender › il s'est simplement caché, terré sous des fils barbelés. incapable de socialiser sans se vautrer dans les conventions sociales, hypnotisé par les calculs, les progrès, les statistiques, la poésie, la culture et l'espace. il dévore tout ce qui lui passe entre les pattes, parfois pris de crises de panique lorsque sa synesthésie le tourmente de sens entremêlés — lorsque les chiffres qui lui sautent aux rétines sont trop habiles pour être contrôlés.
quinze ans, père se meurt, malade et trop fatigué, il se retrouve ravagé, pleurant toutes les larmes pour un héro étant parti trop tôt. malade, blessé, une plaie béante contre la poitrine et le pied, apprend-t-il de ses compagnons de travail qu'on avait tenté de l'abattre et que durant des heures (( se l'imagine-t-il, sans preuves )) a-t-il souffert avant de capituler et partir de l'autre côté. personne ne l'a défendu, personne n'a arrêté tous les coupables, son âme est condamnée à rester. c'est le début de la défaillance, parce que tout ça c'est aussi de sa faute.
il y eut que lui, dans l'obsolescence du jour. amour-infinité, amour-parentalité. il eût été le refuge des criminalités austères, du venal de témoignages montés de toutes pièces. il l'eût aimé, comme l'air aimait la terre, comme toutes les plantes en eurent aimé le vert, jusqu'à s'en teindre du coloris-inverse. à en pleurer sa perte trop brève, nuit et jour, jour et nuit, primevère et hivers d'ennui à ne savourer que le sel des lacrymales.
à ne jamais se pardonner de l'avoir vendu aux moires tout en les croyant nymphes. chaque jour portera avec lui le rugissement des filandres qu'il enserre en rêvant de s'asphyxier et d'ainsi, fauché par la mort, ne plus avoir à en raturer l'épitaphe d'autres — autrui.
(( il l'avait tant aimé qu'il l'avait tué ))
erreur labdacide.
‹ ┊iii. three › on lui a tout pris, de ses œuvres écrites éventrées et charcutées sous le nom de plume d'un autre. on lui a volé ses créations, ses buts, sa force et ses aspirations, traitant ses sentiments comme des torchons sans même se douter de toutes les trippes et de tout le sang qu'il avait versé ne serait-ce que pour un chapitre de déraison. l'amertume avait manqué de le tuer, lorsque des litres et des litres de larmes échouées sur les feuilles furent récupérés pour servir à un autre. après les insultes et les cris, les coups, les oublis, les maltraitances, les humiliations, les rabaissements, les violences, les affabulations, tout ce qu'il avait enduré et effacé revint à la surface. il a explosé ender, en supernova, scindant sa peau et celle d'un autre de coups furieux. il a été le fin puni dans l'histoire, puisque dans cette société les douleurs psychiques ne sont considérés que lorsqu'on apprend que tu t'es tué. la honte s'est abattue sur sa famille, seulement étouffée par les terribles cas de harcèlement le faisant passer d'agresseur à victime. la seule chose qu'il voulait pourtant, c'était de s'emboîter quelque part sans avoir un quelconque rôle prédéfini n'étant jamais le sien.
successions de désordres, dans cette boîte dépareillée il ne fait sens que lorsqu'il se drape d'une nouvelle personnalité, s'aventurant dans la foule en fourrure féline. les livres sont rangés au côtés du cercle de poètes qu'il fréquente activement, les clubs de science et de mathématiques cumulés par le temps et pourtant, il a besoin de rentrer en contact avec autrui. il a besoin de briser cette vitre qui le sépare des autres, ne serait-ce qu'une seule fois. les aventures ne suffissent plus et c'est un il qui vient le draper de ses baisers lors de nuits secrètes, un lien qui se cache parmi tant d'autres car toutes les familles ne sont pas aussi tolérantes que la sienne. tout est parfait le temps que ça dure, jusqu'à ce qu'il le perde aussi sous le poids de la culpabilité. ender est toujours en retard, jamais prudent suffisamment pour les sauver avant qu'ils ne partent.
aimer ne suffit pas, ça ne suffira jamais.
‹ ┊iv. four › the devil made me cry.
— hey ender, j'espère que tu vas bien. on m'a... raconté ce qui s'est passé, je suis... vraiment... vraiment désolé. est-ce que tu voudrais que je passe ? te voir ou... je ne sais pas, n'importe quoi. réponds moi, s'il te plaît. mais il ne répond pas, fixant le vide et l'obscurité une fois encore, la tant aimée qu'il avait appris à détester après des mois à la fréquenter. son crâne et son endocarde étaient abîmés, bandés, raffistolés de bandages et plâtres inutiles. sa nuque était si raide et recourbée qu'il peinait même à respirer. il était seul. il aurait tant voulu lui répondre, à ce seul lui qui se souciait de lui avec ses parents mais rien ne vient. ses yeux s'inondèrent de larmes, il tenta mais échoua dans le manège de s'essuyer les joues. il ne se souvenait pas de lui. il ne se souvenait plus de personne, ni de ses parents, ni de ses prétendus amis, ni même de l'effondrement lui ayant explosé le crâne sous le bitume. sa vie était ainsi comme cette chambre d'hôpital, vide et blanche, un point d'interrogation dans une tasse qu'il ne consommerait jamais. la seule chose qu'il savait, c'était qu'il était grandement malade, qu'il avait attrapé lors de son accident une infection prévisible dont il s'amusait à compter les symptômes. la seconde chose qu'il savait était qu'il avait fait paniquer une dénommée élise et qu'il lui avait écrit des lettres, des tonnes de lettres. il aurait mieux fallut qu'il les lui envoie jadis, puisque maintenant il ne connaissait même plus son adresse. c'est un chaos dans l'esprit, s'éveiller et ne pas pouvoir bouger, être prisonnier de son propre corps, ressentir chaque morsure du plâtre, ne pas parvenir à respirer ni même se regarder avec les deux yeux car un avait été abimé.
comment on reprenait une vie qui nous avait échappée ? avec des morceaux et des fragments miroirs ne faisant aucun sens, à parler d'une voix que l'on ne reconnaissait pas, à ne distinguer que des stigmates affreux sur les grains de sa propre peau. assis sur ce lit, il relit des livres, ainsi que ses propres écrits et poèmes, il se redécouvre à travers des lignes qui lui sont inconnues et pourtant si familières à la fois. il s'amuse à découvrir parmi la marrée de pseudos données quels personnages représentent les membres proches, mais il s'insupporte peu à peu à découvrir qu'il n'était rien de plus que cela. il ne se supporte pas, plus son ancien lui.
Alors il s'est reforgé -- les craintes annihilés, le cœur nullement dressé. sans honte aucune, ender en aspiration de briller si fort qu'il en brûlera les pupilles de tous ses détracteurs. il obtiendra tout ce qu'il désire, recollera chaque pièce, s'abimera sur les récifs des cœurs malades et armés. il a écrit pour d'autres et en a déchanté, a replongé dans les vieilles relations puis les a quittées. il a tout refait dans son chez lui, plusieurs fois, a tout vérifié un million de fois, tout modifié à sa nouvelle image. il s'esquintera sous tous les pièges, pour n'en contourner aucun et finira par les dépasser. parce qu'il n'a plus rien à perdre.
‹ ┊v. five ›
nebula ((pandemonium)) — égérie du laos lake, bouteille de champagne, communauté des horreurs terrée sous les carnes et cendres, en dies irae. ender en précieux consensus de liberté s'entête à lutter face aux stryges, cultivant la libération d'un raisonnement caduc ; la scarification de ficelles mortelles le sciant comme les serres d'une fatalité sanglante. car de maîtrise n'en a-t-il que le virtuose arché de quelques mélodies dramatiques, enchaînements catastrophiques, violences strangulées dans le placard où toutes les terreurs naissent et flétrissent sous son toucher. danger à l'être qui sans en comprendre les reliques, sans s'aventurer à en lire hiéroglyphes et pictogrammes enchantés, croiserait charybde au rez-de-chaussée. Le calme indicible terre la colère, la toxicité est d'un translucide velléitaire ; l'oxygène devient monoxyde carbonique et seule la fine couche de calcaire maintient l'inépuisable ire aux tréfonds d'un océan satyre. il en a contrôlé les flots marécageux, les nausées abondantes, les hystéries infernum sous les tressautements de poumons ardents et de spasmophilies. ender qui ne s'élancerait jamais en guerre fallacieuse, guettant les plaies des autres, ignorant les provocations inutilement osées pour le faire se détourner des objectifs maîtres. or, si l'ennemi ne s'aventure, en son égoïsme et son sadisme pur, à éviter ses plaies et à poignarder les limites du cœur de mortelles flèches, découvrira-t-il que si dans l'amour en est-il eros, vêtu d'arme de guerre il deviendrait le chaos. myocardique aux dents de serre, scalpels aux molaires, il brise les lames, déchiquète les chairs et ne s'arrêtera pas en les faisant saigner. extrémisme dans le trop — jamais assez, le silence cache en vérité les mille diables qui n'attendent qu'une énième bêtise pour des chaînes se libérer. car dans le jeu d'injustice le juste prime par son amertume et récompense les mauvais joueurs par une justice à la hauteur.
(( funeste sérénité • appétit de manger • carnassier maîtrisé • chaotiquement brisé • goût mortel d'éduquer tout ceux qui tentent spirituellement de le tuer • rejetter leurs restes dans la voie lactée • remettre lucifer en cage, satan au bûcher pour se refaire, se canaliser • les observer de loin briller ‐ devenir sa meilleure oeuvre ))
‹ ┊vi. six ›
échanges épistolaires, il préserve son plaisir d'écrire pour autrui et surtout de lire les mots d'une âme nouvelle. certaines lettres demeurent dans deux immenses valises, jamais envoyées. • personnalité profondément calme, il pourrait rester des jours terrés dans sa caverne, à écrire et peindre pour tenter de sculpter une nouvelle réalité. • lorsqu'il dort seul, pour éviter de se blesser durant les terreurs, il s'attache au lit. les crises sont limitées lorsqu'il dort avec quelqu'un, cependant. • il a de l'hypersthénie et parfois ses propres sens accentués le rendent confus ou au contraire irritable, ils sont néanmoins essentiels et il s'estime chanceux de les avoir ainsi. • il adore ses parents et correspond très souvent avec eux lorsqu'il ne va pas les visiter. il se rend toujours disponible pour leur anniversaire et adore honorer sa mère de cadeaux. • plus jeune, il voulait travailler avec les insectes et les papillons qui le fascinent, il n'a abandonné cette idée que pour son projet actuel mais adore toujours autant les observer. • lorsqu'il n'est pas dans son hyperactivité, il dort, c'est une personne qui une fois son projet terminé peut dormir 12 heures plusieurs jours d'affilés. • il casse souvent son téléphone, l'égare et fini par mettre des vents aux gens qui le contactent. ce n'est pas exprès, sa mémoire lui fait juste défaut quand il s'agit de choses banales. • ce n'est pas quelqu'un qui respecte les codes sociaux, il ne dit pas bonjour quand il a quelque chose à demander, va toujours droit au sujet surtout parce qu'il a tendance aussi à oublier les politesses qu'il juge parfois exagérées. il s'excusera toujours cependant lorsqu'il s'en rendra compte • il n'aime pas trop la nourriture chaude et se brûle très souvent en en mangeant. • romantique ni dans les livres, ni dans sa vie, les relations sont belles lorsqu'imaginées, il n'a aucune attache et ne désire attacher qui que ce soit. ses relations sont soit libres, soit coupées dès qu'il se sent un peu étouffé. les seules exceptions restent les assauts obsessionnels qui lui prennent très rarement. là, il n'arrive pas à en décrocher.
≋ pseudo ↝ luxem sigma. ≋ pronoms ↝ elle ≋ présence ↝ 6/7, vu que je dors tellement qu'on peut compter un jour de moins mdr. ≋ qu'est-ce qui t'amène ? ↝ vous êtes bien beaux alors me voici, puis namsoo m'a hype cette fourbe. ≋ nombre de mots ↝ je peux faire entre 400 à beaucoup de mots, tout dépend du/de la partenaire. je m'adapte ! ≋ région/pays ↝ switzerland, on est pas beaucoup mais on est là ! ≋ crédits ↝ (avatars, gifs, icons) merci à sxftcup1d, kthice, xunqiz & ralhiel ♡
≋ more ↝ hello everyone ! je vais faire un résumé court car je ne sais jamais quoi dire mdrrr. j'ai 25 ans et j'écris depuis plus de 10 déjà, ça ne me rajeunit pas. j'adore les personnages profonds et plein de couches, la psychologie, collectionner les anecdotes ridicules et dormir. récemment je me suis rendue compte que je mourrai d'envie de faire de la photographie et de peindre, so j'ai rajouté ça à ma to do list — mais faudrait déjà que j'apprenne à dessiner. j'adore les dramas et la complexité des personnages, le clair-obscur de la personnalité humaine, découvrir au même rythme que mon perso les choses et la poésie. ender est un personnage très important pour moi, c'est un peu mon bébé qui a grandi avec moi, alors j'y tiens beaucoup. ♡ en espérant me faire une petite place parmi vous, n'hésitez pas s'il colle à une idée ou une envie.
LE VOILÀ trop hâte de le découvrir ohlala et je plaide non-coupable, j'ai rien fait! on y croit, svp en tout cas, bienvenue par ici, ça fait plaisir de t'accueillir et si tu as la moindre question, tu sais où me trouver krkrkr
—
inhale sky; exhale stars
you're always one decision away from a totally different life • unknown.
@Han Jin Sol ouii, on est pas beaucoup mais on est là, cachés dans les buissons comme de petits stalkeurs
Merci beaucoup, ça me touche au plaisir de te recroiser sur le forum, ton combo pseudo + faceclaim est divin
@Tak Namsoo AAAHHHHHH L'HOMME DE TOUS LES HOMMES ! Le petit génie et l'espérance d'Ender. Je suis trop, trop contente d'être là et de pouvoir cajoler tes personnages iwnsiwjs. Si si tu es une tentatrice mais j'adore ça, grande folle Hâte d'écrire avec toi et de les voir évoluer, autant du côté de Namsoo que de Noyun ((aimez cet homme, svp il mérite le monde ))
Merci à toi joli cœur
@Oh Ho Jin mais c'est gentil tout plein ça merci beaucoup, je suis toute iwknsosj, en espérant que la suite te plaise tout autant
AH OUAIS D'ACCORD LE COUSIN DE NOHYUN ( MA VIE, MON ANGE, MON TOUT ) ?????? et en plus tu viens me heurter avec taehyung et ses cheveux bleus je. ouin. d'accord ????????? et avec une plume magnifique jpp faut arrêter. j'ai pas eu le temps de passer dans les invités MILLE PARDONS SNIF mais j'vais passer te voir en mp pcq criminologie ????? need un lien avec masa déjà + obligé le lien avec yeol ( QUI AIME NOHYUN OUI OUI !! ) b r e f bienvenue parmi nous trop trop glad de voir une nouvelle tête débarquer
Je ne vous ai pas oubliés, j'ai passé un milieu/fin de semaine chaotique à cause de cette chaleur MAIS je suis là (je suis venue, j'ai vu, j'ai vaincu )
OMG OMG OMG, j'ai DE-VO-RE la fiche de Nohyun dans tout mon chagrin et mon feels, je me suis perdue dans l'amour qu'il a vécu pour Sun justement et je suis dans le feels Je veux trop suivre cela, elle m'a parlé un peu de ce qui se passe actuellement et je suis en mode "why jesus ???" il leur faut tellement une happy end, pleaaase
mais je uewgfiwge. viens, viens avec PLAISIR ! On pourra se trouver des liens de fou, je prends tout et je te fais même des câlins là taehyung cheveux bleu = faiblesse. send help please, adios
merciii pour ton message si doux, je chouine au plaisir de te recroiser et d'écrire avec toii, je vais aller lire ta fiche keskiya
@Eom Shiloh oh l'ultime œuvre d'art well, prends ce que tu veux grand fou : the monster in me loves ur chaos hâte de lancer cela aussi sksksk.
omg je suis trop en retard mais !! BIENVENUE SUR LE FORUM avec taehyung my love, quel choix excellent ! on m'a parlé de toi cnbclibnxvnklf et on m'a dit "t'as un nouveau cousin" JE PRENDS J'ACCEPTE ♡ ta plume est toute jolie et trop agréable à lire, ender m'intrigue énormément courage avec la fin de ta fiche (je crois qu'elle est terminée en plus ??), je viendrai te voir en privé pour qu'on discute hihi
COUSIIIIIN Mais c'est si doux je iwnsosnsk. Avec plaisir pour un lien, on doit se papouiller tout plein ! Dès que je suis posée à la casa je vais lire ta fiche pour voir ce que je peux te proposer
Ton profil déjà ??? Il a l'air tellement doux, cette perle. Franchement ce trio c'est vraiment les gentils moon ((sisi ender est gentil parfois MDR))
Merci beaucoup douceur capri sun (ender surkiffe ça en prime)
ME VOICI un gros pardon pour l'attente et merci pour ta patience, encore une fois et tu m'excuseras, je voulais te faire un beau message, mais ce n'est clairement pas ma semaine
du coup, cette fiche??? déjà, l'aesthetic est à tomber ta fiche est bien détaillée, c'est plaisant de découvrir ender. j'avais déjà eu un bon briefing, mais du coup, j'ai eu réponses à mes dernières curiosités krkrkr ta plume est exceptionnelle, un tel niveau m'impressionne toujours autant
j'avais tellement de choses à dire, mais je suis tellement hs que j'ai oublié anyway, je t'ai dit beaucoup en pv, déjà j'ai trop trop hâte de développer nos liens, ça promet énormément et c'est un réel plaisir de t'accueillir sur hm bon jeu parmi nous!
i am the chosen one byeoljali
⊱ de pourpre
Les résultats du questionnaire indiquent à @moon ender qu'il fait partie des Byeoljali, les chiens vermeils de Corée.
Byeoljali 별자리 signifie constellation.
Leur couleur traditionnelle est le rouge garance, couleur que les étudiants de la SNU arborent sur leur blouson afin de se reconnaître mutuellement.
Leur animal totem est le chien, qui est associé à la fidélité, l'intelligence et l'intuition de la mort. Au fil des années, ils ont été dotés d'un surnom caractéristique : celui des chiens vermeils.
Leur emblème est l'étoile, pour l'orientation et l'idéal. Pour respecter les coutumes, un insigne est donné sous forme d'écusson à chaque membre de la société, qui peut choisir d'en disposer et de le porter comme il le veut, à condition de toujours l'avoir sur soi. Les salariés et citoyens pourront s'en apprêter de la manière qu'ils souhaitent, tandis que les étudiants auront tendance à l'accrocher sur leur blouson. L'écusson des Byeoljali représente une étoile blanche sur fond de couleur rouge.
On est plus heureux dans l'espérance qu'après la réussite. congrats, kid !
⊱ te voilà validé(e) !
Tu as terminé ta fiche, toutes nos félicitations Le jeu commence pour toi dès maintenant !
Pour faciliter ton intégration, il est important de poster ta fiche de lien, mais également ton journal de bord. Si la fiche de lien est facultative bien que fortement conseillée, le journal lui est obligatoire.
Une fois ces étapes réalisées et si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram (www), et même nous laisser ton numéro de téléphone (www)
Ton groupe a été déterminé suite aux réponses de ton questionnaire, cependant tu restes décisionnaire et dans le cas où ça ne te convient pas, tu peux demander à un membre du staff de t'attribuer un autre groupe. N'oublie pas qu'une fois engagé, tu ne peux le modifier
Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du flood (www) et de la chatbox (www), nous serons ravis de t'y accueillir