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Kudo Keisuke -- Never say never
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| ( #) Sujet: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 20:15 |
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt … ou à ceux qui se couchent tard. pv // feat. Park Bo Gum |
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nom ⎯ Kudo, un nom classique, il fait partie des cinquante noms les plus populaires au Japon, mais derrière la simplicité de ce nom se cache un empire à en faire pâlir plus d’un. prénom ⎯ Keisuke, un nom qui signifie « épée » mais aussi force, un nom que ses parents voulaient puissant et qui inspire confiance, un nom quelques fois trop long, alors bien souvent il se fait appelé Kei âge ⎯ Vingt-sept ans, la trentaine approche, mais l’âge, c’est dans la tête non ? date & lieu de naissance ⎯ Tokyo, la capitale du pays du Soleil levant, la veille de Noël de l’an 1989. origine & nationalité ⎯ Origines : Japano-Coréenne, mais si on détaille un peu plus ses racines, il a aussi du sang Taïwanais, un beau mélange dont ses parents sont peu fiers. Nationalité : Coréenne récemment, malgré un nom à consonance japonaise, il a pris la nationalité de sa mère, un choix dont lui seul a été l’instigateur, mais au fond il n’a pas qu’une seule patrie. cursus ⎯ Business International, un diplôme qu’il a brillamment réussi il y a déjà deux ans. métier ⎯ Héritier apprenti de la Kudo Company, l’art de négocier ne s’apprend plus dans les livres pour le coréen, mais sur le terrain auprès des négociateurs avertit. situation financière ⎯ Tu vois Shopping King Louis ? Tout pareil ! Il ne faut pas lui en vouloir, il est né avec une cuillère en or dans la bouche, fils unique et héritier légitime de l’empire Kudo, son attitude laisse à penser qu’il se sent supérieur, mais en réalité il ne ressent aucune méprise des autres classes sociales, pour lui c’est l’ordre naturel des choses. orientation ⎯ Hétérosexuel, pas de préférence pour les physiques, tant que tu te comportes comme une vraie demoiselle et que tu aimes les cadeaux alors il y a une petite place pour toi, mais n’espères pas prendre son cœur, tomber amoureux … ça ne lui est encore jamais arrivé. rejoindre une société ? ⎯ Citiz’ | caractère On me dit souvent lunatique ou bipolaire, mais je ne pense pas que l’on puisse m’attribuer ces étiquettes. Je réagis en fonction de la personne qui me fait face avec spontanéité. J’ai mis longtemps à chercher qui j’étais vraiment, et au fond je pense que je ne le sais pas encore, mais ce que je sais, c’est que j’apprécie la compagnie de jolies filles, j’aime sortir et faire la fête. Flambeur ? Pas vraiment, je dirais surtout dépensier, mais lorsqu’il s’agit de faire plaisir, je n’ai pas les même repères que monsieur tout le monde. Si tu penses que je te porte une attention particulière parce que je t’offre un bijou tu te trompes, mes standards ne sont tout simplement pas les mêmes. Je ne suis pas fait de glace bien sûr, j’ai des émotions, mais même si ta présence me fait sourire, je n’ai pas encore appris à aimer réellement, de cet amour inconditionnel qui te fait perdre toute notion du temps et de l’espace. J’apprécie et je profite, je jouis d’un confort qui me permet des caprices, mais je suis loin d’être un fainéant. On dit que l’on se rend compte de l’importance des choses lorsqu’on les perd, mais je n’ai encore rien perdu, ce sont mes parents qui ont bien failli faire leurs adieux à leur fils, alors je comprends à quel point la vie est précieuse, mais je ne peux qu’imaginer la valeur des biens matériels, pour moi tout est accessible, je n’ai qu’a tendre le bras. Je dis ce qui me passe par la tête, je n’ai pas vraiment de filtre, mais c’est aussi parce que j’ai toujours été encouragé à dire ce que je ressentais depuis ma leucémie. Si je t’apprécie je te le dirais, en revanche si tu ne me plais pas je ne prendrais pas non plus de pincettes, je ne fais pas dans la demi-mesure. Il m’arrive de mentir bien évidemment, mon passé est mon plus gros secret et il en restera ainsi tant que je ne me sentirais pas suffisamment en confiance pour le dévoiler. Je ne suis pas vraiment tactile, je n’aime pas le contact, n’espère pas une accolade de ma part à moins de faire partie de mon cercle d’amis proches. Je suis assez ouvert d’esprit, j’ai même eu une petite amie dont la fortune était loin d’égaler la mienne ! J’avais tendance à martyriser un peu mes cadets durant le collège et le lycée, mais je ne suis plus vraiment cette brute. J’ai beau être plus calme, je reste survolté. J’ai beau déjà tout avoir, j’en veux toujours plus, je suis avide de cette sensation que l’on pourrait m’enlever à nouveau. J’ai beau vivre dans la crainte des hôpitaux, je ne suis pas de ceux à reculer devant un défi, je pourrais même m’en rendre malade. Je suis pourtant plus fragile et c’est ce que je déteste le plus chez moi, je déteste m’effondrer face à une simple fièvre. On m’a d’ailleurs souvent pris pour un drogué, j’ai toujours quelques médicaments sur moi, et surtout des vitamines, mais si vous voyez mon armoire à pharmacie, je pense que vous fuiriez ! Il me reste quelques équipements médicaux qui dorment dans l’un de mes placards, mes parents les ont gardés précieusement, parce que selon eux « on ne sait jamais », ou encore « il faut parer à toute éventualité ». Je dirais que je suis juste moi, Kei, un homme de vingt-sept ans, je profite et je vis chaque jour en le prenant comme il vient. Je ne fais pas vraiment de projets à long termes, par contre mon agenda pour les trois prochaines semaines est rapidement rempli.
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Généreux | Un peu naïf | Sûr de lui | Dépensier |
Intelligent | Familier | Déterminé | Superficiel quelques fois |
histoire ▬ 3 mai 1996 ▬ La chambre est grande, blanche et bien trop vide. Des rideaux de plastique avaient été dressés tout autour de mon lit, je me sentais comme dans le sas d’une salle de décontamination, celles qui l’on voit dans les films où les personnages veulent accéder à une pièce stérile. J’ai gardé ce rideau longtemps, à tel point que je m’y étais habitué. Je vivais dans une bulle, et chaque jour je voyais mes parents qui venaient me rendre visite. Les larmes coulaient sur les douces joues de ma jeune mère, laissant des traces invisibles et salées sur son visage triste. Les médecins discutaient souvent avec eux, en utilisant des termes bien trop techniques pour que je puisse y comprendre quelque chose. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je devais me retrouver là, dans cette chambre, isolé de tous à la manière d’un prisonnier. J’avais une cage de plastique et je ne pouvais pas en sortir. On m’avait expliqué que j’étais malade, que j’avais besoin de voir les médecins souvent, qu’ils devaient me surveiller, mais je pensais que l’on guérissait rapidement quand on était malade. Certains jours je ne voyais pas l’utilité de me garder à l’abri des regards, comme un secret à ne jamais dévoiler, je me sentais bien, je courais, jouais et sautais sur mon lit, dans ma petite bulle. D’autres jours, je vomissais. Même si mon estomac était désespérément vide, je continuais de cracher tout ce mal être qui m’habitait. J’étais persuadé d’avoir un fantôme, un démon qui avait pris possession de moi et qui se nourrissait de ma force vitale. Je crois que je m’étais mis à prier, qu’on me laisse le droit de rester avec mes parents, qu’on me donne une chance de pouvoir jouer avec mon père, de courir librement au soleil ou sous la pluie. Je ne crois pas, j’ai prié ! ▬ 17 août 1996 ▬ On m’avait enlevé ma bulle. Je pouvais prendre ma mère dans mes bras, la serrer fort contre moi, sentir à nouveau son parfum. Mais ses yeux brillaient toujours de ces perles qui s’obstinaient à s’accrocher à ses cils, dont chaque battement faisait voler en éclat des petits diamants liquides. J’ai vu mon père pleurer pour la première fois, il passait la main sur mon crâne nu, un sourire fermement accroché à ses lèvres. Comme un automate, il se tenait droit, je savais pourquoi, je savais qu’il voulait me montrer son bonheur plutôt que sa tristesse. Je n’avais pas encore compris pourquoi ma tignasse habituelle avait laissé place à une peau d’enfant, douce et immaculée. Malgré tout, lorsque je pus enfin sortir de ma bulle, j’appréciais de sentir cette légère brise qui passait par l’ouverture minuscule de la fenêtre. Je profitais de cet instant, je ne m’étais jamais rendu compte que je détestais ce rideau de plastique qui avait conditionné ma vie pendant quatre mois. Ce n’est qu’une fois enlevé que j’avais compris que je le détestais. Je commençais à fatiguer de me retrouver seul dans ma chambre, je ne supportais plus de me retrouver confiner dans un espace qui puait le désinfectant et la mort. J’avais compris, avec les autres enfants, on nous passait des dessins animés nous expliquant notre maladie. J’ai commencé à prendre la mesure de mon état. Alors je vivais mes journées comme si elles étaient les dernières, je riais, je pleurais, je jouais, je dormais, mais je ne pouvais pas être moi. La leucémie qui me rongeait m’empêchait de plus en plus d’afficher un grand sourire sur mon visage enfantin. Là où devait se trouver des joues rebondissantes, on ne trouvait que deux creux, des pommettes émaciées au teint pâle. On m’avait retiré ma bulle, mais on m’avait enchaîné à des appareils qui bipaient au moindre changement cardiaque. Le sommeil ne m’étreignait plus, Morphée m’avait oublié, laissant dans son sillage des cernes profondes et marquées que je ne pensais jamais pouvoir combler à nouveau un jour. Alors j’ai dit à mes parents, que je devrais les quitter bientôt. J’ai déclenché un torrent de larmes dans leurs yeux déjà éteints, mais au fond, je suis sûr qu’ils se doutaient qu’il faudrait un jour nous séparer. J’avais renoncé, j’avais baissé les bras, capitulé face à la douleur et la fatigue qui pesait sur mes frêles épaules. Mes prunelles n’étaient plus que le reflet d’une âme déjà condamnée. ▬ 9 mars 2001 ▬ Rémission. Jamais je n’aurais cru entendre ce mot. A douze ans, on s’attend à autre chose que ressentir le soulagement indescriptible que procure ce simple mot. Et pourtant. Cela m’a parût une éternité, cinq longues années d’acharnement, de traitement. Ma vie était suspendue entre les séjours à l’hôpital et les cours moments de répit que je pouvais passer chez moi. J’arborais depuis quelques mois une nouvelle toison, une sorte de renaissance. Dans le petit cabinet du médecin, mes parents ne semblaient pas y croire, à vrai dire, même moi je n’y croyais pas. Les propos du vieil homme me paraissaient tellement irréels que j’avais peur d’y croire, je voulais me raccrocher à ce qui ressemblait à ma vie ces dernières années, je m’étais préparé. Mes parents aussi, le soupir de soulagement de ma mère, le cri étouffé de mon père prouvaient qu’ils y croyaient. Un seul mot. Les semaines qui suivirent furent un calvaire. On pourrait croire que de s’entendre annoncer sa rémission provoquera la joie et le bonheur chez n’importe quel malade. Pas chez moi. J’allais quitter ce monde, j’avais compris que ma vie serait courte, alors l’idée qu’on puisse m’offrir toute une vie, une vraie vie, la possibilité de faire ce dont j’aurais envie ne m’avais pas effleuré. Je n’étais pas moi-même, à vrai dire je ne savais pas qui j’étais réellement. Je n’étais plus un enfant malade, alors que me restait-il ? J’errais comme si la maladie avait déjà happé une partie de moi, me laissant à moitié vivant. Je ne voulais rien faire comme les autres enfants, j’étais indécis, perdu. Mes parents restaient eux-mêmes, aimant et patient, forts et droits, un phare dans l’obscurité, mon roc et ma lumière. Ils m’ont donné mon temps, m’ont laissé m’adapter à me trouver une nouvelle identité. ▬ 3 septembre 2007 ▬ Mes années collège ont été plutôt calmes, je me forgeais un nouveau caractère et j’apprenais à rattraper tout ce que j’avais manqué. Je n’ai jamais parlé à personne de mon combat contre la leucémie, et je n’en parlerais sans doute jamais, je ne veux pas voir le regard empli de pitié et de tristesse pour l’enfant que je ne suis plus. Je ne veux pas être étiqueté comme le malade, celui dont il faut faire attention parce qu’il est fragile. J’ai grandi, j’ai repris du poids et de la force. Je suis devenu un jeune homme sûre de lui, et une fois n’est pas coutume, je me suis laissé débordé. Je suis passé de l’enfant heureux et plein de vie, au cadavre qui déambulait dans les couloirs de l’hôpital, pour me laisser emplir par la tristesse et le doute, et finalement me bâtir une carapace digne des plus grands châteaux forts. Je ne me laissais pas approché, je m’enfermais dans une solitude, je me complaisais dans ce nuage de colère contre la bonté humaine. Le lycée fut sans doute le plus dur. J’avais conscience que la nature m’avait doté d’un charme certain, mais mon système de défense demeurait infaillible. Je me suis entouré d’une bande d’amis, tous de riches héritiers, et il faut dire que l’environnement privé du lycée facilitait beaucoup les choses. Nous étions les rois du monde, n’en faisant qu’à notre tête, profitant de la moindre occasion pour nous imposer comme les modèles à suivre, les dirigeants de demain. J’ai passé mon temps entre les études, les sorties et les altercations. Mon père m’avait mis en garde, plus d’une fois d’ailleurs. Mais les ennuis étaient comme la chaleur du soleil, je ressentais le besoin de m’y brûler. Et pourtant, peu avant le suneng, j’avais compris. ▬ 14 juin 2012 ▬ Après les menaces de mon père, il avait fini par abandonné l’idée de me déshériter. Je passais un nouveau cap, je commençais enfin à me trouver une véritable identité, un Kei qui me plaisait, autant à moi qu’à mes parents. Certains diront que j’ai pris mon temps, que j’ai été égoïste, et je ne nierais pas. J’avais besoin de ces années. L’université fut bien plus reposante. Entouré du même groupe d’amis, je n’errais plus, je prenais enfin mon envol, je découvrais enfin ce pour quoi j’étais fait. J’étais loin d’être le plus studieux des étudiants, mais je n’en avais pas besoin. J’avais découvert que j’avais quelques capacités qui me permettaient aisément de retenir les bases théoriques de mon futur métier. Je reprendrais l’empire Kudo, j’étais né pour ça. L’idée ne m’avait jamais rebutée, mais elle prenait un sens nouveau, une dimension plus concrète, comme si je pouvais toucher du doigt et saisir l’immensité de ce groupe. J’avais reprit le droit chemin, et je le devais bien à mes parents. J’étais devenu un jeune homme sûr de lui, confiant en l’avenir et compétent. ▬ 3 décembre 2017 ▬ Ma vie commençait ! J’avais définitivement tiré un trait sur le garçon qui était rongé par la tristesse et l’incertitude, j’avais quitté les chaînes qui me maintenaient au sol, j’avais enfin déployé mes ailes pour aller chercher la place qui me revenait de droit. Le diplôme en poche, j’avais commencé à travailler comme apprenti auprès de mon paternel. Le sourire avait fait de nouveau son apparition sur mon visage et ne disparaissait plus. Je voulais voir le bon côté des choses, je voulais être optimiste et croquer la vie à pleine dents. Malgré les analyses annuelles auxquelles je ne pouvais pas échapper, je ressemblais à n’importe quel homme de 27 ans. J’avais rencontré quelques jeunes femmes, mais mon cœur demeurait clos. Je n’avais pas besoin d’aimer après tout, juste profiter de leur présence était suffisant, non ? J’entrevoyais les nombreuses possibilités qui s’ouvraient à moi, et j’exhalais déjà de parcourir le monde, de laisser ma marque à chacun de mes passages. La seule ombre au tableau, cette épée de Damoclès qui pesait encore sur mes épaules était la probabilité d’une rechute. Malheureusement je n’en étais pas à l’abri, mais j’avais décidé que rien ne m’arrêterais ! anecdotes Il a beaucoup de succès avec les filles ✗ Il sourit dans presque toutes les situations ✗ Il fait très attention à son hygiène de vie, il ne veut pas prendre un gramme ou paraitre moche ✗ Il aime avoir l’attention ✗ Il serait fiancé à une amie d’enfance (un compromis passé entre deux grandes familles et dont il se passerait bien) ✗ Son petit déjeuner se compose de céréales aux lait ou d’un chocolat chaud, pas de café ou de thé, il est déjà une pile électrique ✗ Il collectionne les DC Comics ✗ Il maitrise parfaitement le Japonais, le Coréen, le Mandarin, l’Anglais, l’Espagnol, l’Allemand et le Portugais ✗ Il est le fils unique de la famille Kudo, et donc unique héritier de l’empire de la maroquinerie créé par son grand père ✗ Sa mère est Japonaise et son père est half Coréen, half Taiwanais, c’est d’ailleurs son père qui a pris le nom de sa femme, chez les Kudo, les femmes sont décisionnaires ✗ Il envoie une lanterne en papier chaque année pour réaliser ses vœux à PingXi ✗ Il adore la bière et le Soju, même s’il ne tient pas l’alcool ✗ Il peut paraitre vaniteux, mais c’est simplement parce qu’il a été élevé dans un monde de luxe ✗ Il va au bout des choses qu’il entreprend ✗ Il passe près d’une heure à se préparer chaque matin ✗ Il possède plus de cinquante paires de chaussures ✗ Il n’est encore jamais tombé amoureux ✗ Il se lave constamment les mains ✗ Il est capable de faire des caprices à son père pour obtenir ce qu’il veut ✗ Il met parfois un peu trop de parfum ✗ Il adore le karaoké ✗ Il sait se montrer romantique ✗ Il a toujours été le garçon le plus populaire durant toute sa scolarité ✗ Il se battait souvent au lycée, d’ailleurs son père avait peur qu’il ne devienne incontrôlable, il envisageait même de le déshérité, mais finalement Kei s’est calmé une fois à la fac ✗ Il est très entouré et a une bande d’amis qui répondent toujours présent pour sortir et faire la fête! ✗ Il porte des lunettes, dès qu’il doit se concentrer sur un écran à vrai dire, au travail comme au cinéma, ses lunettes ne le quittent jamais, même s’il n’en a pas besoin tout le temps
portrait surnom ⎯ Kei signe astrologique ⎯ Capricorne signe chinois ⎯ Serpent animal préféré ⎯ Lion sucré ou salé ? ⎯ Salé type idéal ⎯ Une fille gentille ? objet fétiche ⎯ Un collier avec mon signe astrologique chinois en jade heure préférée ⎯ 19h, il est encore tôt pour faire beaucoup de choses, mais la journée de travail est terminée as-tu ton permis de conduire ? ⎯ Oui, et même une voiture rêve ⎯ J’ai tout ce dont j’ai besoin, de quoi puis-je rêver de plus ? famille ⎯ Mes parents sont encore ensemble et heureux, j’ai une famille plutôt soudée ! piercing/ tatoo ⎯ J’aimerais bien un tatouage, mais malheureusement je ne peux pas style ⎯ chic décontracté ? phobie ⎯ Les hôpitaux toc/manie ⎯ Je me gratte souvent l’arrière de la tête secret ⎯ J’ai eu une leucémie petit, je suis en rémission depuis, mais il y a des chances de rechutes couleur préférée ⎯ Gris superstition ⎯ Je ne crois pas aux superstitions menteur ou sincère ? ⎯ Sincère et spontané ! | |
Michi J’ai des chaussettes avec des onigiri dessus Ici Michi, again … j’ai succombé au DC, mais pour les beaux yeux d’une jolie demoiselle |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 20:16 | | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 20:19 |
DEUZ EDIT : bon bon bon que dire ? pas comme si j'étais surprise par ce compte /PAN/ comme tu le sais, cet avatar compte de ouf pour moi, et je suis vraiment heureuse que ce soit toi qui l'ait parce qu'il te va comme un gant et que je sais que tu en feras bon usage ton perso est genre fabuleux (ouais t'as vu je suis rapide pour lire une fiche //sort. non je dec :/) mais ça je te l'ai déjà dit, et toi & moi, on va tout déchirer, c'est obligé liwei et kei ça va être bagdad mais on va tellement kiffer je t'attends, tu seras bientôt des nôtres mon petit je t'aime tellement fort que les étoiles pâlissent devant, rebienvenue ma lucifer d'amour |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 20:23 | | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 20:26 | | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 21:45 |
ce choix d'avatar. ce personnage. Ca devrait être illégal Mais re-bienvenue ici sinon :<3: |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 21:52 | | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:01 |
Re-bienvenue par ici petit neucalyptus Amuse toi bien avec ce perso |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:22 |
@Mee Na : Mon amour Tu vas pas comprendre ce qu'il va t'arriver quand je vais t'aimer @Lili : J'suis émue ;______; Tu sais que je t'aime aussi hein ! :shy: On va faire un carnage, et je te préviens, m'appelle pas princesse >< @Dak Ho : et toi t'es trop canon IVL, IRL, j'te kiffe trop @Jae Suk : chou :<3: :<3: @Yuuki : Mais c'toi qu'es illégal C'est quoi cette mignonceté là ? :nuu: @Dae Hyun : HAN MON FLIC PRÉFÉRÉ T'es trop sexy et canon et sexy et ... c'est weird de dire ça avec Kudo, mais OSEF, t'es mon bro avant tout @Lamon : J'avais bien envie de t'appeler Lemon Mais come tu parles d'eucalyptus, j'vais t'appeler ma petite menthe (c'trop bon la menthe **) MERCI MERCI POUR VOTRE RÉACCUEIL VOUS ÊTRE TROP DES BOMBES JE VOUS AIME :nuu: |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:31 |
sois l'émotion, j'aime ça :/ bien sur que je le sais, tu m'aimes au delà des tréfonds de l'univers t'as cru j'allais te laisser ne pas m'aimer aussi, c'est mort j't'appelle comme je veux my lill princess, ok ? :/ parce que t'es genre trop choute avec tes ptites manières, ta peau douce et blanche et tes joues qui s'étirent u know ? |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:36 |
T'aime bien quand je deviens émotion ;_________; Mon p'tit coeur il est comblé par tant d'amour |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:42 |
rebienvenue bg |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 22:55 |
Merci jolie demoiselle |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Jeu 2 Mar - 23:51 | STAFF ✺ ‹ 365 SO FRESH ☽ › UNE P'TITE PHOTO ? : AVATAR : Bae Su Ji (Suzy - Actress/Miss A)
POINTS : 0
MESSAGES : 10114
NOUS A REJOINT LE : 05/08/2016
AGE : 26 | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Ven 3 Mar - 12:11 |
QGSWUYFWSGF Désolée j'ai été méga longue mais ma co a bugué pile quand j'ai voulu poster Elle vient seulement de revenir, j'adore vivre à la campagne. Bon euh déjà ok le PV c'est... absolument un trop bon choix :/ Ensuite tu as fait de lui une merveille, donc voilà hein. Comme d'hab, jamais déçue par tes perso. J'ai trop aimé son petit côté Louis Je te valide de suiiiite, et tu me réserves un lien sinon ça ira pas du tout. DU TOUT. Encore désolée pour le délai mdrrrr. Félicitations ! Tu as terminé ta fiche et tu es donc validé ! Le jeu commence pour toi dès maintenant ! Mais avant de commencer à RP, il va te falloir remplir quelques paperasse afin d'être en règle et faciliter ton intégration ! Première étape à ton parcours, n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin, afin qu'il soit définitivement lié à ton personnage. Ensuite, direction les relevés de compte pour y poster ce qui te feras office d'activité RP. C'est obligatoire, et bien sûr, tu devras veiller à le maintenir à jour ! Une fois ces petits détails réglés, tu peux te diriger vers les demandes de liens pour y poster ta fiche et trouver tout un tas de potos à ton personnage ! N'hésite pas à passer faire un tout du côté des réclamations, histoire pourquoi pas d'attribuer un dortoir ou un métier à ton personnage ! Si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram ou Twitter, et même nous laisser ton numéro de téléphone, ou de GSM comme dirait un Belge. Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du Flood et de la Chatbox, nous seront ravis de t'y accueillir. Avec ce message, tu remportes automatiquement une bourse de 200 wons. N'oublie pas d'indiquer ce montant dans ton relevé compte lorsque tu l'ouvriras ! Bon jeu sur Hundred Miles ! —SHE'S IN THE RAIN. you wanna hurt yourself, i’ll stay with you. you wanna make yourself go through the pain. it’s better to be held than holding on. we're in the rain |
| | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never Ven 3 Mar - 12:18 | | ( #) Sujet: Re: Kudo Keisuke -- Never say never |
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