⊱ hundred miles c'est un forum réel asiatiquecity/universitaire basé à Séoul — une réponse par mois minimum — Avatars occidentaux bienvenus ! — Taille des avatars 200*320px — Une semaine pour finir sa présentation — Pas de prise de tête, rien que du love. That's all folks ٩(^ᴗ^)۶
❝ Sa longue chevelure d'ébène se déverse sur ses épaules et son dos, mèches rebelles qu'elle replace lentement derrière ses oreilles, allure presque ingénue d'une demoiselle qui n'est plus aussi crédule que lorsqu'elle était adolescente, à désormais connaître toutes les intentions malicieuses du brouhaha qui l'entoure, à savoir déceler les conversations frauduleuses des fourbes qui composent cette soirée. Elle salue gracieusement les invités en dépit de l’alanguissement qui la démange, elle sourit à pleines dents malgré l'anxiété qui monte toujours davantage en elle, gamine à qui le quotidien foudroie les quelques instants de bonheur qu'elle ose s’octroyer après des élans d'espoir rêvés, abonnement secret à la mélancolie et à la perspective d'un calme qui ne semble jamais vouloir de sa personne. Son regard n’exprime que le douloureux vide d'une âme à la détresse silencieuse, monde préférant s'attarder sur ce qu'elle sait faire le mieux : feindre la joie et séduire tous les cœurs, même les plus durs à charmer, comme son père lui a si bien appris à le faire. Se pavaner et s'exposer comme un trophée devant la foule admirative, gestes devenus, sans le vouloir, seconde nature pour elle, Hara à condamner dans un mutisme parfait l'ancienne et la nouvelle aristocratie des plus beaux quartiers de Séoul tandis qu'on l’inonde de compliments incessants, discours contradictoires avec les mots de sa belle-mère. Par delà les regards, au détour d'un couloir à l'abri de la foule, les remontrances qui fusent de la bouche de celle qui n'est pas sa génitrice, et qui se hasarde avec assurance à l'accabler de toutes les fautes, la juger verbalement sur sa tenue manifestement indécente. Hara repartie avec le même sourire mauvais, et pourtant terriblement charmant, à croire qu'elle ne vient pas de se faire gronder, à ignorer le poison des mots de la femme de son père, talons aiguille claquant le sol de marbre. Comité de conviés triés au compte-goutte et tous ayant cette particularité d'être débordants de richesses, soirée organisée en l'honneur du partenariat entre la chaîne d'hôtels de son paternel et de celle d'un pompeux investisseur américain, empire Yuh promettant pour la première fois de s'étendre sur la côte californienne. Le discours de son père résonne sur les airs égayants de Vivaldi, et Hara se tient là, assise à une table réservée à sa famille, interceptant un serveur pour lui subtiliser une coupe de champagne de son plateau. La belle au milieu d'un tout, à se sentir bien seule au monde malgré certains coups d’œil posés sur elle. Un soupir s'échappe sans la moindre retenue, témoin de son ennui, sursaut imprévisible quand elle sent une main se poser doucement sur son épaule dénudée. Courtisan d'un soir à lui glisser quelques mots à l'oreille qui la font subtilement rire.
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don't need a relationship i'll never soften my grip,
❝ Dans son somptueux habit, Beomsoo n'arrive toujours pas à se sentir au bon endroit dans ce genre de soirées. Il en a l'habitude, pourtant. Monsieur Kang tient un peu trop à son image et c'est pour ça qu'il est constamment forcé d'y participer. Néanmoins, il ne rechigne jamais bien longtemps, lui qui s'amuse à voler de groupe en groupe pour étendre son savoir sexuel. Il aime lorsque les murmures vont bon train sur son passage, puisque cela signifie qu'il marque assez les esprits pour qu'ils se souviennent de ses bêtises et les mettent sur le dos de son cher père. Il n'a rien à faire des remontrances qu'il subit à leur suite et le sourire arrogant qui étire ses lèvres à toutes les fois que son paternel hausse le ton tend à le rendre encore plus énervé. Il est passé maître dans l'art des emmerdes et ne compte pas laisser sa place à qui que ce soit.
Le gamin s'avance parmi les invités, mais aucun sourire n'arbore son visage ; simplement ennuyé. La main vient s'enfoncer dans sa chevelure sombre pour la repousser vers l'arrière ; une habitude qui lui colle à la peau alors même qu'elle dégage son joli minois. Usage du gel pour les maintenir en place qu'il n'aime pas particulièrement. Lui préfère le naturel de ses mèches rebelles. Parfaitement à son image, à vrai dire, lui qui supporte mal quelconque autorité - surtout lorsqu'elle provient de celui qui a engendré son existence - et qui recherche la liberté absolue. Malheureusement, il n'est pas encore si près de la toucher du bout des doigts malgré ses écarts de conduite qui tendent à prouver le contraire. Le soupire qui quitte la barrière de ses lèvres peintes d'une douce teinte rosée est rempli de conviction. Combien de temps doit-il rester en ce lieu, encore? Chaque minute lui semble une éternité.
Enfin, jusqu'à ce que ses yeux se posent sur une silhouette en particulier. La seule silhouette qui hante ses rêves les plus fous ; Hara. La charmante Hara. Jeune femme au mauvais caractère qui a conquit son coeur en un simple regard. Beomsoo follement éprit de la sublime nymphe qui se contente de le repousser chaque fois qu'il tente de faire un pas vers elle. Son pulsant s'emballe et un sourire tendre vient ourler la commissure de ses pulpeuses délicates. Une certaine nervosité qui s'installe en son for intérieur, mais il ne la perçoit pas comme mauvaise, au contraire. Il est fébrile de se retrouver dans le même lieu qu'elle. Et depuis que ses prunelles ont capté sa beauté transcendante, tout a cessé d'exister autour de lui. Ses jambes se meuvent d'elles-mêmes pour aller dans sa direction, mais une hésitation fugace le fait s'arrêter l'espace d'une seconde.
C'est qu'elle se fait approcher par un autre homme qui pose la main sur son épaule et glisse quelques mots à son oreille. Sourire échu et froncement de sourcils, alors qu'une pointe jalouse putrifie son myocarde emballé pour la belle. De quel droit ose-t-il poser sa main sur sa peau dénudée sans même avoir sa permission? Geste qu'il trouve intrusif, surtout lorsqu'on prend connaissance d'à quel point la femme est considérée comme un objet. Un affront aux yeux du gamin rebelle qui se lancent dans plusieurs enjambées sauvages en leur direction. Et puis? Hors de question qu'un autre homme courtise la femme de sa vie devant lui. C'est avec lui qu'elle finira sa vie, il en est persuadé, même s'il se prend rejet par-dessus rejet. De quoi décourager n'importe qui à l'exception de Beomsoo. Lui dont la persévérance se fait outrageusement tenace. À leur hauteur, un nouveau sourire s'installe sur ses lèvres, cette fois, de façade. "Tu es totalement charmante, ce soir, noona." Appuyer sur l'appellation pendant que son regard se fait un peu trop appuyé sur l'autre homme. Un simple mot qui prouve qu'il est plus proche d'elle que cet inconnu malvenu. "Oh, pardon, laissez-moi me présenter ; Kang Beomsoo." Il courbe son échine plus que nécessaire et lorsqu'il se relève, il perçoit l'inconfort soudain sur les traits de l'indésirable et son sourire se fait légèrement plus accentué. "Au cas où tu te le demandes : oui, je suis le fils de Kang Taewon lui-même." Le voir finalement s'excuser avant de rebrousser chemin le satisfait grandement. En reportant son attention sur Hara la magnifique, il reprend son énergie de golden retriever et son sourire se fait bien plus éclatant. "Tu es vraiment magnifique : une véritable déesse." Ses traits adoucis prouvent bien à quel point Beomsoo est complètement fou de cette femme.
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inhale sky; exhale stars
you're always one decision away from a totally different life • unknown.
❝ La main vient minutieusement se poser sur son épiderme, contact imprévisible qui ne la gêne pas malgré la froideur de la paume de celui venu lui dérober quelques précieux instants de son temps, à joliment sourire quand il évoque la monotonie de la soirée, opinion que Hara partage amplement. Galant éphémère dont elle aurait presque pu croire les intentions sincères s’il n’avait pas commencé à lui parler de son propre père. Répétition à laquelle elle est désespérément habituée, prétendants éphémères qui se bousculent pour son joli minois ou pour le statut d’héritière qu’elle détient, dès qu’elle pose pied dans des soirées aussi huppées que celle-ci.
Silhouette trop familière vient bouleverser les plans de l’inconnu dès qu’elle apparaît devant eux, Beomsoo s’avançant à vives enjambées, s’interposant dans la conversation, duo devenu trio, pour seulement quelques secondes. Beomsoo qui s’évertue à lui dérouler le tapis rouge chaque fois qu’elle apparaît devant ses yeux, Beomsoo qui ne peut s’empêcher de l’inonder de compliments dès qu’ils se croisent, se risquant au mur infranchissable qu’elle a soigneusement construit entre eux, froideur perpétuelle érigée et voulue, consciente que si elle lui donne trop d’attention, il ne la lâchera plus. Mais si la force d’âme de Beomsoo, capacité bien incroyable à aller au-delà des rejets de la belle, lui donne parfois la satisfaction de se sentir aimée et valorisée, la persévérance de l’entiché effraie tout autant Hara. Elle se demande fréquemment s’il compte laisser son quotidien en paix, jeune homme qui semble terriblement décidé à satisfaire l’idée d’avoir Hara près de lui, demoiselle constatant chaque jour un peu plus, la brillance, l’émerveillement dans ses regards dès l’instant où elle s’autorise à lui parler, ou à lui porter un minimum d’intérêt.
Elle n’a pas le temps d’intercepter l’homme venu converser avec elle qu’il repart à la hâte vers d’autres horizons, dès que Beomsoo mentionne le nom de son géniteur, Hara a l’air agacé qui vient se coller sur ses traits faussement innocents, blâme silencieux sur le cadet dont elle décèle chaque parcelle de jubilation derrière les gestes et les mots qu’il emploie. T’es fier de toi ? C’était un abruti mais tu as quand même fait fuir ma seule source de distraction. Paroles dotées d’un mécontentement passager, Beomsoo auquel elle refuse toujours d’adresser le moindre coup d’œil même si elle devine silencieusement qu’il ne partira probablement pas, désormais.
Je le sais. Remarque qu’elle accepte brièvement alors qu’elle porte son verre de champagne à ses lèvres lipstickées, Hara toujours ouverte aux éloges qu’on peut lui offrir, même celles dont elle n’a pas forcément envie. Consciente de son apparence, à ne pourtant pas se mouvoir dans une attitude qui ne lui ressemble pas, crâner et défiler n’étant pas sa marque de fabrique, même si on peut penser le contraire. Si j’avais su que tu étais là, je ne serai pas venue. On se voit suffisamment à l’université. Contact avec Beomsoo qu’elle s’efforce perpétuellement d’empêcher, sur leur lieu d’études ou en dehors, espérant le faire fuir en lui montrant qu’elle n’est pas intéressée. Allusion qu’elle laisse transparaître dans ses paroles, presque sarcastiques, Hara désormais habituée aux monologues ininterrompus de l’amouraché, à ses excès de sourires, et plus globalement, au fait qu’il l’affuble de sa présence en quasi permanence. Mensonge annoncé, elle qui n’a eu guère le choix de devoir se montrer aujourd’hui, soirée pleine de mondanités qui l’excède davantage que l’attachement que Beomsoo lui porte.
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❝ On pourrait croire, en regardant Beomsoo et son attitude envers Hara, qu'il est de ceux qui cherchent constamment la compagnie de la demoiselle. Ce qui est à la fois vrai et faux, car si elle ne fait pas acte de présence, il la laisse généralement tranquille. Il ne va pas la chercher entre deux cours juste pour le simple plaisir de la voir. Il ne rejoint ses côtés que lorsqu'elle entre dans son champ de vision ou habite la même pièce que lui. Il n'est tout de même pas l'un de ces stalkeurs ignobles qui deviennent complètement fous à la simple pensée de pouvoir voir l'objet de leurs désirs les plus fous. Non, l'héritier Kang respecte l'espace de la douce nymphe, même s'il ne peut pas toujours s'empêcher de lui envoyer un sms. C'est qu'il a envie de se rapprocher d'elle, mais il ne va jamais la forcer à le voir à chaque seconde de son existence. Mais puisqu'ils ont tous les deux des cours dans le pôle des arts à l'université, ils se croisent probablement plus souvent que ne le voudrait la jolie brune, ce qui peut lui donner l'impression de l'avoir en permanence dans les pattes.
Même si ça lui a coûté énormément d'évoquer son père pour faire fuir le malotru, il ne le regrette pas. Un homme qui ne sait pas respecter l'espace de quelqu'un d'autre de la sorte en mérite pas son attention. Car oui, Beomsoo n'a jamais posé l'une de ses mains sur Hara, peu en importe l'endroit, preuve peut-être trop invisible de son immense respect pour elle. Gamin qui adore un peu trop les atouts féminins ; un amour pour les femmes qu'il a nourrit et n'a jamais caché. Et depuis que la divine créature est entré dans son existence, il s'est refusé aux plaisirs charnels. C'est qu'il est terriblement sérieux la concernant et il trouve irrespectueux de continuer ses aventures d'une nuit tout en prétendant qu'elle soit la femme de sa vie. Quel poids auraient ses paroles s'il n'agissait pas dans le même sens qu'elles? Bien qu'il ait beaucoup de mal à résister aux charmes délicats des mesdames, il tient bon. Un jour, s'il perd son intérêt pour Hara, il ira satisfaire les besoins de son corps. En attendant, l'abstinence se trouve être son meilleur ami. (( Qu'il déteste du plus profond de son âme. ))
"Évidemment que je suis fier de moi!" Son sourire satisfait le prouve amplement. Son regard toujours posé sur son délicat faciès, sa joie ne diminue pas même lorsqu'elle affirme qu'il était sa seule source de distraction. "Je pense que tu mérites bien mieux comme source de distraction qu'un abruti de sa trempe qui pose ses mains sales sur ta personne sans même te le demander." L'expression soudainement très sérieuse disparaît lorsqu'il se décide à la complimenter de nouveau. Hara fait partie de ces femmes qui connaissent très bien leurs charmes et Beomsoo l'apprécie fortement. Il est lui-même bien conscient de sa propre beauté, notamment de son sourire charmant, qui constitue probablement son point fort. Le garçon affiche ensuite une petite moue exagérément déçue face à l'affirmation de la nymphe. "Je doute que tu avais vraiment le choix de venir à cette soirée, tout comme moi." Un simple fait émis, car il connaît l'environnement de riches qu'ils partagent. Les parents laissent très rarement à leurs enfants le choix de leur présence aux soirées mondaines. "Et puis? On ne se voit à l'université que lorsque j'ai des cours de sculpture, faut pas exagérer!" Le retour de son sourire éclatant et à le regarder, on pourrait presque le voir sautiller à la façon d'un chiot en remuant la queue de bonheur. "Si je suis si lourd que ça, pourquoi as-tu accepté de me donner ton numéro, hein?" Gamin bombe inconsciemment le torse avec fierté, lui qui se retient tout de même de ne pas envahir Hara de messages à toute heure du jour.
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❝ Les pensées se mêlent et s’entremêlent, silence qu’elle retient de son côté tandis que son compagnon éphémère se ravise dès que Beomsoo ose prononcer le patronyme de son géniteur, inconnu se décidant peut-être à aller trouver une autre jeune femme à déranger. Elle glousse presque en entendant les mots trop sincères de son interlocuteur, dès qu’il affirme être satisfait de lui, levant les yeux au ciel face à l’audace dont il fait preuve.
Hara ne sait pas si elle arrive bien à le cerner ou non, à se questionner sur toutes les raisons qui le poussent à vouloir d’elle, tout en Beomsoo criant qu’il est probablement sincère dans ses gestes et sa démarche pour s’approcher d'elle. Garçon semblant aux premiers abords se distinguer de tous ceux qui font ordinairement la queue pour un simple regard de sa part, uniquement parce qu'elle est jolie, arrières pensées que Beomsoo ne paraît pas avoir, lui qui préfère perpétuellement se montrer honnête avec elle. Elle se méfie, toujours, gamine qui manipule les cœurs, mais dont on ignore que le sien a aussi été abîmé de nombreuses fois.
Ça ne me dérangeait pas. Habituée à la proximité des autres depuis qu’elle est adolescente, années passées en Europe qui lui ont permis de se rendre compte qu’elle n’avait pas à avoir honte, ou à se retenir d’être tactile avec le monde qui l’entoure, mœurs italiennes adoptées, bien différentes de celles qu’elle a toujours connues dans son pays natal. Malgré sa surprise éphémère, la main venue sur son épaule ne lui a fait aucun mal, même si elle nie probablement que l’homme désormais loin de son champ de vision n’avait pas à agir de la sorte avec elle. Mots louables de Beomsoo qui lui procurent malgré elle un sentiment agréable, soupçon de satisfaction qu’elle dissimule soigneusement derrière ses airs de princesse inatteignable. Elle croit en revanche dur comme fer à ses propres dires, ennui qui se lit dans l’entièreté de son ton, et même de sa posture qui reste droite, indifférence d’une gamine au désir de s’éclipser loin de toute cette agitation mondaine. Hara à l’amour des belles choses, Hara obsédée par le confort dans lequel elle a toujours grandi, Hara à pourtant maudire chaque pèlerin venu cirer les chaussures de sa famille, flatteries lourdes qu’elle arrive de moins en moins à accepter, critiques acerbes qu’elle retient derrière l’aura qu’on lui demande de jouer en permanence : cette fille parfaite et ingénue qui ne semble jamais dire d’absurdités ou faire de faux pas. Tu as raison, j’aurais peut-être dû demander à mon père de restreindre son nombre d'invitations. Ironie lancée dans l’air aux effluves de luxuriances, allusion lancée à Beomsoo sur sa présence en cette soirée, Hara qui en fait davantage une globalité, elle qui aimerait tant ne pas avoir à subir de plein fouet cette réception qui vient à peine de commencer. Parce que je te connais suffisamment pour savoir que tu l’aurais eu d’une manière ou d’une autre. Numéro de téléphone qu’elle lui a donné avec beaucoup d’hésitation, regrettant presque son choix dès qu’elle a accepté et observé les premiers messages de Beomsoo fuser sur son écran d’accueil. Hara pourtant consciente d’une chose, le sculpteur n’aurait pas eu de mal à la contacter autrement. Détermination qu’elle admirerait presque, si Beomsoo ne portait pas son constant intérêt sur elle. Souhaits silencieux qu’il se lasse à forcer d’essayer dans le vide, à presque prier pour qu’il passe à autre chose ou qu’il tombe miraculeusement sur une fille dont il voudra aussi, autre qu’elle. Amoureux qui ne semble pourtant jamais se raviser malgré la perpétuelle opposition de Hara, jolie brunette tentant vainement de faire preuve d’impassibilité en sa présence, pour ne pas davantage lui donner les espoirs qu’il parviendra à la conquérir.
Lentement, elle lève la tête en direction du garçon qu’elle se décide finalement à observer, croisant son regard d’idiot heureux. Que les choses soient claires Beomsoo, je suis trop maligne pour que tu réussisses à me séduire.
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