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How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan
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| ( #) Sujet: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Lun 17 Avr - 23:38 |
Only love could ever hit this hard. inventé // feat. Hanyu Yuzuru | |
nom ⎯ Kobayashi. Un nom qui lui vient de son père et qui se transmet de génération en génération depuis plusieurs centaines d'année. Un souvenir profond et indélébile des origines de sa famille. prénom ⎯ Aedhan. Son premier prénom, loin du côté asiatique de son nom de famille ou de son physique, c'est un cadeau de sa mère. Il porte aussi le nom de son arrière grand-père: Hiroshi. âge ⎯ Vingt deux ans. date & lieu de naissance ⎯ Il est né le 7 décembre 1994 à Sendai. origine & nationalité ⎯ Il est japonais. Tout ce qu'il y a de plus japonais. cursus ⎯ Lettres Modernes & Classiques. métier ⎯ Patineur artistique. situation financière ⎯ Champion Olympique 2014, double champion du monde, quadruple champion du japon et quadruple champion du grand prix final, disons clairement que l'argent n'est pas un problème pour lui, même s'il n'aime pas trop l'afficher. orientation ⎯ Hétérosexuel. C'est du moins ce qui est officiellement dit, parce que personne ne se doute qu'il est en réalité bisexuel. Ceci dit, il n'a pas réellement le temps, ni l'envie, pour une relation de couple, son petit cœur est encore blessé. rejoindre une société ? ⎯ oui, pourquoi pas. | caractère Au milieu de l'hiver, j'ai découvert en moi un invincible été. De par ses origines japonaises et son éducation Aedhan est un garçon pudique, réservé, plus introverti qu’extraverti, même s’il n’est pas solitaire et renfermé pour autant. Parfois il est semblable à l’hiver, froid comme la glace, distant, peu démonstratif, taciturne mais ce n’est qu’une façade qu’il offre généralement aux gens qu’il ne connait pas. En fait, il est comme un flocon de neige qui fond au soleil, un garçon souriant et chaleur dès qu'on daigne gratter un peu en profondeur. Il est de ces gens qui semblent toujours de bonne humeur et que rien ne peut atteindre. Peut-être parce qu’il a cette capacité à faire abstraction du négatif, pour ne garder que les bonnes choses de la vie. C’est un optimiste qui préfère voir le verre à moitié plein, plutôt que de se lamenter parce qu’il est à moitié vide. Ceci dit, n’allez pas croire que c’est un roc que rien ne touche ou ne blesse, parce que c’est totalement faux. Dhan est un être sensible en réalité, peut-être trop parfois... C’est juste qu’il est assez secret sur ce qui le touche réellement et qu'il n’aime pas qu’on lui pose des questions, ni qu'on s'inquiète pour lui. Alors il préfère se montrer souriant et positif, ça fait de lui quelqu’un de passe-partout et de facile à vivre, même s’il a aussi son petit caractère. Ouais. Faut pas se leurrer, Aedhan a aussi des défauts. Si c’est un garçon qu’on trouve généralement assez agréable, il peut se montrer plutôt obtus par moment. En fait, il est clairement borné. Si dans sa maigre vie social ça peut de temps en temps poser problème, dans sa vie au quotidien c’est... Non. Ça lui pose soucis aussi dans sa carrière, surtout quand il campe sur ses positions et tient tête à son entraîneur. Mais ça n’a pas que du négatif, c’est un trait de caractère qui fait aussi de lui quelqu’un de déterminé. Ceci dit, ça fait également de lui un perfectionniste, parfois à outrance. Toutefois ses choix sont toujours assumés, parce que c’est quelqu’un de très honnête, qui ne se cache pas même si ça ne lui apporte pas toujours que du bon. Puis faut avouer qu’il manque de tact et qu’il peut se montrer dur, blessant, dans sa façon de parler, mais ce n’est jamais avec l’intention de faire du mal. |
souriant | perfectionniste | attentionné | sensible |
généreux | borné | ouvert d'esprit | susceptible |
passionné | possessif | rassurant | taquin |
compréhensif | secret | tactile | gourmand |
loyal | ambitieux | optimiste | candide |
honnête | manipulable | facile à vivre | impulsif |
histoire « Aedhan!!! Je peux savoir ce que tu me fais là ?!! Recommence encore et ne te déconcentre pas cette fois ! Fais attention à tes bras quand tu prends ton appuie. » Les divines paroles de mon entraîneur m'exhortent à me relever rapidement, sans même pensé une seconde qu'il soit possible que je me sois blessé. Pas que ce soit le cas, même si c'est la dixième chute ce matin déjà et toujours sur ce même quadruple axel. Il faut dire qu'après dix-sept ans de patinage, j'ai une certaine résistance que ce soit face à la douleur ou à la frustration de raté, une fois encore, ce saut que je travaille depuis ce qui me semble être une éternité. D'accord, il n'est que 6h30 et l'entraînement n'a commencé qu'il y a une demi-heure. Ceci dit la glace est toujours aussi dure que lors de ma première chute et c'est toujours aussi désagréable, mais il parait qu'on s'habitue à tout. A force de me ramasser, j'ai appris à me relever plus rapidement, non sans une rapide vérification pour être certain de ne pas m'être inconsciemment blessé. Chevilles, genoux, hanches, dos, bras, tout me semble en ordre. Sous l'œil attentif de Brian, je repars pour un tour de patinoire pour ré-assouplir les muscles qui se sont crispés d'instinct en tombant et dès que je me sens prêt, je me lance en veillant autant que possible à bien placé mes bras quand je prends appuie sur la glace pour sauter. Automatiquement les bras se serrent contre mon buste et sans y faire attention je compte les tours avant de préparer ma réception qui, contre toutes attentes, me donne une nouvelle fois rendez-vous avec la glace dans un gémissement étouffé que je retiens parfaitement. Et de onze !! Essoufflé, je profite de la fraîcheur de la glace son mon dos quelques instants avant de me relever pour rejoindre Brian au bord de la patinoire, attrapant un mouchoir qui dépasse du dos de Winnie l'ourson sur la rambarde. « C'était mieux, mais faut encore travailler sur la vitesse parce qu'une fois en l'air tu dévies de ton axe, c'est pour ça que ta réception est mauvaise. » J'aime à penser que mon destin est lié à celui de la glace, peut-être parce que je suis venu au monde au début du mois de décembre dans la petite ville de Sendai, quelques jours avant les premières chutes de neige de l'hiver, alors que mes yeux n'étaient pas censé s'ouvrir sur le monde à ce moment précis. J'aurais dû rester au chaud encore un peu moins de trois mois. Peut-être que si ça avait été le cas, nous serions deux. Le jour de ma naissance à aussi été un jour de deuil pour moi, puisque j'ai perdu ma moitié avant même d'avoir l'occasion de poser les yeux sur elle. Et comme une âme sœur qui se laisse mourir, je suis tombé malade, une infection qui aurait facilement pu être mortelle pour mes jeunes poumons. Les médecins avaient peu d'espoir, mais je me suis accroché de toute la force de mes petits bras, désireux de vivre et j'ai lutté comme un beau diable pour finir par vaincre. J'ai passé de trop nombreuses semaines en couveuse avant de pouvoir rentré à la maison. Mes parents ont tout de suite pris soin de moi et j'ai eu une enfance heureuse malgré ce manque que la disparition de mon frère a laissé en moi. Parfois quand j'y réfléchis, je me dis que la glace coule dans mes veines, qu'elle est ce qui m'alimente au plus profond et me fait vivre. J'avais quatre ans quand j'ai chaussé pour la première fois des patins. D'abord pour faire comme ma mère, ensuite parce que même si je me suis fait mal la première fois que je suis tombé, c'était amusant de glisser. Par la suite j'ai régulièrement accompagné ma mère lorsqu'elle donnait ses cours et on s'est rapidement rendu compte que, comme mes parents, j'avais ça dans le sang.
Ce qui au début n'était qu'un amusement est rapidement devenu une passion, un désir profond, un besoin vital. Je filais à la patinoire dès que j'en avais l'occasion, après l'école, lorsque mes devoirs étaient terminés et bien souvent ma mère était forcée de me menacer de m’interdire l'accès à la patinoire pour que je rentre. Comprenant que c'était sérieux, mes parents ont fini par l'accepter et ma mère m'a pris sous son aile pour m'enseigner du mieux possible ce qu'elle savait, en contrepartie, tout ce que j'avais à faire était de ramener de bonnes notes de l'école, ce que j'ai toujours fait. C'est quand je suis entré au collège que les choses sont devenues vraiment sérieuse et que j'ai commencé la compétition. Les compètes locales pour débuter. Je me suis imposé assez facilement. Les concours nationaux par la suite et en 2010, après de longs mois de travail, le championnat du monde. A quinze ans, je suis devenu champion du monde junior, une fierté. J'aurais pu m'arrêter là, mais j'ai choisis de continuer chez les seniors. J'ai remporté quelques petites compétitions, perdu d'autres avant de me rendre compte qu'il était temps pour moi je voler librement.
Quand je suis arrivé à Toronto, à peine deux ans après avoir remporté les championnats du monde junior, j'avais un niveau relativement acceptable puisque c'était ma mère, ex-patineuse, qui m'avait coaché, mais pas suffisant pour me permettre d'aller là où je le voulais et de rivaliser avec les plus grands. Il n'y avait qu'à voir la différence entre Sandro, le second patineur que Brian entraînait, et moi. Bon d'accord, Sandro avait trois ans de plus que moi et à côté de lui mes origines nippones me faisaient ressembler à une crevette, longiligne, peu musclé, limite frêle alors que lui était tout en robustesse et en souplesse. Mais mon nouveau coach ne s'est pas démonté, il m'a fait travailler dur et sans relâche. Un entrainement qu'on pourrait facilement qualifier d'intensif. J'ai passé des heures entières à travailler mes sauts, à répéter encore et encore chaque mouvement, à améliorer la vitesse de mes pirouettes. Je ne dirai pas que je n'ai jamais regretté mon départ de Sendai ou la présence de ma famille, parce que ce serait mentir, mais j'ai donné le meilleur de moi. Je suis tombé un nombre incalculable de fois, je me suis blessé à plusieurs reprise, mais je me suis toujours relevé souriant et volontaire, déterminé et passionné.
Les sacrifices que j'ai faits ont été à la mesure de mes ambitions : pas la moindre vie sociale hormis celle du lycée et des gens que j'ai côtoyé à la patinoire. Heureusement, je me suis rapidement rapproché de Sandro et il est devenu un peu comme le frère que qu'on m'a enlevé à peine venu au monde. Deux ans à ses côtés et j'ai oublié ce que ça signifiait d'être fils unique. On s'est entraîner ensemble, on a vécu ensemble, on a souffert ensemble, on a participé aux même compétitions, on s'est réjoui de la victoire de l'un et pleuré la défaite de l'autre. Au fil du temps, il est devenu plus qu’un frère à mes yeux, mais la pudeur des sentiments est quelques choses de très ancrée dans les mœurs nippones et j’ai gardé le secret. Un silence qui m’a pesé à chacune de ses étreintes fraternelles et dans lequel j’ai fini parme noyer. J’ai bien tenté de prendre un peu mes distances mais rien n’y a fait… J’ai fini par devenir dépendant de lui et de peur de le perdre, j’ai préféré rester ce petit frère aux yeux bridés avec qui il partageait une partie de son temps. Quand j'ai été sélectionné pour représenter le Japon aux Jeux Olympique de Sochi malgré l'excitation, l'angoisse et la somme de travail supplémentaire que ça a pu engendrer, il est l’un des premiers à m’avoir soutenu. Et quand j'ai remporté l'or, il a encore été là pour partager ma joie malgré sa propre défaite. La routine des entraînements et des compétitions a repris, avec son lors de surprise… Comme lors de la coupe de Chine ou j'ai été percuté de plein fouet par un patineur chinois. Malgré les blessures et le programme libre catastrophique que j'ai présenté, je suis arrivé second. La vie aurait pu continuer comme ça si Sandro n’avait pas tout réduit à néant en annonçant ses fiançailles et son mariage à venir. Contre toute attente, il a également décidé de partir s’entrainer au Japon pour être plus proche de celle qui serait bientôt sa femme.
Ayant fini le lycée depuis un an déjà, j'ai pris la décision d'aller à l'université et pour ça, j'ai choisi l'un des meilleurs établissements Séoulite… Incapable de rester à Toronto ou j’avais tant de souvenir et malgré tout l’amour que j’avais pour mon pays, le japon n’était pas une option. Mon coach, bien que très attaché à Toronto, a décidé de venir avec moi, jugeant que j'avais encore bien des choses à apprendre. C'est comme ça qu'on s'est retrouvé au pays du matin calme. De l'ado de j'étais quand je suis arrivé au pays des caribous il ne reste que la détermination sans faille et deux orbes sombres qui scrute autant de possible autour d’elles, avides de nouveaux apprentissages. Je me suis développé, physiquement et mentalement, mon patinage aussi à changer. L'ado juste capable d'un double axel est aujourd'hui pratiquement capable d'en faire un quadruple, la vitesse de rotation de mes pirouettes à pratiquement doublée et je suis mille fois plus souple, techniquement parlant j'aurai bientôt atteins le niveau qui me permettra sans problème de m'imposer lors des prochains Jeux Olympique d'Hiver. Attrapant ma bouteille j'avale une longue gorgée de boisson énergétique avant de la reposer à côté de Winnie, à qui j'adresse une légère tape sur la tête et avec un sourire, je me détourne de la rambarde pour retourner à mon entraînement, bien décidé à venir à bout de ce quadruple axel. anecdotes Il devait normalement avoir un jumeau, mais grands prématurés nés à tout juste 27 semaines et trois jours, son frère n'a pas survécu à la césarienne. Ses parents ne lui ont jamais caché la vérité et il a, encore aujourd'hui, ce manque toujours présent dans sa vie. ■ Quand il est né, ses poumons étaient à peine mature et s'il a passé plusieurs semaines en couveuse, il a aussi attrapé une infection pulmonaire. les médecins ont sérieusement pensé qu'il ne survivrait pas, mais contre toute attente il s'est révélé être un véritable battant. ■ Quand il en a l'occasion, il aime se poser pour observer les étoiles. a chaque fois ça lui donne l'impression d'être à la fois infiniment petit et c'est comme s'il y avait quelques choses de mille fois plus grand au-dessus de lui. Il aime bien cette sensation. ■ Aedhan patine depuis qu'il a quatre ans. Avec des parents comme les siens, il était impensable qu'il passe à côté, alors à la place de jouer au foot comme tous ses copains d'école, il a suivi les leçons que sa mère donnait à d'autres enfants et ça lui a tellement plu qu'il n'a jamais lâcher ses patins. ■ Il met vraiment un point d'honneur à faire attention à ce qu'il avale. de ce fait, il suit un régime très précis et ne sans détourne pour ainsi dire jamais... Enfin, pas en terme de quantité. Il ne boit pas une goutte d'alcool non plus et ne fume pas. ■ Quand il a décidé de se lancer dans le patinage artistique plus sérieusement c'est sa mère qui est devenue sont entraîneur. c'est avec elle qu'il a été sacré champion du monde junior en 2010. ■ En 2012, il a décidé de partir s'entraîner à Toronto. C'est là qu'il a rencontré Brian Orser, son actuel entraîneur. ■ Il passe un temps infini à la patinoire et ses entraînements sont vraiment très intense. Pointilleux, il peut parfois enchaîner 90 quadruples sauts sur un entrainement, recommençant encore et encore jusqu'à ce que sa technique soit parfaite et qu'elle devienne presque un automatisme. ■ En plus de ses entrainement, il suit des cours de fitness à la salle de sport et des cours de danse classique pour travailler sa grâce. ■ Il commence toujours sa journée par un jus de fruit frais et un footing pour se décrasser un peu. Le tout en musique parce que ça lui permet de mieux se concentrer. Après ça il est tout de suite plus relax. ■ Il a un rapport à la solitude assez difficile, peut-être parce que ça lui rappelle qu'il ne devrait pas l'être... Du coup, il cherche toujours à ce qu'il y ait au moins une personne autour de lui. ■ Il a participé aux Jeux Olympiques d'Hiver 2014 à Sochi. Si son programme court est parfait, il a chuté à deux reprise (quadruple salchow et triple flip) sur le programme libre. Malgré tout, il a remporté l'or olympique avec un total final de 280.09 points, à seulement 19 ans. ■ Lors de la coupe de chine 2014, il a heurté un patineur chinois lors de l'entrainement précédent la compétition. le choc à été si violent qu'il s'est blessé au front, à l'oreille, à la mâchoire, mais aussi au thorax et sévèrement à la cheville. Il a quand même tenter sa chance une demi-heure plus tard, mais il a chuté sur ses 5 sauts. Il a toutefois écopé de la seconde place. ■ En compétitions, il n'apparaît jamais sans une boîte à mouchoirs Winnie l'ourson, qu'une jeune fan lui a offert et avec laquelle il amuse généralement les spectateurs en attendant ses résultats. Depuis Pooh est un peu une sorte d’emblème et à chaque nouvelle compétition, il reçoit des dizaines de peluche à son effigie, au point qu'il ne sait plus quoi en faire. Il en a stocké une partie chez ses parents et le reste est dans son appartement parce que malgré tout, il est incapable de se séparer des cadeaux qu'on lui fait. ■ A la fin du lycée, il a décidé de quitter Toronto pour revenir en Asie et de s'inscrire à l'université. Contre toutes attentes ce n'est pas au Japon qu'il s'est installé, mais à Séoul et c'est naturellement que son entraîneur l'a suivi, même s'il retourne, pour sa part, régulièrement au canada. portrait surnom ⎯ Il n'a pas réellement de surnom, même si parfois certain de ses amis l'appel Dhan', mais ça n'a rien d'officiel. Plus jeune ça mère l'appelait "mon petit prince des glaces" mais il n'aime pas ça, c'est trop prétentieux pour lui. signe astrologique ⎯ Sagittaire signe chinois ⎯ Chien 狗 animal préféré ⎯ Le panda géant. sucré ou salé ? ⎯ Un peu des deux type idéal ⎯ Une personne qui l'aime pour ce qu'il est vraiment et non pour ses médailles. Une personne qui serait à la fois son âme soeur et son meilleur ami, avec qui il pourrait tout partager... ses éclats de rires, ses larmes, sa frustration, son bonheur. Quelqu'un qui comprendrait aussi que son emploi du temps est assez chargé, qu'il ne peut pas toujours être présent parce qu'avec ses compétitions il s’entraîne beaucoup, parce qu'il voyage pas mal aussi. Et surtout quelqu'un sans prise de tête. objet fétiche ⎯ Un collier que Sandro lui a offert pour le premier anniversaire qu'il à passé à Toronto et qui ne quitte jamais son cou. Et naturellement, il y a aussi sa boite à mouchoir Pooh, qui est devenu au fil du temps un symbole qui le représente plutôt bien. heure préférée ⎯ La fin d'après midi et le début de soirée, quand le ciel commence à perdre ses couleurs et à s'assombrir. Il règne à ce moment une impression d'intimité qu'il aime particulièrement. as-tu ton permis de conduire ? ⎯ Oui, mais il ne s'en sert jamais... Pour les longs trajets, d'autre que lui s'occupe de ça et en ville, il utilise généralement les transport en commun. rêve ⎯ Remporter une seconde fois l'or aux JO de Pyeongchang en 2018. famille ⎯ Un frère jumeau décédé à la naissance. Son père est à la tête de la patinoire principale de Sendai et sa mère y est entraîneuse, notamment pour l'un des futurs espoirs juniors. piercing/ tatoo ⎯ Mens sana in corpore sano... Un esprit sain dans un corps sain. Il n'a ni tatouage, ni piercing. style ⎯ Dans le vie de tous les jours, il porte des vêtements plutôt décontractés, dans lesquels il se sent bien et qui le laissent parfaitement libre de ses mouvements... Mais il faut avouer que la majorité de son temps il le passe à la patinoire, du coup c'est en pantalon et veste noir doublé polaire ou parfois en t-shirt qu'il se retrouve. phobie ⎯ Les blessures sont la hantise de tous les grands sportifs et depuis l'incident lors de la coupe de chine, il a un peu peur d'une nouvelle collision, alors il est souvent tendu lors des entraînements commun sur la glace. toc/manie ⎯ Il touche la glace à chaque entrée et sortie de patinoire. C'est un petit rituel porte bonheur. secret ⎯ Il était amoureux de Sandro, peut-être l'est-il toujours, le patineur espagnol qui s’entraînait avec lui à Toronto. C'est l’annonce de son prochain mariage avec l'un de ses compatriotes japonaises et ex patineuse, qui l'a décidé a quitter le canada. L'amour à sens unique c'est douloureux. couleur préférée ⎯ Il aime le bleu. superstition ⎯ Il n'est pas réellement superstitieux, mais il évite quand même de passer sous les échelles. menteur ou sincère ? ⎯ Il n'y a pas plus sincère qu'Aedhan, même s'il garde certaines choses secrètes. Il est juste incapable de mentir. | |
Kiwii Je suis un kiwi Petite, rondouillarde, verte avec un cœur tendre et sucré. J'ai des copines fraise, pêche, litchi et je m'entend pas trop mal avec les bananes aussi. |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Lun 17 Avr - 23:49 |
un patineur indeed i feel it af :tears: bienvenue, TROP hâte de voir la suite :jam: |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mar 18 Avr - 2:05 |
Je ne vois absolument pas ce que tu veux dire xD Ceci dit, merci pour l'accueil |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mar 18 Avr - 4:09 |
Bienvenue! C'est drôlement chouette comme idée de personnage! (j'devrai penser à quelque chose pour un lien) fighting pour ta fiche! :smack: |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mar 18 Avr - 11:11 |
bienvenue sur hm !:ilu: original comme personnage dis donc ! j'espère que tu t'amuseras parmi nous :<3: bon courage pour ta fiche ! |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mar 18 Avr - 14:01 | | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 10:18 |
patineur artistique holy crap c'est merveilleux
bienvenue sweetie jpp :tears: |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 11:38 |
Bienvenue parmi nous |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 19:45 | STAFF ✺ ‹ 365 SO FRESH ☽ › UNE P'TITE PHOTO ? : AVATAR : Bae Su Ji (Suzy - Actress/Miss A)
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AGE : 26 | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 20:41 |
C'est officiel, ce personnage est une perle. Il est différent de tout ce qu'on peut voir de par son histoire, et même son avatar, il est cool af, et super bien construit. Sans parler de ta plume omg, pourquoi tu écris si bien ? ça me rend trop jalouse. J'adore sincèrement ta présentation ! J'ai d'autant plus hâte de le voir joué maintenant, et surtout, je viendrais te quémander un lien omg. Je te valide, à nouveau bienvenuuue ! :ilu: :ilu: :ilu: :ilu: Félicitations ! Tu as terminé ta fiche et tu es donc validé ! Le jeu commence pour toi dès maintenant ! Mais avant de commencer à RP, il va te falloir remplir quelques paperasse afin d'être en règle et faciliter ton intégration ! Première étape à ton parcours, n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin, afin qu'il soit définitivement lié à ton personnage. Ensuite, direction les relevés de compte pour y poster ce qui te feras office d'activité RP. C'est obligatoire, et bien sûr, tu devras veiller à le maintenir à jour ! Une fois ces petits détails réglés, tu peux te diriger vers les demandes de liens pour y poster ta fiche et trouver tout un tas de potos à ton personnage ! N'hésite pas à passer faire un tout du côté des réclamations, histoire pourquoi pas d'attribuer un dortoir ou un métier à ton personnage ! Si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram ou Twitter, et même nous laisser ton numéro de téléphone, ou de GSM comme dirait un Belge. Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du Flood et de la Chatbox, nous seront ravis de t'y accueillir. Avec ce message, tu remportes automatiquement une bourse de 200 wons. N'oublie pas d'indiquer ce montant dans ton relevé compte lorsque tu l'ouvriras ! Par ailleurs, si tu as choisi de t'engager dans une société, un dé va être lancé à la suite de se message, qui décidera du groupe que tu intégreras. Tu as 72h pour valider ou invalider ce choix. Si tu décides de ne pas l'accepter, tu as la possibilité de relancer une seconde et dernière fois, et tu seras alors tenu d'accepter le groupe qui t'a été donné. Bon jeu sur Hundred Miles ! —SHE'S IN THE RAIN. you wanna hurt yourself, i’ll stay with you. you wanna make yourself go through the pain. it’s better to be held than holding on. we're in the rain |
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| ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 20:41 |
Le membre ' Park Bo Ra' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'CHOIX DU DORTOIR' : |
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AGE : 26 | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 20:43 |
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| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan Mer 19 Avr - 21:56 |
Merci, je t'attendrai sur ma fiche de lien alors Les Melted me conviennent parfaitement. |
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OMG OUI, BIENVENUE CHEZ LES VERTS, JE SUIS TROP CONTENTE —SHE'S IN THE RAIN. you wanna hurt yourself, i’ll stay with you. you wanna make yourself go through the pain. it’s better to be held than holding on. we're in the rain |
| | ( #) Sujet: Re: How do I make you stay when it's easier to let you go? ▬ Aedhan |
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