| ( #) Sujet: cho jin woo ▬ n o l i m i t Sam 22 Avr 2017 - 10:33 |
we are the kids your parents warned you about pv // feat. woo ji ho (zico - block b) | |
nom ⎯ cho prénom ⎯ jin woo âge ⎯ vingt-six ans date & lieu de naissance ⎯ 19900811 - ireland origine & nationalité ⎯ un irlandais et une coréenne qui donnent un coréen cursus ⎯ // métier ⎯ gérant d'un salon de tatouages situation financière ⎯ l'argent sale qui déborde du porte-monnaie orientation ⎯ hétérosexuel rejoindre une société ? ⎯ non thanks me is citi | caractère Libre, indépendant, fort, surtout vivant – la rage au ventre, la rage de vaincre, l’ambition qui fait battre le cœur pour mieux vivre, pour eux, pour qu’eux, ils vivent mieux. A vivre sa vie pour les autres, il finit par s’oublier parfois, mais il continue de sourire, Jin, toujours, il sourit - parce que même si plus rien ne va, tout finit par aller. Alors il rit, il crie, il tape, il gueule, il a pas de filtre, Jin, sait pas faire semblant (et ne veut surtout pas). Il est franc, il est honnête, déteste le mensonge, mais est surtout maladroit, y a pas de tact, y a pas tout ça.
Imposant, parfois impitoyable (souvent trop), il sait être sérieux, jusqu'à se prendre à son propre jeu, jusqu'à lui faire défaut et l'ancrer dans un costume de méchant qui lui va pourtant si bien. Mais il est bon Jin, fondamentalement. Mais pas trop, parce qu’il a appris à ne pas se faire bouffer par les autres, à ne pas se laisser avoir par un trop plein de bonté inutile alors il dit, avec ses mots, rudes, souvent, devenu intransigeant. Et parce qu'il a aussi su devenir autoritaire qu'il aspire aujourd'hui le respect, parfois la crainte aux premiers abords mais son sourire adoucit, ses blagues apaisent même si la profondeur de son regard garde sa fureur.
Calculateur, réaliste, obstiné, perfectionniste – il caresse les peaux de ses doigts agiles et futés pour dessiner à l’encre l’histoire de chacun. Il aime le travail bien fait, appliqué, construit, bien réfléchi. Lui, il réfléchit, beaucoup dans son travail, pour mener à bien le marché noir, et pour les autres aussi, mais pas assez pour lui. Artiste dans l’âme, révolté, révoltant, il a toujours son mot à dire, Jin, lui, qui est toujours là où il faut pas. Il fait la morale quand lui ne suit pas ce qu’il dit, quand lui est pire par moment, quand lui ne suit pas souvent les principes qu’il essaie de partager avec ses cadets. Lui, il traîne toujours là où il faudrait pas qu’il soit, à s’attirer les emmerdes, pour mieux vivre, pour mieux ressentir encore. Parce qu’il aime pas se canaliser, il préfère vivre au gré du temps, au gré du vent, il veut pas se limiter alors il vit, alors il crie, il dit ce qu’il a à dire, Jin, parce qu’il s’en fout de ce qu’on pense de lui. Il a pas peur des jugements, il a pas peur qu’on l’aime pas, est même plus à l'aise avec cette idée.
Libre, indépendant, fort, surtout vivant, il l'est, mais a un besoin qui pourrit au fond de lui, de se sentir soutenu, de relâcher le poids qui s'entasse sur ses épaules trop larges. A besoin de se faire sauver par un prince aux cheveux longs et aux talons aiguilles pour apprécier les joies que seul, lui, peut s'accorder. Alors il faute, Jin, alors il tombe dans leurs pièges, parce qu'il les aime bien trop les moments privilégiés à ne se souvenir que du désir partagé. Pour mieux respirer, la flamme dans ses yeux dansait de plus en plus, sensuelle, charismatique et surtout joueuse. Et il ne veut pas s'attacher, Jin, ne croit pas en l'amour, n'y croit plus. C'en est alors devenu l'obsession d'un toucher, d'un regard, d'un jeu à la promesse futile, et creuser toujours plus la plaie en pensant la panser.
Engagé, insoumis, optimiste, (violent) - un combat contre l'injustice mené avec fierté, passion et fermeté. Jin, il supporte pas le mensonge autant qu'il ne supporte pas l'abus, l'injustice nourrie chaque jour et pour chacun (surtout pour les autres). Il sait d’où il vient, Jin, il sait comment il en est arrivé là, il est fier de ce qu’il a construit petit à petit avec ses outils à lui pour autant, il ne souhaite sa vie à personne; et surtout pas à son frère. Et Jin, il croit pas en la violence pour solution. Il réfléchit, Jin, évite de se faire bouffer par la colère qui le ronge jusque dans chaque organe mais ce n'est pas toujours simple, ça ne l'est jamais, en vérité, et chaque fois qu'il s'est trop emporté, Jin, il en garde la marque de la culpabilité aussi douloureuse que le fer rouge. |
PROTECTEUR | CALCULATEUR | CHARMEUR | AUTORITAIRE |
AGILE | MOQUEUR | EXPRESSIF | IMPITOYABLE |
CHARISMATIQUE | IMPREVISIBLE | INTELLIGENT | NONCHALANT |
histoire ▬ I swear on my life,( 1995) Les jouets qui traînaient dans chaque coin de la maison et les éclats de rire, les sourires qui se cognaient contre les murs pour mieux en apprécier l’écho; la joie, à l’état pur, dont on respirait l’essence même, à chaque seconde. Enfant aimé, enfant aimant, caressé par les baisers de ses parents bienveillants. Alors il a pas compris le gamin, il a pas su comprendre pourquoi son sixième Noël ne comprit pas son paternel. Parce que, lui, il avait en son esprit les moments complices, à taper dans un ballon sous un soleil de plomb, à faire des bêtises dans le dos de maman, les histoires au bord du lit, et tout ce qu’un enfant aurait pu souhaiter pour une belle enfance gravée dans un monde naïf, si beau. La neige avait laissé derrière elle un tapis blanc, glacial, aussi pur que sa bulle qui venait d’éclater, cette année – il a pas compris, Jin, pourquoi son père avait rebroussé chemin quand un deuxième môme voulut pointer le bout de son nez. Non, il a pas compris, parce que ça avait été si bien toutes ces années, ensemble, il a pas compris pourquoi il voulait pas recommencer. ▬ I’m tired of those men who always make you cry. ( 1996-2005) Responsabilités, engagement, à avoir grandi trop vite, beaucoup trop tôt; une demi-douzaine d’années pour comprendre qu’il devait prendre une nouvelle place dans cette nouvelle famille dénuée désormais de son équilibre. Il supportait pas d’entendre sa mère pleurer, Jin, il supportait pas de la voir à bout quand Young Min la privait de son sommeil. Fatiguée, physiquement, moralement, il supportait pas, non, de ne plus reconnaître la femme au sourire radieux qui embellissait chacune de ses journées. Alors, il a essayé, Jin, il a fait de son mieux, pour aider, pour soutenir, de son âme-enfant qui voulait tant bien faire, tout faire pour ne pas ressembler au lâche qu’avait été son père. Il a même appris l’anglais, Jin, dès qu’il a pu, pour traduire à sa mère, pour s’intégrer dans ce pays qu’elle ne voulait pas quitter. Il a jamais pu lui en vouloir, le gosse, jamais, parce qu’il voyait bien l’envers du décor et pour protéger son frère, sans qui il ne serait pas là aujourd’hui, Jin, il inventait des histoires, pour que la réalité, que lui connaissait, devienne un peu plus belle dans les yeux du gamin. Et alors son père était parti en quête d’un tout, d’un rien, à sauver un monde, comme un héros de film, comme celui qu’on admire, celui qu’on ne déteste pas. Pour l’espoir, pour l’étincelle dans les yeux de Yong Min. ▬ I said on my life, I ain’t talking love, I’m talking about cash.( 2005-2012) La vérité, il la connaissait, Jin, s’amusait à l’embellir dans un regard innocent (qu’il croyait) pour qu’il le reste le plus longtemps possible, qu’il se disait; pour tenir le coup, pour tenir jusqu’au bout. Il caressait l’envie de tout arrêter à chaque nouveau matin, se demandant bien pourquoi, à à peine quinze ans, il faisait tout ça. Et puis le regard enchanteur, presque ensorcelé, ensorcelant, d’un frère qu’il tentait au mieux d’élever. Il arrivait toujours à se lever, Jin, toujours à garder la force d’y arriver, pour eux. Jusqu’à finir ses journées d’école à traîner avec les enfants du quartier, jusqu’à tard, parfois, trop tard, souvent. Aux marques honteuses et aux nuits de malfrats, il savait déjà comment se faire la main pour faire vivre une famille un peu bancale, qui avait surtout besoin d’aide. Mais Jin, il a jamais accepté qu’on l’aide, à toujours vouloir faire tout lui-même, jusqu’à se traîner dans de sales affaires. Il y est toujours arrivé, le gamin rêveur, à faire tout ce qu’il voulait, à avoir tout ce qu’il souhaitait. Déjà persuasif, tête de leadeur, il n’a su trouver comme solution que l’argent facile et les mauvaises fréquentations. Et pour que le rêve continue jusqu’à ce qu’il ne puisse plus, Jin inventait une image de frère exemplaire, qui continuait l’école, sérieux, assidu, vivant sur des bourses perçues de justesse. Mais au fond, il le savait, Jin (même s’il pouvait pas se l’avouer), que le gamin, il grandissait et que la vérité allait éclater. ▬ I see all the pain on your shoulders, ( 2012-2013) Et puis, y a eu ce jour aussi, traînant des pieds, à râler face à un aîné, lui qui l’emmena dans une maison des vices, pourtant peu désireux de consommer. Il savait pas bien ce qu’il foutait là, il savait pas trop comment se sortir de là, fasciné pourtant, fascinante et excitante ambiance de luxure et d’illégalité, à en vomir, Jin mit rapidement fin à sa contemplation lorsqu’un regard attrapa le sien. Trop jeune pour être là, princesse déchue de son château, mêlée à une foule qui ne lui ressemblait pas. La gamine, farouche, apeurée, le captiva jusqu’à ce qu’il décide de la sauver, sans un mot, sans un bruit; Zelda n’eut pas le choix. Tuteur légal, c’était ce qui était écrit sur les papiers. Père avant l’heure d’un sang qui n’était pas le sien et pourtant, Jin l’aurait refait des millions de fois s’il le pouvait. Et tel le bon protecteur et la figure paternelle trop jeune qu’il était, il prit la décision de partir, pour tout le monde, pour eux. Corée du Sud pour la sécurité, pour leurs yeux bridés et le renouveau. Ils trouvèrent alors un nouveau chez eux, dans ce salon de tatouages qui leur ressemblait. ▬ I know you wanna take the gun. ( 2015-2016) Il y a cru en l’amour, un jour, Jin, n’a pas toujours été le coureur d’une ou deux nuits pour un au revoir aux aurores. Il y a cru en l’amour, un jour, Jin, mais n’y croit plus. Ne croit plus en lui et sa capacité à aimer, ne croit surtout plus en la capacité des autres à l’aimer. Préfère même l’idée qu’on ne l’aime pas pour ne pas aimer en retour, Jin, il se protège beaucoup trop pour ne plus souffrir comme elle l’a fait. Et lui, il a encore du mal à se regarder dans le miroir depuis cette fois, cette seule fois où il réussit à la blesser vraiment, à lever la main sur une femme qu’il aimait pourtant de toute son âme d’homme blessé. Jin, il est pas mauvais, en garde des séquelles et un traumatisme certain de la violence qu’il peut cacher en lui et son sourire à la force incroyable. Mais il essaie, Jin, de se rattraper, de cajoler mais de pas s’attacher, de s’accrocher à des sentiments futiles. Mais c’est plus fort que lui, il retombe toujours dedans, Jin, dans leurs bras et leurs mots doux qui caressent son coeur qu’on ne pourrait deviner aussi fragile qu’il ne l’est. ▬ Mama, I’m gonna fuck this game up.( 2013-2017 ) Mais il a jamais lâché, Jin, il a toujours continué à faire de son mieux, avec ce qu’il avait, à aider, à prendre toutes les responsabilités et Jin, il continuait, à traîner avec les mauvais, à se construire un empire tangible, surtout aux yeux de la loi et à nourrir ce qu’il détestait le plus en lui et qui lui était le plus vital. Et Hyo, il a pas tout arranger, celui-là, Hyo, il a empiré pour le meilleur, ce qu’il pensait pouvoir stopper. Jusqu’à pousser le vice, jusqu’à pousser sa peine dans un marché noir, aussi noir que devenues son âme et sa foi. Puis les armes avec. Puis Young Min, devenu bien assez grand, pour comprendre leur monde, son monde et ses mensonges. Et un salon de tatouages changé en couverture de blanchiment d’argent. Il le savait, Jin, l’avait toujours su, qu’il y arrivait, à ce putain de rêve enchaîné. ▬ They’ll all remember who’s your son.anecdotes Jin, il fume beaucoup trop et boit beaucoup trop de café ▬ Il est fan d’Amy Whinehouse et écoute ses chansons en boucle au salon lorsqu’il doit tatouer un client ▬ Il poste régulièrement des photos sur son Instagram ▬ Il joue également de la guitare et dessine depuis tout petit ▬ Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour offrir une meilleure vie à sa famille ▬ Il s’est intéressé aux cours de droit par internet lorsqu’il a commencé le marché noir et le trafic d’armes avec Hyo ▬ Il aurait d’ailleurs pu se marier à ce dernier s’il avait été une femme (est persuadé qu’ils ont été âmes-sœurs dans une autre vie) ▬ Expressif, tactile et taquin à souhait, il aime beaucoup en jouer (adore toucher les fesses des autres) ▬ Il a souvent une sucette dans la bouche quand il est au salon ▬ Claustrophobe, il a besoin que les fenêtres soient ouvertes pour dormir et ne prend jamais l’ascenseur ▬ Son premier amour lui a brisé le cœur en le trompant avec un autre ▬ Nourrit désormais une obsession pour les femmes et leur affection ▬ Vulgaire, Jin n’a aucun filtre et adore faire des blagues à connotation sexuelle. portrait surnom ⎯ jin - l'irlandais - l'étranger - le branleur - hyung - parton/boss signe astrologique ⎯ lion signe chinois ⎯ cheval animal préféré ⎯ chien/loup sucré ou salé ? ⎯ sucré type idéal ⎯ il aime les femmes en général, jin, il les aime un peu toutes objet fétiche ⎯ son briquet - son médaillon offert par sa mère pour ses sept ans - les photos de young min, de leur mère et de zelda dans son portefeuilles heure préférée ⎯ 19:32 as-tu ton permis de conduire ? ⎯ oui, et du premier coup rêve ⎯ il rêve que son frère réussisse mieux sa vie que la sienne - il rêve d'avoir eu une vie "normale" - de fonder une famille et de pouvoir offrir à sa mère tout ce dont elle a besoin/envie famille ⎯ cho youngmin, le petit frère - ahn zelda, la protégée dont il est le tuteur légal (parce que c'est comme la famille sans le sang) piercing/ tatoo ⎯ piercings aux oreilles et sur la langue - quelques tatouages sur le corps style ⎯ street style phobie ⎯ claustrophobe toc/manie ⎯ il a tendance à toujours jouer avec son briquet - à faire trembler sa jambe lorsqu'il stresse - à se toucher les lèvres lorsqu'il réfléchit secret ⎯ il se sert de son salon de tatouages pour blanchir l'argent sale de son marché noir - les femmes sont ses obsessions couleur préférée ⎯ rose - gris - kaki superstition ⎯ il croit à une certaine forme de vie après la mort - il n'écrit jamais le nom des personnes en rouge (couleur destinée aux morts) menteur ou sincère ? ⎯ surtout sincère ou menteur par omission et par protection | |
lian la faible j'adore déjà le forum et le design, que du love love l o v e (je risque de mettre un peu de temps à remplir la fiche mais je suis tellement faible que je m'inscris maintenant ) |
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