| ( #) Sujet: i'm taking over you ☆ ((dewei)) Sam 23 Sep - 1:56 |
you thought i would fail but i'm fine, sorry pv // feat. min yoongi (suga - bts) | |
nom ⎯ bai, ce nom que vous connaissez certainement tous en raison de la tribu à qui il est attribué. prénom ⎯ tu trouves souvent ironique de porter dewei comme prénom, sachant que la signification "d'une telle noblesse" ne colle absolument pas avec ton caractère, ni même avec tes conditions de vie actuelle. âge ⎯ tu as 20 ans. vingt ans, c'est si peu comparativement à l'âge qu'on te donne en temps normal. date & lieu de naissance ⎯ tu as vu le jour le 13 août de l'an 1997. origine & nationalité ⎯ tu es d'origine et de nationalité chinoise grâce à ta mère. tu n'as aucune idée de qui ton père était et ce n'est pas un détail qui manque à ton existence. cursus ⎯ tu es en 2e année de langues. tu es le jeune homme au fond de la classe qui ne semble pas être dans le bon cours, mais qui ironiquement a les meilleures notes aux tests. métier ⎯ tu es barman depuis un moment déjà, et tu enchaînes des petits boulots lorsque l'occasion se présente. situation financière ⎯ précaire. tu te demandes souvent comment tu arriveras à joindre les deux bouts, comment tu arriveras à tout gérer et à aider ta famille. orientation ⎯ bisexuel, sans aucun complexe, sans pourtant le crier sur tous les toits. rejoindre une société ? ⎯ je vais dire oui :$ | caractère (Silence, I discover, is something you can actually hear.) c’est souvent dans le silence que tu te réfugies. tu t’es rendu compte, avec le temps, qu’il est porteur de vérités et de grandes sagesses. si toutefois le silence est ton allié, tu n’as pas la langue dans ta poche. toi, dewei, tu dis tout haut ce que les autres pensent tout bas. tu ne passes pas par quatre chemins pour te faire comprendre. et pourtant, lorsqu’il s’agit de ta petite personne, tu te refermes, coffre-fort impossible à pénétrer. (I’ve built a wall around me, never letting anybody inside and trying not to venture outside myself.) le sarcasme est ton meilleur ami, ton arme la plus acérée. un allié que tu affectionnes particulièrement lorsque vient le temps de repousser la plèbe. tu fouettes ta famille, tes amis, les inconnus de remarques cinglantes et parfois même désobligeantes, de façon détachée. tu t’es tellement fait à cette idée que tu n’y réagis plus, alors qu’on fond de toi bouille une culpabilité qui ne demande qu’à s’échapper. tu n’es pas foncièrement méchant, mais jamais tu ne l’avoueras. (Each person feels pain in his own way, each has his own scars.) ton sarcasme n’aide en rien ton image. au premier abord, on te considère comme agressif, ce qui n’est pas faux. tu es d’une impulsivité incontrôlable. elle dicte souvent tes actions, tes pensées, sans que tu puisses y mettre un frein. on dit également que tu as l’air dépressif, ton manque d’expression n’aidant en rien ta cause. tu es souvent défaitiste, mettant de l’avant les points négatifs plutôt que de souligner le positif. tu te dis qu’on arrivera pas à t’atteindre si tu ne leur en donnes pas l’occasion. c’est ta façon de te protéger. tu ne veux plus être blessé. (Taking crazy things seriously is a serious waste of time.) être sérieux, tu sais faire. tu as seulement vingt ans, mais parfois, tu te demandes si tu n’en as pas quarante. et tout à l’inverse, tu as souvent des regains d’énergie qui te poussent à faire toutes sortes de trucs insensés. combien de fois t’es tu mis dans la merde en étant au mauvais endroit au mauvais moment. c’est comme si tu attirais la malchance et les ennuis, même en ne faisant rien. ou alors c’est bien volontaire, qui sait. peut-être t’amuses-tu à provoquer les autres, à les pousser à leurs limites tout en testant les tiennes. rien ne te semble impossible. tu serais prêt à faire n’importe quoi si on te le demandait, même si ça semble tiré par les cheveux. tu es inarrêtable quand tu t’y mets. (Strong and independent? I’m neither. I’m just being pushed along by reality, whether I like it or not.) l’assurance, elle sue par tous les pores de ton corps. tu es inarrêtable, et c’est probablement parce que tu es aussi sûr de toi que tu ne l’es pas. une façade qui laisse croire que tu es en parfait contrôle alors que, la plupart du temps, tu y vas au pif. le hasard fait souvent bien les choses, tu ne te le cacheras pas. mais sous cet aplomb se cache un jeune homme souvent stressé et incertain, doutant des autres et surtout de lui-même. tu te tortures l’esprit, te demandes si ce que tu fais est la bonne chose à faire, si tu devrais emprunter les chemins battus plutôt que d’y en sortir. tu finis souvent par te retrouver au second plan, ignoré. tu en as l’habitude. tu aimerais briller, être le premier. être le seul. c’est égoïste, ça c’est certain, mais tu te demandes souvent comment ta vie aurait été si tu avais été le seul enfant bai. tu en viens souvent à la conclusion que ça n’en aurait pas valu la chandelle. (As long as you have the courage to admit mistakes, things can be turned around.) tu en as fait de la merde. mais tu en es pleinement conscient. tu sais que tu n’as pas toujours été gentil, que tu n’aurais pas dû faire telle ou telle chose. tu l’admets. la seule chose que tu n’arrives pas à admettre, c’est à quel point tu aimes, tu adores ta famille. tu bougerais la plus haute des montagnes pour que ta famille vive bien, pour qu’ils se sentent à l’aise et pour satisfaire à leurs besoins. tu as le cœur sur la main dans des situations bien spécifiques. mais la famille bai, c’est toute ta vie, peu importe ce que tu essaies de te faire croire. |
IMPULSIF | MOQUEUR | CYNIQUE | INTELLIGENT |
TAQUIN | OBSTINÉ | CHARMEUR | CALCULATEUR |
histoire - Narrow minds devoid of imagination. Intolerance, theories cut off from reality, empty terminology, usurped ideals, inflexible systems. - tu pousses un long soupir, le bout de ton nez se retroussant. du haut de tes trois pommes, tu regardes les gens passer dans la rue, les doigts bien ancrés à ceux de ton frère aîné. tu aurais envie de tout lâcher et de te lancer dans la foule, disparaître et ne plus revenir. ça ferait une bouche de moins à nourrir. tu es né dans cette chine conformiste, communiste, une chine qui cherche à tout contrôler. ta famille détonne dans cette chine restrictive de par sa population toujours grandissante. tu es le cinquième enfant. ta cadette et son jumeau sont nés il y a maintenant trois ans. depuis lijuan, tu n’as plus l’impression d’être. c’est comme si tu subissais ton existence, externe à ta propre histoire. tu tentes de t’imposer, mais on te relègue toujours au deuxième plan. ce n’est pas toi l’acteur principal dans la famille bai. tu sembles discret, mais tu es animé d’une rage sourde, prête à éclater à tout moment. tu n’as pas pris l’arrivée des jumeaux. tu as encore du mal à l’avaler. tu serres les doigts de lishui comme si ta vie en dépendait, comme si tu avais peur qu’il t’oublie encore une fois pour recentrer son attention sur ta cadette. il te pousse légèrement vers l’avant, ton visage rencontrant directement la cuisse d’un étranger. automatiquement, tu te mets à pleurer, subterfuge auquel tu excelles. l’inconnu tente de te consoler, tu t’accroches à lui comme si ta vie en dépendait, en profitant pour lui voler son portefeuille. tu te calmes lorsque lishui vient à ta rescousse, clignant des yeux plusieurs fois en remerciant l’étranger qui file en sens inverse. même à ton âge, on te demande déjà de contribuer. et ce n’était qu’un début. - Memories warm you up from the inside. But they also tear you apart. - tu clignes des yeux plusieurs fois, te disant que tout va bien, que tout ira bien. ça fait déjà six ans, et pourtant, quand tu fermes les yeux, tu vois encore son corps frêle être traîné sur le bitume. tu vois la flaque de sang qui s’allonge, les yeux de ta mère, à la fois emplis de panique et totalement vide d’expression. tu te souviens de ton manque de réaction. tu aurais pu faire quelque chose. t’es leur grand frère, t’aurais pu être un peu plus vigilent. lian aurait peut-être encore été présent. d’un revers de la main, tu essuies les sueurs froides qui maculent ton front, fermant les yeux pour tenter de rejoindre les bras de morphée, sans succès. une autre nuit sans repos, où tes pensées ne cessent de te tourmenter. tu te sens enfin sombrer lorsque tes draps se froissent, son corps glissant lentement contre le tien. tu n’as pas besoin d’ouvrir les yeux pour savoir que c’est liko qui est venu te rejoindre. sa main glisse tendrement dans tes cheveux et tu niches son visage au creux de son cou. il ne te faut que quelques minutes pour t’endormir, enveloppé dans ce réconfort que tu appelles « famille ». tu ne l’avoueras jamais, mais tu ne serais rien sans eux. tu tombes encore au deuxième plan et c’est sûrement ce qui te permet de t’évader. le cinquième enfant, il est un peu moins surveillé. on le regarde du coin de l’œil, sans trop faire attention à ses frasques, sans trop se soucier de ce qu’il trame vraiment. les plus vieux on fait des conneries, il a eu l’exemple, il ne devrait pas se mettre les pieds dans les plats. ô combien ont-ils eu tort de te faire confiance. combien de fois es-tu revenu à la maison aux aurores alors que personne ne savait où tu te trouvais. combien de fois t’es-tu mis dans la merde jusqu’au cou, faisait tout pour t’en sortir sans avoir besoin d’appeler un de tes frères à l’aide. et combien de fois cette merde a pu te rapporter gros. c’est un côté sombre de ta vie que tu préfères garder pour toi, loin des yeux et des oreilles chastes de ta famille. ils n’ont pas besoin de savoir. ils ne veulent sûrement pas savoir. - Happiness is an allegory, unhappiness a story. - t’as un mauvais présentiment. y’a un peu plus d’action dans la maison qu’à l’habitude, surtout que tu n’y mets plus les pieds très souvent, depuis quelques mois. tu comprends assez rapidement que ton monde actuel se prépare à voler en morceau. tout ce que tu connais, ce à quoi tu es habitué, tout ça volera en éclat parce que ta mère n’a pas su se tenir, encore une fois. tu te contentes de rester discret et de faire ce qu’on te dit. tu bouilles intérieurement à l’idée de t’installer dans un pays qui t’es complètement étranger. ce n’est pas de gaité de cœur que tu tiens la main de ta petite sœur à l’aéroport. tu aurais envie de lui dire de prendre un autre avion, mais tu fais tout en ton pouvoir pour la rassurer. tu gardes ton calme pour lui montrer que ce n’est pas si pire que ça en a l’air, alors que tu paniques totalement. et si ça ne se passait pas aussi bien que votre oncle le disait? si on vous retournait tous en chine et on vous persécutait pour avoir contourné une loi (même plus que contourné). l’adaptation fut la moins difficile pour toi, dewei. étonnamment, tu fus un peu le pilier de la famille bai en sol coréen. dewei, comment on dit ça? c’est où, ça? tu peux me dire ce qui est écrit? tu es celui pour qui l’apprentissage de la langue se fit le plus facilement. tu es celui qu’on emmenait au supermarché pour être certain d’acheter la bonne chose, celui qu’on faisait parler au téléphone quand, par miracle, il sonnait. pour une fois dans ta vie, on te mettait enfin au premier plan, à la place qui te revenait. pour une fois, tu ne te sentais pas inutile dans cette famille. c’est vers les langues que tu te tournes. un chemin facile, certes utile, mais tu aurais pu trouver mieux. ça te permet d’avoir beaucoup de temps libre, beaucoup de temps pour toi, pour ta famille, pour trouver de l’argent. tu occupes un emploi de barman, même si tu n’en as pas l’âge légal. tu acceptes tous les boulots possibles, que ce soit du babysitting ou une livraison (ne posez pas de questions sur le contenu des paquets…). tu te battras jusqu’à ton dernier souffle pour cette famille que tu aimes autant que tu détestes. ce n’est pas en restant sur les bancs d’école que tu y arriveras. c’est pourquoi tu n’as pas la meilleure des assiduité. mais au diable la présence en cours quand tu peux avoir du bon temps ailleurs. anecdotes (middle finger up) tu es l'enfant du milieu, ou presque. tu es le cinquième à avoir vu le jour dans la tribu bai, cette famille si éclectique et unie à la fois. ☆ (red moon) insomnie, partenaire de tes nuits. elle partage ta couche depuis si longtemps, tu as cessé de la repousser. tu t'es fait à l'idée que rester éveillé et dormir le moins possible éloignerait ces terreurs nocturnes et ces épisodes de somnambulisme qui t'assaillent. ☆ (shit happens) te mettre dans la merde, c'est tout un art que tu maîtrises à la perfection et qui te rapporte gros. tu n'as pas toujours traîné dans les meilleurs quartiers, ni même avec les meilleures personnes, mais ça t'a permis de te créer un bon cercle de connaissances et de faire un peu d'argent, pas toujours de façon illégale. ☆ (dollar dollar) c'est un fait connu, ta famille est pauvre. tu n'aimes pas vraiment l'argent, en fait. c'est probablement parce que tu as toujours vécu avec le strict minimum. ce que tu gagnes, tu le dépenses avant tout pour ta famille, pour que vous puissiez avoir un certain standard de vie. s'il t'en reste à la fin du mois, soit tu le gardes précieusement, soit tu l'utilises pour te gâter. ce qui n'arrive jamais, ou presque. ☆ (promiscuous) le corps d'une femme ne te laisse jamais indifférent. tu n'as pourtant pas le droit de poser les yeux sur celui-là. c'est interdit. tu l'as pourtant fait. tes prunelles de jais se sont posées un moment sur le corps de cadette et cette œuvre d'art est à jamais resté gravée dans ton esprit. d'un revers de la main, tu chasses cette image de lijuan, mais elle revient au galop. c'est un secret que tu gardes ancré au fond de ton esprit. tu n'as jamais osé mentionner cet incident à personne, pas même à la concernée. ☆ (hola hola) nul besoin de dire que tu es celui qui a eu le plus de facilité à s'adapter à cette nouvelle vie, du simple fait que tu apprends très rapidement. tu parles donc mandarin, coréen, japonais et anglais. tu as également des bases en français et en espagnol. ☆ (ink me up) pour tes vingts ans, tu as décidé de te faire tatouer. ta cuisse droite arbore fièrement deux phoenix, un noir et un rouge. la partie gauche de ton dos est également marquée d'un corbeau, d'un noir profond, sans autres couleurs. le reflet sombre de ta personnalité. ☆ (lost my way) deux jours après être arrivé en Corée, tu t'es perdu. ton savoir et ta compréhension du coréen se limitait à "je m'appelle dewei", "je suis chinois" et "tu as de belles fesses". tu t'es fait arrêter et liu a dû venir te chercher au poste de police. portrait surnom ⎯ dédé, di', tu as déjà entendu d-way et tu t'es dit que ça aurait fait un nom de scène du tonnerre. tu préfères toutefois que les gens utilisent ton prénom complet. signe astrologique ⎯ le roi de la jungle, nul autre que le lion. signe chinois ⎯ tu es né sous l'année du buffle. animal préféré ⎯ tu en as deux. le sugar glider ainsi que le furet. sucré ou salé ? ⎯ sucré. type idéal ⎯ tu n'en as pas vraiment. objet fétiche ⎯ des army tags qui ne quittent jamais ton cou. heure préférée ⎯ 4 heures du matin. as-tu ton permis de conduire ? ⎯ malheureusement pour les autres, oui. rêve ⎯ que ta famille se sorte enfin de la misère. famille ⎯ trop grande, mais bon sang comme tu l'aimes. piercing/ tattoo ⎯ un dermal au niveau de la hanche gauche. style ⎯ casual. phobie ⎯ les hauteurs. toc/manie ⎯ te lécher les lèvres. secret ⎯ t'es une licorne. couleur préférée ⎯ le turquoise. superstition ⎯ aucune. menteur ou sincère ? ⎯ à mi chemin entre les deux. | |
nigthingale J'PORTE PAS DE CHAUSSETTES, JE FAIS QUOI POUR ME PRÉSENTER HEIN moi c'est nightingale, maru pour les intimes je suis fière représentante de la #teamcaribou depuis presque 26 ans déjà, du coup, si je suis connectée à des heures bizarres, faut pas m'en vouloir. je partage la même adresse IP qu'ahn ji hyuk, comme on est coloc (que vous vous fassiez pas d'idées ;;) je ne joue que très rarement des pvs parce que j'ai peur d'être complètement à côté de la plaque, mais il m'a vraiment tombé dans l'oeil, so j'espère que ça ira |
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