Je regardais cette personne me faisant face. Son regard poser sur moi m'interrogeant de sourcil lever. Son regard ne me quittait pas. Cherchant la moindre faille dans ma personne. Je posais ma main contre ma joue en laissant défiler des dizaines d'idées dans ma tête. Pourquoi suis-je si mal à l'aise à cette idée ? Me demandais-je à moi-même. Est-ce si anormal ? Je ne pouvais répondre à ma propre question. Je laissais ma respiration devenir brusque. Je recherchais l'oxygène qui me manquait. Je délaissais ma joue pour déposer mes deux mains contre le comptoir de la salle de bain. Tout mon corps habituellement léger devient lourd. Avançant vers l'avant m'indiquant que mon manque d'énergie m'envahissait. Pourquoi ? Je regardais cette femme qui ne me quittait du regard. Elle ne me quittait guère me narguant de sa présence. Je fermais les paupières cherchant un calme absolu. Je m'imaginais près de la mer sentant l'eau venir vers moi en saluant dans une fraicheur mes pieds. Dans cette fausse épopée, le ciel ne fut éclairé que par quelques étoiles brillant comme jamais. Le vent vient caresser mes bouts de mon corps non couvert par mes vêtements. Je restais sous cette emprise quelques minutes qui me semblaient une éternité. J'ouvris les yeux et la vus me regarder de nouveau. Cette réflexion n'était rien. Elle n'est que le reflet de moi-même. Je posais alors mes yeux sur mes mains. Je ne devais rien dire ni même réagir. Ce que je désirais le plus venait de se réaliser. Je me redressais m'examinant dans le miroir. Je refis quelques retouches sur ma personne avant de me contempler. Mon large sourire absent un peu plus tôt venait de reprendre sa place originale. Je me penchais en ramassant le bout de papier que je viens serrer contre mon coeur avant le serrez dans une de mes poches. Je sortis de la salle de bain en me dirigeant vers la cuisine. Je sentis alors les cuisiniers me lancer des regards curieux. Avais-je quelques choses de monde sur moi ? Non, simplement que ma collègue remuait sa colère contre eux. Elle m'avait remplacée pour ma pause. Il est vrai qu'elle avait duré quelques minutes de plus, mais je ne souhaitais m'expliquer. Je quittais alors ce lieu infernal pour retourner à mes tables. Les servants une après l'autre.

Les heures défilèrent comme jamais. Lorsque mon chiffre fut terminé. Je courus si rapidement vers mon vestiaire en cherchant d'une main nerveuse mon sac à main. Je la renversais sur le sol en prenant mon téléphone et composa son numéro. Une sonnerie, une deuxième puis elle décrochèrent. Sa douce voix me calma. Je laissais mes larmes descendre contre mes joues sur le regard des employées. "Maman, j'ai été approuvée ! J'ai la bourse ! '' Il n'avait pas de réponse. Puis sa prévenir des larmes accompagner de cris de joie de fit entendre. Nous avion tellement travailler fort, nous avons voulu tout donner et voilà que le ciel nous félicitait. J'allais certes devoir la remettre un jour, mais pour le moment la joie domina mes pensées. Elle me félicita de tout les commentaires positifs qu'une mère pouvait dire. Mes larmes de joies se transformèrent en cascade. J'allais pouvoir postuler à une université de mon choix me souciant peu du prix. Je remerciais le ciel et termina l'appel. Les filles me regardèrent et me félicitèrent. Je les remerciais en ramassant mon sac que j'avais renversé.

Je me changeais rapidement et quitta le restaurant. Je souriais comme jamais. On pourrait croire qu'un homme venait de me demander en mariage ou bien que je venais de gagner à la loterie. Cependant, il n'avait rien qui pouvant être comparé à ma bourse. Il ne restait plus que voir mes résulta d'entrer aux universités dont j'avais passé les concours.

Une fois arrivée à la maison, je ne fis aucun bruit et allais m'étendre auprès de ma mère. Je fermais les yeux et me laissais porter par mes rêveries.

Il avait au loin cet homme. Il était debout devant moi ouvrant les bras. Il s'approcha vers moi en me serrant contre lui. Ses douces lèvres se déposèrent sur mon front. Sa voix grave me félicita. Il était magnifique puis ma mère me rejoint. Mon père ! Il était là et me proposais d'aller fêter cette nouvelle. Nous allons aux restaurants situer au coin de la rue. Il était là ! Il n'avait pas disparu. Il semblait si en forme. Je savais au fond de moi que tout cela n'était qu'un simple désire puisqu'il est décédé, il y a bien longtemps. Je le vis rire avec elle, s'échanger des baisers et lorsque sa voix me questionnait sur une question cruciale de ma vie, je me réveillai. Tout fut terminé. Il était venu vers moi ! Son esprit était venu à ma rencontre. Je regardais le plafond en déposa mon bras sur mon front. C'était le moment ou jamais. La roue de la destinée était maintenant en route.

- Elle ne se souvient ni de son odeur, ni de ses doux baisers ni de sa voix. Cet homme qui avait pourtant charmé sa vie pour cinq ans l'avait quitté sans prévenir. Elle ne sait pas pourquoi, mais lorsque la maladie dévora son père à l'intérieur de son être. Sa mère délaissa peu à peu l'idée de l'amour. Oubliant toute passion de l'homme. Elle n'a donc jamais connu l'amour fraternel ni même celui d'une soeur. Cependant, elle apprécie aujourd'hui ce statut d'enfant unique.

- Elle n'a jamais connus le plaisir de l'insouciance économique ni même du gout d'un plat festoyant. Kalaina a appris rapidement la différence de la vie. À ses yeux, les enfants naissant dans la richesse ne sont que des déchets d'hommes et de femmes puissants. Elle s'éloigne d'eux pour une raison personnelle. Kala désire pouvoir vivre loin de l'égocentrisme de cet univers capricieux, narcissique ainsi que de cette fausse projection. Elle a donc pris l'habitude de s'approcher d'eux en les rabaissant dans son statut social.

- Sa personnalité protectrice et combative lui apporte souvent des soucis. Kala aime venir en aide dans les mauvaises situations. Que vous le désiriez ou non, cette jeune métisse se laissera frapper et rabaisser à votre place.

- Bien qu'elle est boursière, elle travaille enfin de subvenir au foyer. Elle ne souhaite aucunement que sa mère débourse le moindre billet pour elle.

- Elle travaille certes dans un restaurant français, mais elle recherche quelques choses de plus. Seuls ses amis proches connaissent son désir. Kalaina a passé quelques entrevues dans des clubs de danseuse ainsi que d'hôtesse.

- Elle parle trois langues : l'anglais, le coréen et le laotien.

- Depuis toujours Kala donne au suivant. Le dimanche, il n'est pas rare de l'apercevoir tenir un plat chaud pour des femmes de la rue. Tandis que les samedis, elle visite, l'hôpital général de la ville afin de jouer avec les enfants.

- Cette petite fée du logis a toutefois un très fort caractère audacieux et dominant. Elle cherche souvent la bataille si on la critique. Donovan a malheureusement reçu un avis lorsqu'elle a blessé gravement un homme qui avait les mains trop baladeuses.

- Elle souffre depuis sa jeunesse d'anémie, asthme chronique.

- Elle a été anorexique de 12 à 16 ans. Elle a toujours plusieurs difficultés à manger. Elle est donc devenue végétarienne.

- Kala est une grande admiratrice de roman policier, fantastique et d'amour. Elle ne peut résister à une lecture.

- Tristement cette jeune sud-cornée à une certaine crainte de s'assoir derrière un volant. Elle préfère les moyens de transport public.

- Elle a une belle voix, mais a peur de chanter.

- Elle adore danser.

- Elle ne boit jamais ou dans de rares occasions. Lorsqu'elle prend, une goûte d'alcool, elle devient très attachante. Elle recherche le réconfort.

- Elle est accro aux réseaux sociaux.

- Elle déteste rendre visite à sa coiffeuse.

- Elle membre de PETA.

- Lors de ses leçons de conduite, elle aurait foncé en reculons dans son école de conduite.

- Elle est grande admiratrice des films d'animation de Disney.

- Elle a manifesté lors de la visite de Trump sur le sol sud-coréen.



- Elle n'apprécie pas la perte d'argent. Elle est donc fière de dire qu'elle fait ses achats vestimentaires dans des friperies.

- Elle n'a jamais osé teindre sa chevelure.

- Elle garde dans son porte-monnaie une photographie d'elle et son père.

- Elle ne supporte pas l'odeur du tabac. Elle e se gêne pas de vous faires une critique.

- Elle ne tient pas l'alcool.

- On ne l'a jamais perçu accompagner d'un homme.

- Elle est bouddhisme.

- Elle n'aime pas le goût du café appréciant de loin le goût du thé.

Je ne suis pas très douée lors d'une rédaction d'une fiche de présentation, alors je vous laisse devinez une présentation personnelle. Donc, je vais essayer de bien faire.

Vous pouvez me surnommer Mademoiselle Ja Kar. Pourquoi Ja pour Jacynthe et Kar pour mon nom de famille. Je suis âgée entre 23 et 26 ans, je suis très précise certes...j'avoue ! Je suis originaire de la belle région du Québec.
Je suis tombée sur votre forum, il y a de cela deux mois. Je ne cessais de venir et aller sans jamais oser m'inscrire. J'hésitais ! Je n'avais aucune célébrité en tête, mais je désirais m'y inscrire. J'ai donc succombé hier ! J'arrive donc avec cette actrice, mannequin bien plus charmante que sa mère. Me voici donc inscrite pour vous faires vivres un enfer ou pas !