STAFF ✺ OPÉRA, VELOURS, GOMINA UNE P'TITE PHOTO ? : AVATAR : one.
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NOUS A REJOINT LE : 24/10/2017
| ( #) Sujet: spleen'n'spliff (liam); Jeu 30 Nov - 19:58 |
TOKOYAMI LIAM inventé // feat. min yoongi (suga - bts) nom & prénom tokoyami liam. âge 24 ans. date & lieu de naissance 26 juillet 1993, galway, irlande. origines & nationalité origines jap/anglaises, nationalité irlandaise. cursus none. métier officiellement certifié artificier, officieusement ombre anonyme de séoul. situation financière ça vacille, un peu comme lui. rejoindre une société ? nope. | MARGINAL | ÉTRANGE | TENDRE | CYNIQUE |
Les mains constamment drapées de bandages médicaux. ∂ Croix chrétienne argentée autour du cou. ∂ Parfum envoûtant, rond et suave, très aromatique et particulier du patchouli couplé à l'OG Kush. ∂ Carte de certification d'artificier. ∂ Porte un trèfle cousu sur sa veste, réminiscence de sa vie à Galway. ∂ Jure en Irlandais. ∂ Parle lentement, avec un arrière-goût d'accent indistinct. Certains trouvent ça insupportable. ∂ Très bon comédien. ∂ Atteint d'analgésie congénitale. Ne ressent pas la douleur physique, ressent la psychique plus que la normale. ∂ S'est épris très tôt de feux d'artifice, dans sa jeunesse mouvementée. Pour lui, il y a un plaisir presque sensuel, à inonder l'empyrée de mille serpentins colorés et à jouer avec le feu. Quand il parvient à le maîtriser, quand le besoin d'enflammer le ciel lui immole les doigts, il ressent sans arrêt cette espèce de sensation incroyable, sensation de félicité et de volupté un peu folle, sous l'ivresse d'être l'artisan d'un énième flambeau céleste. ∂ Alors il a dessiné, a lu et a appris de manière empirique à faire des feux d’artifice. Son père lui avait même acheté de la poudre dès les premières manifestations de cette passion dévorante. Dire qu'il a tout de même fini à l'âge de dix-sept ans par un séjour d’un mois aux grands brûlés… ∂ Fait le con à ses heures perdues, malgré le fait qu'il reste un peu timide et chérit ses moments à lui. ∂ Accent anglais on point. Bilingue en japonais, cherche encore ses repères en coréen. ∂ Toujours franc dans sa façon d'être, quitte à dire ou faire des choses perçues comme déplacées. ∂ Bague en acier à l'index. ∂ N'a plus foi en la religion, malgré les quelques signes ostentatoires qu'il peut revêtir. ∂ Manque de tact, même si c'est souvent maladroit. ∂ Se déplace un peu clandestinement, un peu au jour le jour. ∂ Lèvre inférieure tailladée au centre. ∂ Amoureux des drogues douces, amoureux des odyssées légères, amoureux de Marie-Jeanne. ∂ Croit en la théorie du complot et aux reptiliens. Ne le lancez pas dans le débat, ce serait sans fin. ∂ On dit de lui qu'il serait pyromane. D'ailleurs, cette manie quasi-constante de jouer avec son briquet lui a valu le sobriquet de « tête brûlée ». ∂ Froid et impérieux aux premiers abords, on aime bien lui coller l'étiquette du type bizarre. ∂ Très décontracté, peut-être trop. Une fois qu'on l'approche, il suinte d'une confiance presque familière. ∂ Tangue un peu sur ses pieds, vacille dans sa démarche – tient sur un fil précaire de néant. Il a l'air aussi absent qu'obstiné. ∂ S'indigne des choses les plus insignifiantes. ∂ Tempérament imprévisible, décalé. Timbré. ∂ Peut manger tout et n'importe quoi sans ne jamais prendre de poids. ∂ Malvoyant, s'acharne à ne pas vouloir porter de lunettes. Il le paiera. ∂ Roi du second degré, premier degré quand on l'énerve. ∂ S'en fout de beaucoup de choses, et ça choque beaucoup de gens. ∂ Disparaît du jour au lendemain, de temps à autre. Finit toujours par revenir. ∂ Déteste les foules, ça le rend instable. ∂ Aime le parfum marin et les remous des écumes, les ailes blanches qui disloquent l'horizon et le sel qu'exhalent les embruns, l'eau festonnée de mousse claire au pourtour des rochers et la bave lactescente qui lèche le sable et le dessous des semelles. ∂ Fascination déplacée pour l'auto-destruction, et pour à peu près tout ce qui se consume. ∂ Dort dans le mauvais sens. ∂ Grain de beauté sur le bout du nez. ∂ Blanc comme un linceul, y a rien pour le faire bronzer. ∂ Spoiler : n'est pas un méchant garçon. ∂ À chaque fois qu'on lui demande s'il est chrétien, il répond oui. Mais à chaque fois qu'on lui demande s'il est religieux, il répond non. La croix autour de son cou atteste d'un héritage que son paternel lui a légué, durant sa période de jeunesse en Irlande. Il a été contraint d'apprendre les préceptes de la chrétienté, et de se plier à ce mode de vie purement anglais, même s'il n'en comprenait pas tout à fait l'intérêt. Pourtant, quand il s'est envolé pour la Corée et qu'il a accessoirement atteint sa majorité, il a fait le choix de devenir athée, et de se détacher de ce monde dont il n'avait plus rien à savoir. Liam a gardé cette croix pour faire plaisir à son père, mais il aime à se dire qu'il n'est que le dieu de son propre univers, quelque part. Que même si on lui prouvait mathématiquement que Dieu existe, il n'en voudrait pas, parce qu'il limiterait sa grandeur et sa liberté d'agir. ∂ Triche souvent sans s'en rendre compte, mais faut tricher pour gagner. ∂ N'aime pas qu'on le surcote ou qu'on l'élève au rang de génie. Ça lui met le poids du monde sur les épaules. ∂ Penchant pour la provocation, fait mine de ne pas s'en rendre compte. ∂ Sang-froid la plupart du temps, mais quand il pète un câble, c'est perdu d'avance. ∂ A tendance à vivre la nuit et à vadrouiller ici-et-là, sans but apparent. ∂ Déteste la violence, tellement qu'elle le déteste en retour et s'amuse à le tourmenter. ∂ Passe-temps : l'origami. ∂ Possède beaucoup de facettes de sa personnalité sur lesquelles il n'a pas toujours un contrôle absolu. Du coup, on le traite souvent de menteur ou d'escroc. ∂ Dans certaines situations bien définies de son quotidien, on adore lui arracher son collier surmonté de sa croix, toujours de façon trop empressée. Il se voit par conséquent contraint de tout le temps le remettre en place, après le passage d'une poigne trop impatiente, bouquet de phalanges n'ayant aucune pitié pour sa pauvre chaîne argentée. Sûrement est-ce sous l'impulsion sauvage de vouloir lui refaire le portrait, ou celle de vouloir se rapprocher davantage de lui, qui sait... ∂ Aime les néons qui illuminent les rues, la nuit. ∂ A l'alcool triste quand tout va bien, et l'alcool heureux quand tout va mal. ∂ S'est déjà mêlé à des bastons qui ne le concernaient absolument pas de prime abord. ∂ Joue de la naïveté des gens. C'est marrant. ∂ Collectionne des briquets, des bandes dessinées et des pierres précieuses depuis qu'il est gamin. ∂ Certains disent que son sourire est agaçant et donne envie de lui en mettre une. D'autres disent qu'il est flippant. ∂ Pendentif de quartz autour du cou. ∂ Depuis toujours, il possède un charisme trompeur. C'est-à-dire qu'il pourra faire de mauvaises choses, mais jamais personne ne le soupçonnera d'en être l'instigateur. Ainsi, à chaque fois qu'il se fait plus ou moins prendre, on tend à le pardonner très rapidement. Même si, parfois, ça reste... délicat. ∂ Déteste perdre par dessus tout. ∂ Mais étonnement, toute sa vie, il n'a jamais cessé de perdre. ∂ S'ennuie et hait sa vie monotone. Il cherchera toujours à s'évader, d'une quelconque manière. Son job d'artificier lui manque cruellement. ∂ Marques violacées sur le cou, comme des suçons d'amour ou les stigmates d'une strangulation... GÉNIAL | TIMBRÉ | POSÉ | NONCHALANT |
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Liam, on ne le connaît jamais vraiment. C'est cent nuances sur une toile vierge, mille facettes d'un unique jeu – un demi-million de masques pour une seule et même âme, aussi authentique soit cette dernière. Y a des coutures un peu inquiétantes qui se profilent au coin de ses lèvres, des lueurs inconnues qui inondent le pourpre artificiel de ses yeux. Y a ce parfum un peu piquant mais vachement plaisant, qui exhale de ses vêtements et fait tourner les sens, intrigue les innocents et fait sourire les grands connaisseurs. Un personnage qu'il serait tentant d'idéaliser, mais qui ne vit que par le biais de ses passions, d'une trentaine de remarques aussi acides que détachées, dont cette nappe invisible que lui confère l'anonymat, dans le boucan saccadé et éclatant de Séoul la colorée – colorée comme ses rictus, colorée comme les dragons de jade qu'il dessine dans le ciel, lorsque la dynamite remplace le pétard entre ses lèvres.
Rebelle de toujours, avec un cœur qu'il ne fait pas exprès de cacher. Comme la voûte hermétique d'une église, pas facile d'y accéder, pas si drôle une fois qu'on y est. Esprit bétonné par les affres d'une vie courte, il semble respirer d'une confiance factice, bien plus à l'aise une fois en face de son interlocuteur que trop loin. Car de loin, Liam est infréquentable. Et de près, Liam est votre bon copain. Copain perturbant, copain avec l'attrait de tester vos résistances psychologiques. Voir si vous cédez au malaise qu'il tente d'instaurer, à cette pellicule de cynisme qui suinte subtilement de ses pores trop blafards. Si sa façon de penser et de procéder vous échappe, alors Liam est dérangeant. Tout semble simple chez lui, peut-être un peu trop – et nombreux sont les candides qui se prêteront au jeu, peu à même de se douter que ça cache un petit quelque chose. Parce que ça cache la moquerie, ça cache la douceur torturée du spleen. Ça cache tout et rien à la fois, et c'est vrai comme faux, laid comme beau, blanc comme pas un mot.
Sauf que ça, c'est ce qu'on voit à distance. C'est ce qu'ils voient à distance. Et sans doute qu'ils ne se trompent pas, sans doute qu'ils ont raison sur certains points, comme tous les points, comme absolument aucun. Mais Liam prône l'énergie, prône la lumière – prône l'amour et, peut-être, prône une fine pincée de destruction. Tu saisis pas ? C'est pas grave. C'est bien parce qu'il souhaitait forger son propre univers et penser aussi bêtement qu'il le voulait, que l'argent de sa croix chrétienne a cessé de refléter les rosaces des vitraux. Non, la lumière, c'est pas la religion qui a su la lui donner – c'est lui et ses choix, lui et sa morale, lui et les autres. Lui et le ciel qui est devenu son vitrail, son terrain de jeu : 'met le feu à la voûte, il en a rien à foutre. Pyromane sans foi ni loi, car c'est ça, la liberté. C'est le brin d'herbe au bord des lippes, les doigts qui brûlent et les mains qui noircissent de trop effleurer les flammes. Y a des bisous partout sur ses avant-bras, alors faut les recouvrir, tout le temps, constamment. Y a la timidité presque sensible qui survient, de temps à autre, et qui l'amène à s'égarer ou à ne pas répondre aux questions, à les éviter comme il le peut. C'est trop compliqué d'expliquer pourquoi on se déteste. Alors on fuit, et on rigole, et on se moque de soi-même. Et on meurt à petit feu, pour revivre sur la flammèche d'un briquet fluorescent.
Il a la mine un peu métèque, genre, le type qui foule des contrées qui ne sont pas les siennes, tu sais ? Ce genre de vautour que les conservateurs – non, que nous, les conservateurs, on cherche à déstabiliser à tout prix, pour voir s'ils valent la peine d'être des nôtres. Gueule d'ange qui mérite trois paires de baffes, taré à l'accent trop chantant pour être seulement compris. Y a pas de quoi en faire un plat ou l'élever sur un piédestal, au fond. Y a rien pour crier au génie, et pas de métaphore qui claque suffisamment, pour la lui asséner dans sa tronche qu'on aimerait déchiffrer. Parler de lui ça l'ennuie, et conter ses exploits, ça l'indiffère. S'ils veulent un héros, qu'ils aillent se mater un Marvel ou Star Wars. Et toi, si tu veux un camé entiché de pluies d'artifices, alors parle-lui, et arrête de te dire qu'il l'air dangereux. De toute façon, tu lui as jamais rien fait. Pas vrai ?
Mais doucement, il perd son humanité, et continue de s'enliser dans la dose pharamineuse d'endorphines que recrachent ses pores. Parfois, il lui arrive de river ses yeux vers l'entaille ensanglantée qui hurle au bout de son doigt, ou sur les nuages pourpres qui fleurissent à même ses phalanges. Les noirceurs flambantes qui agressent ses avant-bras semblent passagères, indolores. Liam ne ressent rien, si ce n'est la brève sensation de chaleur qui irrigue chaque fibre de son corps, et qui lui rappelle un tant soit peu qu'il est en vie. Mais on se demande souvent pourquoi il n'a pas mal, pourquoi il se contente de hausser les épaules et de ne pas geindre (parfois hurler) sous l'impact des coups et blessures. Pourquoi on a la souffrance sur les traits, et lui n'a que l'indifférence sur les lèvres.
Car y a rien, y a juste l'ennui, la monotonie, le faciès de l'incompris. Plèbe-douleur, et lui qui crève sans même le savoir. Ça fait rire, ou alors ça fascine. On s'esclaffe parce qu'on y croit pas trop, on décide d'en jouer parce qu'on ne veut pas y croire. Et puis on prend conscience, et on comprend tout de suite l'amour de son essence pour le danger.
Et Liam, ça le bouleverse un peu, au fond – voir que ça leur arrache des grimaces de dégoût, d'engouement ou de stupéfaction, quand lui, ça change rien à son état d'esprit. Quand lui, ça ne lui fait ni chaud, ni froid.
Alors il paume son humanité, ouais, à jongler entre la vie et la mort aussi maladroitement et inconsciemment, sans jamais en avoir rien à faire.
Ça se dispute dans son palais, les mots qui glissent, les rires affûtés et la banalité acérée de ses propos, aussi impulsifs que réfléchis. S'il manque de tact, c'est pas toujours fait exprès – s'il t'offense, c'est que tu t'enfonces. « J'crois qu'on devrait tous penser comme toi, complètement. T'es dans la stratosphère, faut en parler aux médias » qui crie littéralement « ferme ta gueule, tu comprends rien ». Parce qu'il déteste qu'on le juge en pensant avoir raison. Parce qu'il déteste qu'on le surcote sans penser à son envie de faire, sans penser au reste des gens qui l'entourent. Parce qu'il se déteste, tout simplement, et que c'est trop simple de cacher ça derrière des railleries bon enfant et un puissant besoin d'amour collectif. | surnom tête brûlée, yami, lili. signe astrologique lion. signe chinois coq d'eau. animal préféré dragon/méduse. sucré ou salé ? salé. objet fétiche sa croix chrétienne, son pendentif en quartz, ainsi que le trèfle cousu sur sa veste. heure préférée 19h. permis de conduire oui. famille père irlandais, mère japonaise. piercing/tattoo piercing unique sur le lobe gauche. secret atteint d'analgésie congénitale. style grunge. phobie les féministes hystériques. toc/manie.s jouer avec son briquet, porter des lunettes de soleil. même la nuit. défonce oblige. couleur préférée vert/bleu/gris. superstition les reptiliens. menteur ou sincère ? on sait jamais trop s'il est sarcastique ou non. du coup, on lui demande souvent s'il est sincère quand il finit une phrase. |
kernel le babybel it's dangerous to go alone, take this | CHU POSSÉDÉ T'ES CHOQUÉ !!!! Et wala mon Liam, tête d'ange mais diable au corps fufufu ♡ |
gaffé quand je suis possédé Fixe-moi dans l'rouge des yeux, un spliff et y'a tout qui est mieux Naissance en terres verdoyantes. Fils unique. ∂ Prémices d'une existence en terres Anglaises : Irlande, Galway. ∂ Père Irlandais et mère Japonaise. ∂ Hérite d'un nom de famille japonais, Tokoyami, et d'un prénom gaélique, Liam. ∂ Apprend l'anglais toute sa jeunesse, développant ainsi un accent irlandais, avant de recevoir des cours de japonais supervisés par sa génitrice, prédestiné à devenir bilingue très tôt. ∂ Chrétien par obligation, son père l'envoie à la messe tous les dimanche matins. ∂ S'envole pour l'Amérique quelques années plus tard, trouvant refuge aux États-Unis. ∂ Se passionne de pyromancie à l'âge de huit ans, après que sa figure paternelle l'ait initié aux joies des feux d'artifice et aux kits enfantins d'explosifs. ∂ Débute une collection de fusées, de fumigènes, de pétards, de mèches noires, de chandelles et de dynamites. ∂ Alterne entre USA et Corée pendant son adolescence, envoyé en terres asiatiques afin d'apprendre la langue. ∂ Dérobe son premier baiser durant un festival de Séoul, sous un feu d'artifice. ∂ Fume son premier pétard pendant une dépression. ∂ Devient Athée. ∂ Plonge dans l'addiction du cannabis. ∂ Tendances pyromanes s'éveillant peu à peu. ∂ Conscient de son problème, commence une thérapie cognitivo-comportementale avec l'aide de ses parents, et surmonte ses pulsions après deux ans de traitement. ∂ Trouve du réconfort parmi ses amis, renoue avec l'Irlande, passe du temps en Corée. ∂ Diminue sa consommation de weed, se passionne pour les feux d'artifice. ∂ Ne se sépare plus de sa croix, malgré sa foi en la religion éteinte. ∂ Devient artificier après ses études, se fait appeler le magicien de feu dans certains quartiers des states. ∂ Répand peu après ce surnom dans les allées de Séoul, acquérant une notoriété certaine dans le monde des festivals et des ballets célestes. ∂ S'installe clandestinement en Corée, se fondant depuis quelques mois dans un anonymat qui cacherait un lourd fardeau... |
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