| ( #) Sujet: Jeong-Il ~ Une mélodie silencieuse Dim 10 Déc - 19:25 |
I can't hear you but don't think I'm not able to understand you inventé // feat. Mun Bin (Moonbin - Astro) | |
nom ⎯ Mae prénom ⎯ Jeong-Il mais il préfère qu'on l'interpelle en tapotant sur son épaule âge ⎯ 24 ans date & lieu de naissance ⎯ 29 février (à peine né il avait la poisse) - Dans un village inconnu et bien paumé origine & nationalité ⎯ Aucunes origines de ce qu'il en sait mais c'est un bon petit coréen cursus ⎯ Ecriture même si apparemment, devenir écrivain n'a aucun avenir, il ne voulait rien faire d'autre. métier ⎯ Il travaille dans un grand supermarché. situation financière ⎯ Son père paye son loyer et ses études, pour le reste, il se débrouille plutôt bien et vit correctement. orientation ⎯ hétérosexuel rejoindre une société ? ⎯ oui | caractère Est-il vraiment quelqu’un que l’on peut définir par de simples mots ? Certainement pas, il faudrait écrire un roman pour pouvoir ne serait-ce que résumer qui est vraiment Jeong-Il. Mais je veux bien essayer de le faire puisqu’il le faut. Jeong-Il est un artiste dans l’âme, il aime vagabonder comme bon lui semble même si ça le fait rater des cours dans cette si prestigieuse école. Il adore amener son enfant à l’école, tenir sa petite main dans la sienne jusqu’à ce qu’il s’éloigne en courant pour rejoindre ses camarades. Il ne veut pas que les autres le jugent parce qu’il ne peut pas les entendre, il n’a pas décidé ce qu’il est et ne l’assume qu’à moitié. Il tente de passer au-dessus et de parfois faire comme s’il était comme les autres. Mais il est différent, Jeong-Il, il pense d’une autre manière, il écrit des histoires dans ses pensées. Il aime décrire, il aime observer ce qu’il ne peut pas écouter. Il aime utiliser les sens qu’il possède au détriment de son ouïe, il aime parler même s’il n’entend pas ce qu’il dit, il aime toucher, savoir ce qui est rugueux, ce qui est doux. Mais ce qu’il apprécie par-dessus tout, c’est observer. Il retient tout ce qu’il voit, enregistre chaque détail qu’il perçoit tel un appareil photo. Si vous le rencontrez, il parlera sans honte, il sourira pour faire comme si tout allait bien. Il fixera vos lèvres pour comprendre ce que vous dites et n’hésitera pas à vous demander de répéter plus lentement si vous parler trop vite. Il est vivant, il dégage une aura qui n’est semblable à aucune autre, une assurance maladroite, une démarche insaisissable. Lui-même ne comprend pas ce qui le rend si différent mais il pense que c’est normal à cause de son handicap.
Il a longtemps été trop énergique, c’est pour cela qu’à présent, il est quelqu’un de plus posé. C’est la vie qui l’a obligé à être ainsi, pas lui. Il adore passer sa main dans ses cheveux, changer de style de vêtements tous les jours sans spécialement en être fier, vouloir se démarquer. Il est distrait, Jeong-Il, les fleurs sur les chemins qu’il emprunte pour rejoindre l’université l’intéressent grandement. Il aime les détours pour observer les oiseaux, retirer ses chaussures et ses chaussettes pour ancrer ses orteils dans l’herbe et sentir chaque brin contre ses plantes de pieds. Il n’hésite pas à déranger, il vient souvent avec des écouteurs ou un casque contre ses tympans en y lançant des musiques que seul lui ne peut pas percevoir. Vous pouvez le dévisager, il vous verra et retiendra les regards que vous lui lancez, il mémorisera ce sentiment de honte et de timidité qui malgré lui l’envahit toujours. Il essaye d’assumer mais n’y parvient toujours pas. Parfois, il doute, il est triste ou en colère contre les autres qui sont normaux et il trouve que son handicap, ce que la vie lui a offert, est complètement injuste. Il écrit alors, il retranscrit tout ce qu’il voit, ce qu’il ressent. Il porte constamment sur lui un carnet qu’il glisse dans sa poche arrière de son jeans, il y écrit une phrase dès qu’il peut sans que personne n’ait jamais lu ces lignes. Cet être adorable ne peut faire de mal à personne mais on lui a trop souvent fait du mal pour qu’il ne soit pas méfiant. Il reste doté d’une bonté infinie bien que plus prudente qu’avant. Il ne se définirait que par un seul mot que son père déteste entendre : un écrivain.
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Doux | Distrait | Gentil | Curieux |
Attentionné | Paranoïaque | Ouvert d'esprit | Méfiant |
histoire Solitude et tristesse, ses mots résonnent à l’intérieur dans ma tête alors que comme d’habitude, un silence insupportable m’entoure. Pourquoi la pluie continue-t-elle de frapper contre cette fenêtre ? Mon cœur se serre tandis que mes yeux tentent de compter le nombre de gouttes qui coulent contre la vitre. J’aimerais pouvoir contrôler le temps pour qu’il cesse à jamais de pleuvoir et que pour toujours le soleil réchauffe ma peau trop blanche. Les nuages devaient pleurer d’une façon semblable le jour de ma naissance… Celle-ci doit de toute évidence être une erreur de la nature comme lorsque naît un petit canard noir parmi les jaunes. Où suis-je né ? Je n’ai même pas envie de le savoir ni de savoir celle qui malheureusement m’a mis au monde. A quoi bon au final ? J’ai été arraché des bras de ma mère comme dans les époques anciennes. Comprendrais-je un jour pourquoi mon père a tellement souhaité me récupérer alors que je n’ai par la suite été que source de déception à ses yeux. La lampe de mon bureau clignote à plusieurs reprises et je lève le regard pour l’observer, clignant des yeux en rythme avec l’ampoule. Je souris légèrement avant de me lever et tendre la main, le contact me brûle la paume mais je revisse tout de même l’ampoule pour qu’elle cesse ses clignotements. Je reste alors debout à fixer la lumière brillant à présent de mille feux. J’oublie quelques secondes mon passé qui n’a jamais été aussi pétillant que cette lampe pour me concentrer sur mon présent plus positif maintenant. Dois-je oublier ce qui est derrière moi ? C’est après tout mon passé qui a construit l’entièreté de mon présent… Peut-être devrais-je remercier mon père de m’avoir arraché de la misère pour me faire vivre à Séoul. Grâce à lui, je sais parler malgré mon handicap et je suis dans une des meilleures écoles même si ce n’est pas spécialement ce qui m’importait le plus. Mes écrits sont alors illuminés par un rayon de soleil et lorsqu’à nouveau, j’observe ma fenêtre, je peux constater que la pluie a cessé de tomber. Ma vie est comme le temps finalement, elle est parfois éclairée par les traits d’un soleil chaleureux et parfois trempée par les gouttes d’une pluie battante…
Petits moments de bonheur, je sens sa petite main serrer la mienne et je sens mon cœur vivre dans ma poitrine dans ces rares secondes de joies. Ce petit bout d’homme est mon fils et lorsque je l’observe gambader avec tant de motivation, je me dis que j’ai réussi à le rendre heureux. Il tient toujours son cartable sur ses frêles épaules d’enfant de 5 ans et me sourit avec un sourire qui illumine son visage rond. Ses yeux noirs sont tellement semblables à ceux de sa mère, il m’arrive de la revoir sur ses traits et cela ne me rappelle pas toujours de bons souvenirs. Où est-elle à présent ? Je sais que nous étions trop jeunes pour cela mais je n’avais cessé d’imaginer que nous affronterions notre futur ensemble. Elle me manque, je l’avoue, c’est comme si son absence avait créée en moi un vide profond que rien ne pourrait combler. Quand j’ai décidé de garder Bae, mon père ne m’a dit qu’une seule chose « Une erreur qui fait une autre erreur… C’est le comble. ». Ces mots que j’ai lu sur ses lèvres m’ont blessé davantage à cette époque mais ne m’ont pas découragé de prendre soin de mon fils même si je n’avais que 20 ans. Je ne regrette pas à présent d’avoir adopté cette petite fleur qui pousse un peu plus chaque jour sous les rayons du soleil et les gouttes d’eau qui la nourrissent. Moi, je n’ai besoin que de lui, de son expression quand il rit et des quelques câlins qu’il me fait. Déjà, je le vois s’éloigner, ses petits doigts fins glissent hors de ma main et il court pour passer les grilles de son école. Le vent décoiffe ses cheveux ébène et ses traits se plissent dans un sourire alors qu’il arrive au niveau de ses amis. Mon regard se perd dans les fleurs à côté de moi et je me remets à flâner parmi les allées d’arbres éclairées par quelques traits de soleil. Cette fois, le silence qui m’entoure ne me perturbe pas et je le comble par tout ce qui m’entoure, les odeurs des fleurs, la paroi rugueuse des arbres et les visages de gens qui passent. Etre sourd amène des avantages que j’essaye la plupart du temps de mettre à profit pour ne pas tomber dans une dépression noire qui me détruirait…
Une écriture silencieuse, je me soustrais à la vie, je m’installe sur un banc, sors mon carnet et laisse mes pensées vagabondées. La rue est vide mais en même temps pleine de vie, le vent souffle, je le sens sur mon visage, froid et puissant. Mes cheveux tombent devant mes yeux, décoiffés par le vent et un petit sourire écarte mes lèvres. Mon casque sur les oreilles est inutile mais je le garde tout de même, comme s’il me permettait de m’immerger davantage dans le petit monde que je me crée quand je prends un crayon et une feuille en main. J’aimerais voir les maisons trembler telles des feuilles effleurées par le vent, les routes changer de direction comme bon leur semblent pour ne plus rester si impassiblement droites. J’aimerais transformer le monde ou la ville pour la rendre plus fantaisiste ou plus sombre selon mes émotions et mes envies. Créer un paradis pour mon fils ou un lieu où je pourrais être sûr qu’il ne lui arriverait aucun mal. Je regarde la rue et l’imagine coupée en deux. D’un côté, le ciel sombre et la rue plongée dans une pénombre glauque, je verrais aussi les flocons tomber, blancs et brillants. Ils éclaireraient ce lieu trop noirci par mes pensées, comme les loupiottes qui éclairent les sapins de Noël. De l’autre côté, ce serait le printemps –pas l’été il fait bien trop chaud en cette saison. Il y aurait beaucoup d’oiseaux de couleurs différentes et des parterres de fleurs épanouies par la lumière d’un soleil éclatant. Bae, mon fils, serait de ce côté-là parce que c’est celui qui lui correspond le plus. Ces mondes que je crée constamment dans mon esprit n’existent que sur papier, à travers mon écriture maladroite sur des feuilles sans cesse plus remplies. J’aime à croire qu’un jour peut-être, ils existeront. En attendant, je continuerais d’en inventer d’autres sans m’arrêter, ces mondes que personne ne connaît mais qui naissent chaque jour de mon imagination. Je me lève alors et tout disparaît autour de moi, la neige, les oiseaux, tout, comme si c’était de la simple magie. Mais ce n’est que l’imagination, mon imagination qui me permettra, un jour j’en suis certain, de vivre et de faire vivre Bae. Je sors mon téléphone et mes yeux s’agrandissent alors que je constate que mon deuxième cours de la journée va bientôt commencer. Je range mon carnet et mon crayon avant de partir bien vite en direction de l’université en tentant, tant bien que mal, de ne pas me distraire davantage…
Et enfin, vivre. Oui, vivre, tenter d’oublier le passé, de le laisser au moins un peu derrière soi. Effacer les traces d’une injuste ceinture, les visages moqueurs de ceux qui étaient censés être des camarades de classe. Renaître n’aurait pas dû être une solution, se cacher derrière qui je n’étais pas, tenter d’être plus vivant et plus énergique, ce n’était pas moi et ce masque s’est à nouveau brisé sous les cris d’un nouveau-né. Alors quoi d’autre que vivre ? Evidemment, vivre en étant soi-même, vivre en écrivant même si cela déplaît toujours. Assumer peut-être mais cela est bien plus difficile. Les gens bougent autour de moi, ils volent, se déplacent tels des fantômes. J’aimerais les bousculer, j’aimerais qu’ils m’observent dans mon dos parce que je ne suis pas comme les autres, parce que je ne me cache pas. Je suis sourd et je ne me fonds pas dans la masse comme les autres tenteraient de le faire. Ecoutez le cri silencieux d’un homme sourd, ce cri, je le retranscris dans des lignes, des mots qui toucheront et qui tenteront de faire changer le monde. On dit que les jeunes n’aiment plus lire, j’aimerais qu’ils aiment à nouveau ça. Ce qu’il manque dans les pages des romans de nos jours, ce sont les sentiments, les beaux mots qui explosent aux yeux de tous telles des bombes dans les pays en guerre. Je ferais tout pour que ces beaux mots renaissent, que ces fantômes arrêtent de marcher sans but et que l’imagination brille comme les feux d’artifices dans un ciel étoilé de printemps. Si j’écris, je suis heureux. Mon bonheur est à ma portée désormais alors je veux vivre. Calmement, en profitant des belles choses qui m’entourent et même des laides qui peuvent elles aussi être sources d’inspiration. Je m’assoirais toujours sur un banc, j’observerais toujours le monde silencieux qui vit continuellement, cette ronde de personnes qui tournent encore et encore jusqu’à ce qu’un jour, quelqu’un s’arrête à son tour et s’asseye également sur un banc…
anecdotes Sa façon de parler est unique mais peut-être gênante. Il bégaye beaucoup et la moitié de des mots qu’il prononce ne sont pas entier. Il est incapable de dire certaines lettres parce qu’il ne les connait pas assez bien et ne sait pas comment les prononcer. Il adore le soleil, il ne sait pas pourquoi mais il aime quand quelques rayons percent à travers les nuages et qu’il peut sentir leur chaleur sur son visage. Il apprécie le fait que le soleil ne fasse aucun bruit, qu’il n’ait pas besoin de deviner les sons qu’il produit. Il craint un peu d’avoir une relation amoureuse depuis que la mère de Bae l’a abandonné avec l’enfant juste après sa naissance. Il est très parano parce qu’il pense qu’il a la malchance à ses trousses depuis sa naissance. Il faut dire que quand on naît sourd et un 29 février, c’est vrai qu’on a la poisse… Mais ça, il ne l’avouera pas. Il fait très attention à Bae, ce petit garçon est sa fierté et la personne la plus importante dans sa vie bien qu’il soit très jeune. Il fait toujours très attention à lui pour éviter de devenir comme son propre père. Il n’est pas dérangé par le fait qu’à 25 ans, il soit déjà père d’un enfant de 5 ans. Il ne le cache pas et l’assume beaucoup plus que sa surdité. Ses vêtements reflètent son âme, son humeur. Il ne change pas en fonction de ses vêtements, ce sont ses vêtements qui changent en fonction de lui. Avez-vous déjà fait attention à la chute d’une feuille lorsqu’elle se détache d’une branche ? Ou à la démarche d’un chat de gouttière sur un trottoir ? Ou, encore, à la sensation de marcher sur de l’herbe, différente de celle de marcher sur du béton ? Avez-vous déjà laissé votre esprit vagabondé loin, très loin de tous vos problèmes quotidiens ? Chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde, toutes ces petites choses comblent l’esprit de Jeong-Il. Il s’évade… portrait surnom ⎯ Ilo, en tout cas, c'est ce qu'il croit lire sur les lèvres des gens mais peut-être est-ce simplement "Il"... signe astrologique ⎯ Poisson signe chinois ⎯ singeanimal préféré ⎯ Les oiseaux, ils volent, ils sont gracieux et libres puis leur chant doit être mélodieux... sucré ou salé ? ⎯ Sucré, le chocolat, il en raffole!type idéal ⎯ Il n'en a pas, il veut simplement une fille qui l'aime et l'accepte comme il est... Et qui a réussi à obtenir sa confiance. objet fétiche ⎯ Une petite peluche en porte-clé, son enfant en a une identique, il les a achetée à sa naissance. heure préférée ⎯ Très tôt le matin, quand l'air est frais et que la rosée perle un peu partout. as-tu ton permis de conduire ? ⎯ Non et il ne l'aura probablement jamais... rêve ⎯ Que la mère de son fils revienne et qu'il se réveille miraculeusement un matin avec la capacité d'entendre. famille ⎯ Mère inconnue et père richissime, il préfère vivre seul avec son fils... piercing/ tatoo ⎯ Une oreille percée pendant une jeunesse catastrophique, rien d'autre. style ⎯ Tout et n'importe quoi, il aime changer chaque jour pour ne jamais s'habituer à un style particulierphobie ⎯ La page blanche toc/manie ⎯ Passer sa main dans ses cheveux quand il est nerveux et il veut toujours avoir un contact avec quelque chose qui l'entoure. secret ⎯ Est-ce qu'il en a vraiment? A part l'identité de la mère de son fils, il ne cache pas tellement de choses... Parfois, il aimerait que son handicap soit un secret mais c'est trop obvious... couleur préférée ⎯ Celles de la nature, le bleu de l'eau, le vert des arbres, le jaune du soleil,...superstition ⎯ Toutes, les chats, les miroirs, les échelles, tout y passe. menteur ou sincère ? ⎯ Sincère, les mensonges sont proscris un maximum | |
Leïla Juste une personne en plus sur ce forum éjà pleins de gens, un nom dans une liste, une tête qui n'est plus disponible à présent. Une amoureuse de l'écriture, simplement. Je vis sur un nuage, toujours bercée par les rayons du soleil et j'écris, encore et encore, inlassablement. Sinon, vous pouvez juste me surnommer Leïla, ça suffira |
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STAFF ✺ ‹ 365 SO FRESH ☽ › UNE P'TITE PHOTO ? : AVATAR : Bae Su Ji (Suzy - Actress/Miss A)
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NOUS A REJOINT LE : 05/08/2016
AGE : 26 | ( #) Sujet: Re: Jeong-Il ~ Une mélodie silencieuse Dim 10 Déc - 21:59 |
TROP HEUREUSE DE TE REVOIR PETIT BB Omg j'étais grave triste really, que Gridy perde son copain du malaise Trop hâte de reprendre notre lien et de le rendre un peu moins inconfortable j'espère Je te revalide du coup ! Tu souhaites rester Starchild comme précédemment ou tu veux relancer le dé ? Tu as le choix, si tu veux retrouver ton groupe y a pas de soucis en attendant Félicitations ! Tu as terminé ta fiche et tu es donc validé ! Le jeu commence pour toi dès maintenant ! Mais avant de commencer à RP, il va te falloir remplir quelques paperasse afin d'être en règle et faciliter ton intégration ! Première étape à ton parcours, n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin, afin qu'il soit définitivement lié à ton personnage. Ensuite, direction les relevés de compte pour y poster ce qui te feras office d'activité RP. C'est obligatoire, et bien sûr, tu devras veiller à le maintenir à jour ! Une fois ces petits détails réglés, tu peux te diriger vers les demandes de liens pour y poster ta fiche et trouver tout un tas de potos à ton personnage ! N'hésite pas à passer faire un tout du côté des réclamations, histoire pourquoi pas d'attribuer un dortoir ou un métier à ton personnage ! Si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram ou Twitter, et même nous laisser ton numéro de téléphone, ou de GSM comme dirait un Belge. Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du Flood et de la Chatbox, nous seront ravis de t'y accueillir. Avec ce message, tu remportes automatiquement une bourse de 200 wons. N'oublie pas d'indiquer ce montant dans ton relevé compte lorsque tu l'ouvriras ! Par ailleurs, si tu as choisi de t'engager dans une société, un dé va être lancé à la suite de se message, qui décidera du groupe que tu intégreras. Tu as 72h pour valider ou invalider ce choix. Si tu décides de ne pas l'accepter, tu as la possibilité de relancer une seconde et dernière fois, et tu seras alors tenu d'accepter le groupe qui t'a été donné. Bon jeu sur Hundred Miles ! —SHE'S IN THE RAIN. you wanna hurt yourself, i’ll stay with you. you wanna make yourself go through the pain. it’s better to be held than holding on. we're in the rain |
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