yuna la douceur et la brutalité, les rêves et la réalité. cette frontière qu'elle dépasse sans le calculer. les opposés qui s'entrechoquent, ces pôles adverses qui cohabitent en une seule personne. yuna c'est le big bang, yuna c'est deux fatalités qui se percutent constamment pour en créer une nouvelle. yuna, c'est l’enthousiasme, yuna c'est trop d'énergie pour un si petit corps comme le sien, les gestes brusques et brutales qui en découlent. le sens de l'injustice décuplé, yuna ça rime avec mental d'acier, c'est la gamine qui se pense capable de porter les malheurs du monde sur ses épaules, c'est la justicière des temps modernes, pourtant bien trop frêle pour combattre les injustices, pour les vaincre. yuna c'est pas elle qui réagit, yuna c'est son instinct et ses tripes qui la guident. yuna c'est ses émotions qu'elle laisse resurgir, à leur état brute, de la manière la plus pure. yuna c'est beaucoup trop pour trop peu, yuna c'est les extrêmes à toute occasion. yuna inconsciente du danger, aveuglée par l'envie de sauver la vie des autres. trop téméraire, trop courageuse, trop de trop. pas de juste milieu, pas d'équilibre. yuna elle donne tout de sa personne. yuna le coeur ouvert à tout le monde, yune le coeur à couvert blessé par son père à des années lumière. la confiance presque impossible à gagner par la gente masculine, c'est les séquelle du départ du paternel. et yuna trop protectrice, yuna trop prévenante, son frère est sa faiblesse; sa fragilité qui l'inquiète. c'est les deux faces d'une même pièce, yuna ne va pas sans yao; ils sont fusionnels. c'est yao d'abord, c'est toujours yao. yuna qui le protège, yuna qui l'étouffe même, mais surtout yuna qui l'aime.

yuna c'est la douceur d'un fleur, la sensibilité dans ses pupilles, la poésie dans ses gestes gracieux.