nom : Bak, comme le mot anglais « Back » mais sans le c, car on ne retourne jamais en arrière. Ou Bak comme le personage de D.gray-man. Oui, on a les références que l’on a !  
prénom : Comme tout enfant de la famille Bak, la demoiselle possède un nom qui s’engueule bien : Gyu Ri. Que voulez-vous, leurs parents avaient des priorités que d’autres n’ont pas.
âge : vingt-quatre ans et toujours pas sélectionnée pour l’équipe nationale. Elle commence à trouver le temps long.
lieu & date de naissance : Un dix-sept avril dix-neuf cent quatre-vingt douze à Séoul.
origines : elle aimerait vous souffler qu’elle possède des origines japonaises et qu’elle est une cousine d’Arisa Sato. Ô comme elle aimerait. Mais non. 100% Made in Korea.
nationalité : Coréenne car née à Séoul de deux parents coréens.
cursus : sport. Elle est maintenant en sixième année d’étude dans le domaine et prie tous les jours pour que cela prenne fin.  
métier : que neni, elle laisse ça à Gyu Ran. Gyu Ri préfèrerait mourir de faim que de devoir travailler en plus de ce qu’elle doit déjà faire.
situation financière : boursière en dèche de thunes.
orientation : huit pack, fan de sport, de volley c’est un plus, et plus grand que moi. Oui, c’est important ! Et plusieurs consoles. Et une bonne culture geek. Et qu'il plaise aux parents. Et qu'il ne plaise pas au petit frère. Le dernier point est le plus important.
souhaites-tu rejoindre une société ? Let’s go, girls.

❯ Anecdotes ; sa chambre est inaccessible par le commun des mortels car elle est envahie par des figurines, mangas, romans, dvd, linges sales et ballon de volley ; elle désire intégrée la même équipe de volley professionnelle que sa sœur et être sélectionnée pour l’équipe nationale pour réceptionner les boulets de canons américains ; le plafond de sa chambre a été métamorphosé après un devoir de science au collège : les planètes du système solaire pendent donc et n’ont jamais été retiré ; Gyu Ri joue aux MMORPG classe DPS et joue régulièrement à League of Legends en Mid : on la retrouve toujours sous le même pseudo et elle est réputée pour avoir particulièrement mauvais caractère ; Gyu Ri est lainée de la famille Bak, elle a une petite sœur – Gyu Ran qui joue au volley à ses côtés – et un jeune frère qui « aime » venir voir ses sœurs jouer avec un t-shirt affichant sa haine pour ce sport ; quand elle était petite, elle a baptisé son petit frère Hachi, un nom courant pour les chiens au Japon, et cela ne l’a jamais quitté ; Gyu Ri suit cent cinquante choses en même temps et peut passer du coq à l’âne sans hésiter ; si elle n’avait pas joué au volley, Gyu Ri aurait aimé travailler dans l’animation japonaise ; elle est parfaitement bilingue japonaise mais parle anglais comme une vache espagnol croisée allemande ; elle joue régulièrement aux jeux vidéos, que ce soit sur console ou sur portable ; elle fait partie de la team instinct ; haikyuu est son manga de chevet ; Gyu Ri est la définition même du mot « omnivore » : tant que c’est comestible, elle mange tout ; en primaire, elle a rejoint de groupe de garçon et ils se sont amusé à se prendre pour des justiciers typé power ranger, parfois cela la reprend ; elle n’est pas brillante à l’école, bien trop occupé à dessiner sur ses cahiers ou bien à jouer au volley ; le sujet des études est tabou au sein du foyer Bak, au risque de voir les parents se transformer en béhémots ; Gyu Ri a fait partie de l’équipe nationale junior de volley de son entrée au lycée jusqu’à son départ pour la faculté. Elle a été titulaire uniquement les deux dernières années ; Gyu Ri bave souvent devant les vitrines et est accroc au starbuck, mais n’a pas les moyens de se faire plaisir ; les sœurs Bak échouent chaque année à l’entrée dans l’équipe nationale de volley, malgré leur niveau, à cause de leur immaturité évidente, elle ne dit rien mais Gyu Ri le vit très mal et se braque dès qu’on lui en parle ; Gyu Ri occupe le poste de libero ; si ce n’est pour le volley, la demoiselle n’est jamais à l’heure et passe plus de temps à dormir qu’à réviser ses cours ; il lui arrive régulièrement d’aller supplier des camarades de promotions pour pouvoir recopier leurs cours quand arrive l’heure des examens.

LOYALE

RADINE

OPTIMISTE

ORGUEILLEUSE

PASSIONNÉE

IMPULSIVE

VOLONTAIRE

EMPATHIQUE

EXTRAVERTIE

RÂLEUSE

E A R T H Q U A K E

« Being a libero means you’re in an abusive relationship with the floor. »

Si Gyu Ran est une tornade, une tempête ébouriffant quiconque croisait son chemin, Gyu Ri était un tremblement de terre, bien décidé à secouer le monde et les gens qu’elle rencontrait : que l’on se souvienne en bien ou en mal d’elle, au moins, vous êtes sûr de vous en rappeler.

Des défauts, la famille tout entière en possède et chacun affirmera avec une bonne dose de mauvaise foi qu’il est le mieux « loti » de la famille. Mensonge ou vérité concernant Gyu Ri ? Personne ne saurait véritablement le dire. Rien que sa passion pour le volley ball était une qualité et un défaut : mettre autant d’engouement, d’ardeur, de volonté dans un unique sport, continuer à rattraper, à contrôler la balle pour faire la passe parfaite au passeur, prendre la responsabilité de ne jamais faire retomber la balle … Une pression immense qui faisait exploser la demoiselle, agissant sous l’adrénaline. Chez les Bak, l’erreur n’existe pas. Reconnaître que l’on peut se tromper au volley était une chose dont Gyu Ri n’était pas encore capable, elle n’était pas encore assez mature pour comprendre qu’elle devait murir pour pouvoir toucher son rêve du doigt. Butée et têtue ? Totalement ! Gyu Ri pourrait rester camper des mois, des années sur ses positions si personne n’entre en contradiction clairement et nettement avec elle. Après tout, elle a toujours raison, surtout quand elle a tort ! Mais que voulez-vous : les enfants Bak ont été éduqué pour avoir la tête dans les étoiles.

Comme un tremblement de terre, vous entendrez Gyu Ri de loin : bruyante, totalement inapte à comprendre la notion « d’espace vital » (ça se mange ?) et beaucoup trop tactile. Malheureusement, on ne peut pas être une libero de génie – selon ses propres mots -, connaitre le nom de toutes les planètes de notre système et être apte socialement à respecter les normes coréennes. Surtout quand on sait le nombre de série occidentale que la jeune fille peut ingérer en l’espace de quarante-huit heure, sans oublier les nombreux romans et films de cette merveilleuse civilisation occidentale. Sans oublier les seinen et shonen qu’elle dévore régulièrement et les jeu-vidéos où Gyu Ri s’efforce d’être excellente. Non mais … Etre mal classé ? Ah ah. Plutôt devoir ranger la chambre de Gyu Ran. Et ne pensez pas que c’est parce que Gyu Ri ne brille pas scolairement qu’elle est stupide : soyez malhonnête avec elle, soyez son ennemi et la jeune libero attendra sagement avant de se venger. Chez les Bak, on a la rancune facile, c’est un tort qui vient de leur père. Dites leur quelque chose, dans trois ans, elles rumineront toujours dessus. Mais Gyu Ri est charmante autrement ! Je vous le jure !

Elle est souriante, toujours prompt à rire, loyale – plus loyale que votre chien – et toujours prête à vous tirer vers le haut avec son optimiste qui ferait presque peur. C’est aussi la petite demoiselle qui va courir partout en suppliant que l’on lui prête les cours à deux jours des examens – oui elle est en sixième année, oui oui. C’est la jeune fille qui, un jour, viendra dans une tenue tout à fait charmante et le lendemain en tenue de sport, portable en main à la recherche du « foutu lippoutou qui est toujours dans le coin mais qui pop jamais ! ». C’est la jeune fille qui, une fois sur le terrain oublie tout du monde extérieur pour se concentrer sur le ballon et uniquement le ballon.

Gyu Ri, c’est la fille dans une classe, que vous voyez de loin. Elle a ses défauts bien entendu, mais elle n’est pas bien méchante. Elle grogne, mord, mais après vous avoir arraché le bras, elle reviendra toujours vous le ramener en agitant la queue, l’air penaude. Il faut juste rire un bon coup, éclater votre voix en poussant des cris et surtout, ne pas vous mettre entre elle et le ballon. Et puis, un café starbuck … vous êtes garantis de l’avoir dans votre poche.