Colérique. Hyojong c’est un enfant de douleur. Il ne cesse de créer de la douleur partout ou il passe, que ce soit pour lui ou pour les autres. Il n’est que colère, rage et douleur. Enfant tempête qui ne contrôle rien, sa colère est à la fois un moyen d’exutoire ainsi que le reflet de sa propre faiblesse. La première victime de ses excès de violence a toujours été Bora. Quand ils étaient enfant aussi bien que maintenant, elle est son œuvre d’art, peinture ecchymoses et hémoglobine. Il prend un malin plaisir à la détruire mentalement et physiquement, ne ressentant aucun remord à la voir sursauter à chaque fois qu’il susurre son prénom ou qu’il la frôle.

Torturé. Hyo c’est un gamin rongé par les regrets de la mort qu’il a provoqué, et l’interdiction d’expié son crime le consume jour après jour. Noyer ce feu dans l’alcool et la drogue lui permet de tenir la distance dans ce monde insensé. Pourtant ses souvenirs détraqués et ses remords insoutenables lui fond petit à petit perdre pied.

Dépendant. Depuis tout petit il compte sur sa mère pour régler tous ses problèmes. Il dépend entièrement de sa génitrice sans se rendre compte que sa dépendance le détruit. Finalement, sa dépendance ne s’arrête pas là, la nicotine, la drogue, l’alcool qu’il consume mais qui le consume en retours en son un bon exemple. Dépendant de ces fêtes luxueuses ou l’argent coulent autant que l’alcool, et l’odeur du sexe et de la clope qui lui colle au corps.

Rongé de l’intérieur. Ses remords le détruisent en même temps que ses cauchemars l’ensevelissent.

Possessif. Depuis sa plus tendre enfance, que ce soit ses joués, ses amis, sa famille, il est très possessif. Et quand ça en vient à ses jouets, c’est encore pire. La possessivité peut se transformer en vrai démence. Et Bora est son jouet favori.

Exubérant. Toutes les réactions de Hyojong ont toujours été marqué d’un trop pleins d’émotions. Trop pleins de colère, trop pleins de remords, trop pleins de violence, trop pleins de jalousie… Sa personnalité, son tout, est un excès.

Inconscient. C’est quand il a pris la route au volant de sa voiture alors qu’il avait bu et que son cerveau planait totalement, c’est quand il bat ce garçon de ses poings au point d’avoir du sang partout sur son t-shirt, c’est quand il force cette fille à boire, boire et boire jusqu’à ce qu’une ambulance l’emmène en pleins coma éthylique que les gens voient son inconscience. Mais peu importe, tant que cette inconscience ne leur tombe pas dessus qui s’en soucie ?

Charismatique. Malgré son corps frêle, cadavre de son train de vie, il dégage un charisme qui entraine les gens à l’approcher tout en le craignant. Comme un feu fascinant qu’on approche et que l’on veut toucher tout en sachant parfaitement que l’on va se bruler.

Hypersensible. Derrière son charisme et son trop pleins de colère, Hyojong c’est un gamin à fleur de peau qui prend tout ce qu’on lui dit comme un reproche. Les mots sont pour lui des armes tranchantes qui entament son épiderme jour après jour. Développant une certaine sociophobie il n’a trouvé comme bouclier que la violence de ses poings.

Schizophrène. Il ne l’est pas totalement mais en a de grande tendance. Il y a cet enfant-tempête en lui, et cet autre enfant blessé qui ne demande qu’a être aimé. Dans certaine de ses crises de démence on peut parfois entrevoir cette double personnalité qui le déchire en deux.

Menteur. Sous son masque de gosse, et son sourire en coin limite moqueur, les mensonges tissent leur toile dans son esprit. Il est devenu professionnel dans la manipulation et ses proches ont parfois du mal à comprendre ou est le faux du vrai et ou se distingue le début d’une vérité à peine dévoilée.

Fuck Boy. Hyojong ne se cache pas d’être un fuck boy coureur de jupon. S’oublier dans les bras doux, la tête collée contre la poitrine chaude d’une jeune femme l’aide à avoir l’affection dont il manque. Cependant ça ne va rarement jamais plus loin qu’une nuit. Les sentiments sont bannis dans son esprit.

Lâche. Mais le mot qui caractérise le plus ce gamin, c’est bien lâche. Trop apeuré pour faire face à ses conneries lui-même, il leur tourne le dos et fuis loin des problèmes en espérant que la culpabilité ne le ronge pas. Du moins pas plus qu’en cet instant.