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Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle)
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| ( #) Sujet: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 21:07 |
MILTON ARIELLE inventé // feat. Bisognin Marzia nom & prénom Milton Arielle âge 25 ans date & lieu de naissance 18 mars, Sacremento CA, USA origines & nationalité Américaine expatriée sur un visa étudiant cursus Sexologie métier Parce qu'il faut bien vivre, elle accumule les usurpations d'identités comme Con Artist situation financière Au bas de l'échelle depuis la perte de sa bourse d'étude. orientation hétéro groupe souhaité Firestone | NAÏVE | OPTIMISTE | FIÈRE | LOYALE |
Abandonnée dès la naissance (et dieu merci, ses géniteurs étant un duo de junky assez mal en point), elle n’a jamais connu ses parents biologiques et n’a aucune intention de les rencontrer un jour, pourquoi leur offrir une seconde chance de la rejeter? ► Elle n’avait pas deux mois lorsqu’un couple aisé de Los Angeles, incapable de concevoir, a décidé de l’adopter. ► En dépit de sa bouille typiquement occidentale, et plus spécifiquement parce que son père d’adoption venait fraichement de quitter sa coréen du sud natale, elle a grandi dans un foyer bercé de culture coréenne et des valeurs plus conservatrices ► Elle parle d’ailleurs couramment coréen, et garde des séquelles profondes des cours qu’elle a dû endurer plus jeune… ça et la messe ► Au moins, le prêtre était mignon… quoi qu’elle ait culpabilisé de fantasmer sur un homme d'église. ► Elle porte le nom de famille de sa mère, Milton, puisqu’il fut convenu qu’un nom américain serait plus simple pour des fins administratives. ► C’est probablement la seule chose qu’il lui reste de sa mère, puisqu’un cancer lui a arraché avant qu’elle n’ait six ans. ► Véritable cordon bleu, elle n’a malheureusement appris que des recettes via son paternel, ce qui explique sans doute son obsession pour les mets coréens ► Elle a rapidement appris à se débrouillée toute seule, refusant d’être un fardeau pour le seul parent qui lui restait, l’angoisse qu’il puisse la trouver chiante, et l’abandonner lui aussi lui tords encore les entrailles à ce jour ► Éduquée par un veuf exerçant le respectable métier de médecin gynécologue, elle a souffert un étrange paradoxe : l’endoctrinée sur la chasteté et l’attente du prince charmant, brouillé par un lot surprenant d’information sur le système reproducteur. ► Le sexe n’ayant jamais été un sujet tabous au domicile des Milton, elle a lot un impressionnant de connaissances douteuses … pour une vierge. Et elle n’hésite pas à les exposer! ► Plutôt naïve, elle aime voir le meilleur chez les gens, et leur donner le bénéfice du doute, peu importe le nombre de fois ou cela lui reviens en pleine gueule ► Allergique à la solitude, elle a un assez grand cercle d’amis, mais aucun dont elle soit vraiment proche. ► Incapable de flirter, elle prend tout au pied de la lettre … l’approcher est en soi un périple, puisqu’elle a une tendance maladive à analyser les gens… diplôme en psychologie oblige. ► Athlète en talons hauts ► Danger au volant. INTELLIGENTE | SARCASTIQUE | ACHARNÉE | MASOCHISTE |
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Parlons qualités, parce que oui, elle en a quelques une. Arielle est foncièrement bonne, d’un altruisme à la limite du masochisme, la moindre histoire larmoyante, faiblesse décelée tant chez un ami qu’un parfait inconnu, et elle fera des pieds et des mains pour aider, même si elle doit compromettre sa propre stabilité en échange, elle donnerait littéralement les vêtements qu’elle porte. Sa générosité est presque maladive, mais c’est assurément la parcelle la plus sincère de sa personne qu’elle laisse fuser, teinte d’une obsession un brin malsaine pour être acceptée... D’un naturel conciliante, un sourire flotte en permanence sur son minois, c’est certainement pour cette raison qu’elle est l’épaule par excellence, pour les confidences ou les crises de larmes, elle a toujours le bon mot pour vos remonter le moral, ou le bon alcool pour vous faire oublier. Lorsqu’il est question des autres, cette sirène urbaine est toujours pleine de solutions, et ne lâche jamais le morceau avant de vous voir tirer d’affaire… on peut appeler cet acharnement de la détermination, et en faire un bon côté… non? Une chose est certaine, elle ne baisse jamais les bras.
Plutôt facile à vivre, elle apparait comme une pétillante créature, positive, énergique, et dotée d’un sourire foncièrement doux, invitant. Toujours prête à donner un coup de main ou à faire la fête, elle n’a jamais vraiment eu de difficulté à s’intégrer, papillonnant d’un cercle d’amis à un autre sans réellement s’y investir. Dotée d’un sens de l’humour polyvalent, elle peut vous choquer un instant avec un sarcasme brutal, et rire de vos pires gags la seconde d’après, qui lui permet de s’intégrer aisément dans un nouvel environnement. Brillante et observatrice, elle connait son publique, et pour la peine, elle est généralement facile à aimer, puisqu’elle trie volontairement les traits qu’elle présente, qu’elle façonne sa personne de manière à être juste assez imparfaite pour être cru, et assez adorable pour ne pas être rejetée. Elle aurait fait une bonne actrice, puisque cet air nunuche et fleur bleu qu’elle se donne est un acte dûment perfectionné ... aux exceptions près de ses moment surexcités bien francs, lorsqu’on aborde son côté geek … ou qu’on la gêne et qu’elle enclenche sa propre autodestruction en déblatérant les pires conneries de son répertoire… un heureux mélange de Star Wars, Catholicisme et d’éducation sexuelle… un cocktail explosif.
Ne s’accordant pas la faiblesse de s’attacher, ses meilleures qualités demeurent inexploitées, comme sa loyauté à toute épreuve, sa persévérance et son instinct tout naturel pour prendre soin des gens qui lui sont chers. Lorsqu’elle s’accroche, pas même une prophétie sur la fin du monde ne pourrait la convaincre d’abandonner, elle aime avec une sélectivité effrayante mais une fois le mécanisme en marche, rien ne l’arrête… Il suffit d’avoir assisté à la parade de greluches qu’a défilées son paternel au cours des deux dernières décennies, et du support inconditionnel qu’elle lui a accordé à chaque fois, en dépit du traitement qu’elle recevait de ces idiotes, pour comprendre l’étendue du problème… Il vaut donc mieux, pour elle, ne jamais s’accorder cette faiblesse-là. Ça ne finit jamais bien. Bien qu’elle collectionne les amitiés superficielles aussi assidument que les paires de chaussures, elle doute qu’une créature sur cette terre la connaisse réellement, puisqu’elle ne laisse pas s’approcher.
La vérité, c’est qu’elle est hantée par la certitude récurrente de n’être suffisante pour personne, de n’avoir rien à offrir, et que dès qu’elle se retrouve seule, l’angoisse d’être abandonnée, laissée pour compte si elle ose saisir une main tendue, demander de l’aide, ou ne serait-ce qu’admettre qu’elle n’est peut-être pas aussi forte, aussi parfaite qu’elle le projette, l’étouffe comme un étau. À quoi bon faire des efforts, s’améliorer, il y aura toujours ces défauts en elle, ces cicatrices émotionnelles qui ne guérirons pas…. Qui rebuteront… et qu’elle refuse de montrer. Alors elle s’arme d’un sourire, d’un masque de plus, et s’emmure dans sa fierté, dans cette personnalité tape à l’œil. C’est une bonne menteuse, au fond.
Peut-être est-ce par lâcheté qu’elle a choisis de s’afficher comme la dernière des idiotes, comme ce genre de conne bubble gum qui crois à la licorne et attends son conte de fée, qui sourit bêtement quoi qu’on puisse lui jeter au visage. Il est plus aisé d’avoir l’air débile, de rire devant les insultes et de feindre l’ignorance, plutôt que d’admettre que certains coups blessent plus que d’autre … Ou même, d’avouer que quelque part, derrière cette approche naïve, il y a une créature désillusionnée, complètement paumée, qui aurait simplement besoin qu’on prenne soin d’elle, qu’on l’accepte… Qu’un fois, dans sa putain de vie, elle puisse se sentir appréciée pour ce qu’elle est vraiment. Mais ça aussi, c’est un rêve niais, et plutôt que d’échouer, elle a abandonné l’idée d’essayer.
S’il y a toutefois une innocence qu’elle ne feint pas, c’est son incapacité sentimentale. Incapable de saisir le moindre sous-entendu, ou d’utiliser les techniques les plus basiques la séduction en dépit de son ouverture d’esprit à faire rougir Hugh Hefner, il n’est étonnant pour personne qu’Arielle soit non seulement une célibataire endurcie, mais une inexpérimentée de haut niveau. Franchement, plus les années défilent, et plus elle redoute de s’approcher trop près d’une crèche dans le temps de Noël … elle ne serait pas le première vierge à finir engrossée par le saint esprit! Mais qu’on lui pardonne, c’est loin d’être par désintérêt qu’elle s’accroche à sa chasteté … voilà, elle n’arrive simplement pas à s’imaginer prendre le risque ultime… s’attacher. Ouvrir son cœur, c’est risquer que l’on ne lui brise, c’est accepter de se montrer vulnérable et ça, sa fierté tout droit arrachée à la jungle, elle le lui refuse.
| surnom Généralement, Ari, quoi qu'il y a eu ce petit chieur au primaire qui l'appelait Fish Girl... signe astrologique poisson (mermaid?) signe chinois coq d'eau (mais merde laissez moi avec l'eau!) animal préféré Les chats. C'est joli, indépendant, chieur et intelligent. Spoiler alert, c'est aussi le genre de mec qu'elle recherche selon son profil tinder... #sendhelp sucré ou salé ? Sucré. Même à son âge, elle grimpe naïvement dans la première van d'un inconnu qui lui promet des friandises, sans poser de question! type idéal On lui a brisé ses rêves, toute jeune, quand on lui a appris que Han Solo était impossible. Non mais... il avait quand même la classe, ce fourbe casanova, ce womanizer criminel, avec sa bête à poil et son sourire de tombeur. Sérieusement, son genre c'est plutôt les mecs avec qui elle n'a aucune chance, comme ça, elle évite le coeur brisé. objet fétiche Une vieille montre brisée qui appartenait à sa mère. Ah et, les condoms que son père lui ordonne de trainer partout. heure préférée Midi, pour la bouffe! permis de conduire Oui run forest, run! rêve Elle pourrait vous en lister une dizaine, tous plus irréalistes les uns que les autres, au fond d'elle, elle s'est résignée à rêver, sans vraiment y croire, pour éviter d'être déçue. famille Parents biologiques : inconnu Mère adoptive : Helen Milton (dédécée) Père adoptif : Choi Min So, médecin gynécologue, père surprotecteur et amateur trop avoué de Disney, elle lui doit son prénom... piercing/tattoo Un abus de percing aux oreilles, rien de plus. style Classique avec une touche excentrique. Fashionista dans l'âme, elle a toujours une tenue soignée, elle y porte beaucoup d'attention. phobie Lui demander, c'est obtenir une citation de Nala ''Le danger? je me ris du danger! Ha Ha Ha.'' au fond d'elle-même, elle a une peur panique d'être rejetée, raison pour laquelle elle ne donne la chance à personne de le faire. toc/manie.s Lorsqu'elle est nerveuse, elle parle, trop. Et généralement, de faits divers encore plus malaisants, genre, son acteur porno préféré. secret Elle en a toute une collection. Que ça soit ses activités criminelles, le fait qu'elle soit fauchée, son innexpérience amoureuse ... ou sa peur panique de l'intimité émotionnelle. couleur préférée rose superstition Non. C'est illogique. menteur ou sincère ? menteur |
REIREI Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins - Gandhalf | Amatrice de cookie made in Canada. Je danse parmis les caribous et je suis accro au chocolat... |
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| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 21:08 |
histoire des chants de guerre depuis je compose, et dans mes airs je te tue en prose ► 1993 ─ Après une grossesse difficile et empoisonnée par des abus de narcotique, une minuscule petite fille prématurée voient le jour dans les bas quartiers de Sacremento Californie, USA. Les parents biologiques, tristement célèbres auprès des services de protection de l’enfance, sont contraints d’abandonner l’enfant qui, miraculeusement, n’aura comme séquelle à l’exception d’une minable petit souffle au cœur sans gravité. Bercée par une bonne étoile, la pouponne sera rapidement adoptée par un couple dans la trentaine, stériles, et en attente d’une réponse des services d’adoption depuis des années… Nul besoin de dire que, tant du côté du père que de la mère, la petite était vue comme une miraculée et, immédiatement adorée, une véritable princesse … ils l’avaient tellement voulus. Si elle n’a aucun souvenir de cette époque, elle a, à tout le moins, la certitude d’avoir été aimée sans retenue.
► 1998 ─ Quoi qu’elle n’en ait compris que des bribes, ça ne lui a pas échappé, que sa mère était malade. Le diagnostic fut soudain, imprévisible, et la finalité rapide … un cancer un pancréas de stade 4, ça ne donne que quelques mois… et Helen Milton, la vie ne lui en a accordé qu’un. Encore aujourd’hui, Arielle est oppressée par les souvenirs brûlants des larmes de parfaits inconnus, de la maison vide et silencieuse, et de l’incapacité chronique de son paternel à la rassurer d’une étreinte… En fait, elle n’a pas souvenir qu’il l’ait jamais consolé après ce jour-là … elle comprendra, avec le temps, qu’il en était tout bonnement incapable.
► 1999 à 2013 ─ Que ça soit de la petite école jusqu’à la fin du ‘’High School’’ conventionnel, la jeune Milton n’a jamais vraiment eu de difficulté à s’intégrer ou à apprendre. Première de classe sans grands efforts, cette façade parfaite, cette intelligence toute innée, lui a permis de dissimuler ses moins bons coups aux yeux de son père surprotecteur. Autant dire qu’après le décès de sa mère, et en dépit du défile de conquêtes que s’enfilait son tuteur, les valeurs conservatrice de son père made in Korea sont revenue au galop. Les mises en garde, les interdictions diverses, ça serait peu mentir que d’avouer que les seules sorties autorisées qu’elle avait, c’était l’église et les cours de coréen. La poisse… Ce qui ne l’a pas empêché de se tisser un grands cercles d’amis, dont elle n’était proche d’aucun, de d’être de toutes les fêtes. Toutes les raisons étaient bonnes, pour ne pas être chez elle, la distance invisible qui régnait entre elle et son paternel, cette maudite maison vide qu’il s’acharnait à conserver inaltérée depuis ’98 l’empoisonnait plus certainement qu’un venin. C’était tout bonnement suffoquant. Sans compter que ce manque affectif avait rompu quelque chose en elle, en avait fait un automate trop habituée à sourire et à raconter des bêtises, de peur qu’au moindre faux pas, on l’abandonne pour de bon.
► 2014 à 2017 ─ Heureusement pour elle, Arielle a toujours su qu’elle souhaitait faire carrière en psychologie, et avec des notes comme les siennes, elle aurait pu étudier n’importe où, seulement voilà, la surprotection dont elle était victime ne lui permis pas de partir plus loin que LA. Si au moins, la vie en dortoir lui donnait l’occasion de se réinventer, l’environnement typiquement américain ne suffisait pas à soulager son esprit… sans compter que visiter le domicile familial mensuellement, pour changer de belle-mère à chaque fois, la tuait… littéralement. Une chose devint certaine dans son esprit : elle ferait sa fichue maitrise outre-mer... et elle avait trois ans pour faire avaler la pilule à son père. C’est dans cet état d’esprit qu’elle regroupa trois idées merdiques dans un même plan merdique… D’abord, obtenir des notes dignes d’une bourse d’étude, histoire d’obtenir un visage d’étudiant ailleurs…. Ensuite, engager un prostitué à saveur bridée – un luxe dans la ville de LA, pour jouer le petit ami parfait à même l’argent de poche illimitée que lui filait son paternel. Finalement, ouvrir la discussion sur un pays attachant : la Corée du sud, et aller jusqu’à pousser l’affront jusqu’à inventer une idylle pour que son père la laisse appliquer sur une maîtrise en sexologie à l’université de Seoul …
► 2018 ─ Ce qu’elle n’avait pas envisagé, avec ce plan génial, c’est qu’on y ajouterait une variable. Si elle fut acceptée sans soucis, tant pour la bourse que l’université, et si son père accéda à son besoin ‘’hormonal – pour le citer’’ de suivre son faux petit ami outres mer, il y imposa la condition qu’elle vive chez son oncle, lui-même domicilié à Seoul … La belle affaire. C’est donc ainsi qu’elle fit ses valises, drapée dans son succès, et emménagea chez sa famille éloignée… Avant de désenchanter … totalement. L’oncle prévenant qu’elle connaissait lors de ses quelques visites annuelles, était en réalité un joueur compulsif, qui ne perdit pas une seconde avant de dérober ses possession pour payer son addiction… Une situation moins qu’idéale, entre les cris de sa tante, et les mecs louches qui venaient sans arrêt cogner chez eux… Autant dire que sa première session ne fut pas de tout repos. L’apogée fut ce soir-là maudit ou, plutôt que de voir son oncle encaisser un coup de plus, elle dépensa 3 années de bourse d’étude, pour régler une portion de sa dette… Une belle connerie.
► Présent ─ Sans un sous, incapable de travailler en raison de son visa d’étudiante… et trop fière pour contacter son père et avouer son échec, la jeune brunette se résigna à vivre une vie un peu moins glorieuse … de criminelle. Ça avait commencé par une carrière avortée en tant que cam girl (en tant que planche à pain, elle n’était que moindrement populaire avec son buste seulement), puis, elle s’était résignée à suivre les conseils d’une de ses nombreuses belles-mères … usurpation d’identité, con artiste… C’était d’autant plus facile qu’elle était une excellente menteuse avec une connaissance un peu trop accru des réseaux sociaux. Il lui suffisait de s’inventer un minois, une vie, et de convaincre des poissons désespérés, à l’autre bout du monde, de tomber sous son charme et de lui envoyer de l’argent… jamais trop, juste assez pour éviter les soupçons… Il faut dire qu’elle aurait espéré rentabiliser son diplôme en psychologie autrement…
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| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 21:14 |
Bienvenue ^^ Hâte de savoir quel genre de perso est ta petite Eun ^^ Bon courage pour finir ta fiche |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 21:21 | | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 22:02 | | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Jeu 3 Jan - 22:53 |
Oooh la jolie Pony :$$ en tout cas bienvenue ici et hâte de voir ce que tu vas en faire amuse toi bien ici |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Ven 4 Jan - 14:46 |
bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Ven 4 Jan - 19:26 |
Merci mes amours. J'ai changé de tête finalement, mais j'espère que vous m'aimerez quand même. Quel accueil |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Ven 4 Jan - 19:50 |
C'est pas grave, t'es belle comme ça aussi :ilu: !! |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Sam 5 Jan - 2:35 |
J'aime beaucoup ton personnage! Je pense qu'elle et mon petit Giho ont quelques similarités au niveau caractère. Je pense qu'ils sont tous les deux plutôt secrets et surtout très "off" en ce qui concerne les sentiments sincères! (Aussi peut être que lui aussi est vierge mais je n'ai pas encore décidé hahaha) j'aimerais beaucoup qu'ils interagissent! Un lien peut être ou alors juste un rp? Dans tous les cas je pense que ça pourrait être intéressant! J'aime aussi beaucoup ton style d'écriture, très captivant! Bienvenue ici et j'espère qu'on va s'y plaire! |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Sam 5 Jan - 2:37 |
@Hwang Gi Ho ~ avec plaisir :) je lis ta fichette et on en parle par mp mon lapin? |
| | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Sam 5 Jan - 2:38 |
Avec grand plaisir |
| STAFF ✺ ‹ 365 SO FRESH ☽ › UNE P'TITE PHOTO ? : AVATAR : Bae Su Ji (Suzy - Actress/Miss A)
POINTS : 0
MESSAGES : 10114
NOUS A REJOINT LE : 05/08/2016
AGE : 26 | ( #) Sujet: Re: Just your usual Disney Princess with a degree in sexology (Arielle) Sam 5 Jan - 15:15 |
JE SUIS LÀÀ sorry pour l'attente sweet lady et bienvenue officiellement par la même occasion, je suis même pas encore passée ici, shame on me :tears: ouiiin alors je plussoie totalement Giho sur ton écriture, et ta Arielle est juste parfaite ? J'adore l'idée de sa petite magouille jppp DU COUP je te valide ma douce faudra qu'on cause lien Félicitations ! Tu as terminé ta fiche et tu es donc validé ! Le jeu commence pour toi dès maintenant ! Mais avant de commencer à RP, il va te falloir remplir quelques paperasse afin d'être en règle et faciliter ton intégration ! Première étape à ton parcours, n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin, afin qu'il soit définitivement lié à ton personnage. Ensuite, direction les relevés de compte pour y poster ce qui te feras office d'activité RP. C'est obligatoire, et bien sûr, tu devras veiller à le maintenir à jour ! Une fois ces petits détails réglés, tu peux te diriger vers les demandes de liens pour y poster ta fiche et trouver tout un tas de potos à ton personnage ! N'hésite pas à passer faire un tout du côté des réclamations, histoire pourquoi pas d'attribuer un dortoir ou un métier à ton personnage ! Si tu es sociable, tu peux te créer un compte Instagram ou Twitter, et même nous laisser ton numéro de téléphone, ou de GSM comme dirait un Belge. Tu peux à présent jouer pleinement sur le forum. N'hésite pas à profiter du Flood et de la Chatbox, nous seront ravis de t'y accueillir. Avec ce message, tu remportes automatiquement une bourse de 200 points. N'oublie pas d'indiquer ce montant dans ton relevé compte lorsque tu l'ouvriras ! Bon jeu sur Hundred Miles ! —SHE'S IN THE RAIN. you wanna hurt yourself, i’ll stay with you. you wanna make yourself go through the pain. it’s better to be held than holding on. we're in the rain |
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