Nom;

Seaghdh
prononcé "Sigda" par les orientaux, il se prononce plutôt "Sig" de là où il vient

Prénom;

Jarund Hatem Julian
de naissance Julian choisi par l'orphelinat; Jarund est le prénom de son père adoptif, Hatem est celui de son grand-père, apposés le jour de son adoption

Surnom;

Ju, Juju, Sig
certains l'appellent Ruliano, le bébé, le Loup, le géant, Julian Solo; vous pouvez également lui donner le nom de n'importe quel Dieu nordique, mais par pitié, jamais Jul

Naissance;

30 mai 1994 à Honningsvåg (22 ans)

Localisation;

Séoul (Corée), à Hongdae

Origines;

Japonaises
(+ d'infos à propos de ses origines)
(+ d'infos sur l'histoire de ses origines)

Cursus scolaire;

Astrophysique, 3ème année
il s'est également engagé dans dans un double-cursus en biologie pour y étudier l'évolution et la paléontologie depuis 2016

Métier;

Chroniqueur radio à la Funkimchi

Situation financière;

Aisé
grâce au soutien de ses parents qui sont chefs d'entreprise

Orientation
sexuelle;

Gay
même s'il vous fait croire qu'il est un coureur de jupons

Situation
amoureuse;

En couple (non officialisé)

Fratrie;

Olbjorn Fenril (frère, non officialisé)

Principales
qualités;

Déterminé, fidèle, jovial, ouvert d'esprit
Il excelle à l'école sans aucun effort

Principaux
défauts;

Maladroit, nonchalant, têtu, tête en l'air
Il a un très mauvais odorat et ne sent jamais rien

Aime;

Ses pôtes, la nourriture, les jeux vidéos
(+ d'infos sur ses goûts dans les annexes)

Aime pas;

La boufffe coréenne, le bruit, l'obscurité
(+ d'infos sur ses goûts dans les annexes)

Taille;

1m85
il aime porter ses airmax compensées de 5cm, comptez donc 1m90

Poids;

Peau;

Yeux;

Cheveux;

noirs
mais il a tendance à se les colorer, les déteindre, les recolorer avec tout un tas d'artifices qui les rendent aujourd'hui sec et en aussi mauvaise santé que lui

Style;

Particularité
physique;

aucune vraiment visible
il possède quelques cicatrices résultant de ses nombreuses chutes, mais rien qu'il expose ouvertement

Gr. sanguin;

Allergie(s);

Aucune

Pathologie(s);

Immunodéficience, myopie
si vous le voyez porter ses lunettes, c'est qu'il est prêt à se lancer dans une partie de League of Legends
(+ d'infos sur sa santé)

Accident(s);

nombreuses chutes
l'une d'elles lui a valu de nombreuses fractures et il en garde une légère fragilité au niveau de l'épaule gauche qu'il ne supporte pas que l'on touche

Phobie(s);

solitude, maladie
(+ d'infos sur ses peurs)

Julian, c'est surement le seul type de la planète à regarder ces chaînes qui passent des documentaires en allemand sous-titrés sur les dinosaures, les ovnis et le triangle des Bermudes. Marginal parmi les gens normaux, il a souvent tendance à se considérer comme normal parmi les marginaux. Un intellectuel aux facilités rageantes et aussi productif qu'une poule pondeuse à la retraite, il ne s'intéresse qu'à ce qui l'intéresse. Ni plus, ni moins. Et ce qui l'intéresse, c'est les trucs de nerd, les trucs de geek; toutes ces choses qui reviennent doucement à la mode et qui le font aujourd'hui passer pour un gros hipster alors qu'en réalité, il a toujours été le genre de casse-burne à prôner le c'était mieux avant.
Soustrayez à ce gamin rachitique cette étiquette d'ado attardé et ennuyeux en cursus scientifique, et vous découvrirez un type qui n'a d'intelligent que sa capacité d'analyse. Il prend le monde sans pincettes, avec un politiquement incorrect faussement dissimulé et un rire aussi stupide que bruyant. Et s'il rit avec une facilité aussi déconcertante que ses couleurs de cheveux, son humour est souvent incompris et d'une utilité douteuse. Et derrière cet enfant rebelle qui envoie valser les mémoires olfactives d'un séjour à l’hôpital à grand coup de airmax bousillées par la flemme d'aller en racheter une paire, son cœur saignant lui triture la poitrine lorsqu'il zyeute son téléphone et constate qu'aucun de ses amis ne l'a notice depuis plus de vingt minutes.
C'est un électron libre aux polarités aussi saillantes que les tendons qui tirent sous sa peau. Ce mioche que vous croyez fort parce qu'il se plaint faussement, parce qu'il n'a pas peur du vide et peut-être aussi parce qu'il a l'air sentimentalement froid et intouchable; il a en réalité la capacité de résilience d'une moule de bouchot et même si son inaccessible austérité vous fait croire le contraire, il ne vous avouera jamais qu'il rêve de ce gros câlin qu'il n'ose pas vous voler.

Il n'est pas tactile, il n'est pas jaloux, il n'est pas affectueux. Il a l'air cool et souriant, un peu lointain et difficilement abordable. Il a l'air intelligent et cultivé, avec un humour lubrique gentiment raisonné et une maladresse attachante.
Non...
Oubliez tout ça.
Il a l'air, ce n'est qu'il a l'air.
Entré dans le cercle très privé de ses fréquentations, c'est un bambin docile malgré ses haut-faits de haute voltige et ses sourires acerbes aux crocs incontrôlables, presque aussi terrifiant que ce type qui parle tout seul au rayon alcool du supermarché. Son amour et sa convoitise, il ne vous les montrera guère, mais son faciès trop expressif et quelques mains au cul trahiront à merveille son envie de vous compter parmi les membres de sa meute; et ce regard illuminé digne d'un dessin-animé japonais avec musique drama-romantique en fond ne définira que les mots doux qu'il est littéralement incapable de cracher sans avoir l'impression de dégurgiter son dernier repas. Ajoutez à cela les capacités intellectuelles d'un mec qui a réussi à tracer sa route dans les tant convoitées filières de sciences et sans aucun doute l'un des meilleurs élèves de sa division, et qui malgré tout, ne place aucune bonne foi en son potentiel. Le travail, ça lui passe par-dessus la tête. Il remercie les dieux de lui avoir accordé une mémoire visuelle digne des dernières lunettes scanner de James Bond, afin que son temps libre puisse être dûment écoulé dans l'écriture quelque peu poétique de deux-trois texto salaces lancés à ses potes qui, eux seuls, comprennent son charabia de norvégo-coréen qui ne cherche qu'à éclaircir ses heures sombres entre deux prises d’anxiolytiques.

Julian est trop grand, trop maigre, trouve difficilement chaussure à son pied et se tripote trop souvent le ventre sous son t-shirt, dévoilant sans le moindre complexe ces abdos inexistants. C'est une brindille, le mec qui fait souvent rager l'auditoire de par sa capacité à ingurgiter des calories qui disparaissent subitement dès le passage dans l’œsophage. Le seul type de la planète qui survit aux fêtes de pâques sans finir en crise de foie; celui qui fini toutes les assiettes de la tablée alors que les camarades de festin gisent langue pendante au-dessus des chiottes en se serrant l'estomac. Et il pourrait aisément s'habiller chez les mioches si ses jambes n'avaient pas inlassablement continué de pousser comme deux troncs de boulot.
Et même s'il n'est pas tellement honteux de son corps, bien qu'il s'accorde à s'auto-juger comme passage, il cache tout son arsenal de défauts (ou appelez ça comme vous voulez) sous des fringues pas du tout assorties et attrapées à la volée dans l'unique espoir de ne pas arriver, encore une fois, en retard à son rendez-vous. S'il pouvait, il traînerait même nu, mais cet affreux garnement sait pertinemment que vous ne pourrez de toutes façons pas détourner votre regard de ses yeux aussi expressifs que ceux d'un chiot enjoué.
Chacun de ses sourires veut dire une chose bien précise; son visage se tort comme celui d'un animal furibond lorsqu'il est en colère et ses sourcils, à la capacité inédite de prendre toutes les poses possibles, pourraient facilement vous communiquer une furieuse envie d'aller pisser. Vous décrypterez vite derrière chacune de ses mimiques faciales une expression, une idée ou simplement un sentiment dont il souhaite vous faire part. Il se tripotera les cheveux pour réfléchir, se grattera l'échine pour se faire tout petit ou mettra une main sur sa gorge pour refréner une dangereuse envie de vous croquer. Et ça, prenez-le dans le sens que vous voulez.