Ne vous attendez pas à une histoire extraordinaire, pleine de rebondissement, de larmes, de tragédies ou quoi que ce soit d’autre. Tout ça, ça ne fait pas parti de la vie de Jae Hwa, ni avant, ni maintenant, ni jamais. Jae Hwa est né d’une union secrète entre un cadre américain et une simple secrétaire coréenne. Ils se sont aimé un soir, alors que l’homme effectuait un court séjour à Busan pour raison professionnelle, et de cette unique nuit naquit un petit garçon dont les traits tiraient bien plus sur ceux de la mère que ceux du père. Ce père qui n’a jamais été trop présent, se contentant d’envoyer 400$ par mois pour se donner bonne conscience et assumer ce qu’il avait lui-même engendré. De temps à autres, lorsqu’il était de retour en Corée du Sud, il venait rendre visite à sa deuxième famille, celle qu’il cachait sans vraiment l’affectionné, se contentant de flatter les envies de la mère et d’offrir quelques jouets à l’enfant.
Jae Hwa comprit bien vite le manège, bien plus vite que sa génitrice. Il avait deviné que cet homme ne se préoccupait pas vraiment d’eux, qu’il tentait de les acheter avec son argent et ses beaux cadeaux, mais qu’il n’était jamais présent pour les choses importantes. Il ne le considéra alors jamais vraiment comme son père, mais plutôt comme l’homme qui l’avait procréé. On ne lui demanda de toute façon pas son avis. Tout ce qu’on exigeait de lui était d’être bon à l’école, d’être assez fort en mathématiques et en coréen pour « faire comme papa ». Mais ça ne l’intéressait pas, de « faire comme papa ». Il ne voulait pas ressembler à cet homme fourbe qui s’appropriait leur maison une fois tous les trois mois, qui lui volait sa mère durant ses courts séjours, et qui, en plus de cela, occupait l’esprit de cette dernière toute l’année. Alors il décida d’être mauvais en mathématiques et de faire des fautes lors des dictées. Il décida de ne plus écouter et d’embêter ses camarades. Pourtant, il était doué. Il était même intelligent, et se passionna dès l’âge de 10 ans pour la poésie et l’écriture. Il lisait souvent, caché sous sa couette ou dans un coin de la cour de récréation, comme si sa passion devait rester un secret. Puis, vers 13 ans, il découvrit la musique, la K-Pop, avec toutes ses stars et ses lumières, ses chorégraphies perfectionnées et ce mélange de chants et de rap qui partageait des lyrics plutôt futiles, pas forcément intelligentes, mais dont la poésie attirait l’attention du garçon. Tout le monde idolâtrait ces stars de la K-Pop, tout le monde les aimait, et c’était tout le contraire d’être cadre. Selon les rumeurs, la plupart des parents voyaient cela comme une honte d’avoir engendré une idole. Alors c’était décidé, il serait idole. Il composerait ses propres musiques pour qu’elles soient un tant soit peu plus percutantes, mais toutes aussi poétiques, que ce qui se faisait déjà. Bien sûr, sa mère refusa cette option. Son père en rit, pensa à un rêve d’enfant. Mais dès qu’il eut l’âge, et à l’aide des économies d’une courte vie, il intégra une agence en tant que trainee. Il fut remarqué pour son talent, sa facilité de mouvements et ses compositions saisissantes, et à 19 ans à peine, on le fit débuter en tant qu’artiste solo. Il gagna bien vite le cœur des fans, avec son visage presque androgynes, à la fois gamin et mature, sa voix si particulière et son flot de parole qui surpassait de loin de nombreux Sunbae.
La suite ? A vous de voir.

❯ Derrière l'écran ; T'as vu le gros titre juste au-dessus ? Bah c'est mon nom   Certains m'ont peut-être déjà vu sur d'autres forums, ça fait en effet presque 4 ans que je me suis perdue dans le monde du RPG   Sinon, comme peut le laisser penser mon avatars, je suis une Baby   Voilà, voilà, c'est tout ce que j'avais dire ... je crois ... Des bisous !  :bbl01:

Et le petit bout de code pour le bottin

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[code]<span class="style1">✗</span> [b]CHOI JUN HONG[/b] (Zelo – B.A.P) ⟫ Lee Jae Hwa[/code]