| ( #) Sujet: BONE ORCHARD Lun 30 Mar 2020 - 13:38 |
| ∷Kwon Tora ft lee taemin ∷ original character |
| ≋ nom prénom ↝ (( 권 - KWON )) identité bafouée, inventée, réalité d'un patronyme inconnu aux consonances germaniques uniquement présumées ; cage aux barreaux rouillés pour une progéniture n'héritant que de la poussière familiale, dénuée de ces espoirs candides. Il ne caresse plus les chimères trompeuses d'une vérité qui ne viendra jamais — préfère se cacher derrière une prétendue liberté de l'imaginaire, le loisir de se créer soi-même, soi seul. Émancipation onirique et vaine. (( 寅 - TORA )) à l'image de la sauvagerie fantaisiste qui l'habite. Créature arborant les traits d'un animal blessé et apeuré, la fuite plutôt que l'affrontement. Survivre. L'humeur féline et changeante qui mène à l’errance, on le vomit sous une pluie d'éclats moirés, foirés. Gamin aux rêves sans lendemain. ≋ âge & date de naissance ↝(( 12.02.1995 )) chrysalide des temps divaguants, transe des années fanées par la fatalité du quart de siècle accepté dans sa beauté déchue ; ça rit au nez d'une jeunesse plus totalement excuse de ses excentricités, ça se chagrine pas vraiment face aux cycles chapardés. Il miroite l'expérience, mais ne dupe personne et surtout pas lui, la maturité effleure à peine le gamin aux airs d'homme. ≋ lieu de naissance & origines ↝ (( KOREA & UK )) dans ses onyx se voile le savant mélange d'une asie perdue et d'une europe étrangère, un père britannique engrossant une jeune en mal d'amour sur les rives de dongsam. Histoire éphémère pour le prix d'un baiser. La réalité a eu tôt fait de rattraper la romance lorsque l'homme une fois repu s'est distrait à ses yeux, repartant dans son Londres natal, laissant à son bon soin le fardeau de neuf mois à venir. Fils de Busan, un Busan poisseux et défiguré, pauvre et croupi, pas de la latitude proprette iode/gratte-ciel des beaux quartiers. ≋ orientation ↝ (( PANSEXUEL )) libéré au cœur éreintant, il en est devenu bohème aux idées frivoles ; risibles idylles toujours fugaces dans leur sincérité désavouées, c'est user des corps désabusés. Tora s'amourache au pluriel pour mieux s'arracher plus tard, amours collectors, amours fast-food mais amours intenses parce qu'il s'abreuve d'un désir avide et capricieux. Aux passions charnelles se mélangent les histoires passionnelles — les yeux ivres de tant d'âmes que les limites se floutent, s'estompent : l'emprisonner dans une relation unique serait angoisse et lassitude. ≋ métier/job ↝ (( PATCHWORK )) volonté abandonnée aux affres de quelques habitudes surannées, le trash à l'état brut — né de rien il ne prétend à rien d'autre. Dénué de ces ambitions édificatrices et factices, import de la misère des caravanes et de la poussière des slums il pratique et prône l'indifférence qui couvre la face effrayante de l'inéluctable Pauvreté. Gamin en pleine déchéance tout apprentissage fut souillé par son absentéisme et ses envies d'ailleurs, étudiant blasé avec un goût affûté pour la musique et absolument rien d'autre : les diplômes n'étaient pas encrés dans le patrimoine génétique. Instabilité chronique. Il enchaîne les jobs alimentaires par nécessité, accroché à son indépendance si durement gagnée ; hier guichetier dans un théâtre miteux demain à faire la plonge dans un resto de quartier. Les liqueurs festives le tiennent éveillé dans les émois nocturnes, barman d'un club échangiste d'Itaewon les cocktails sont troqués à la poussière de l'aube pour la vente, automate animé par les sonorités rétro il carbure à la caféine entre deux clients - Vintage 66 - friperie capharnaüm où ses doigts égarés chapardent eux-même quelques trouvailles abandonnées, râle d'un zénith antique sur des traits fous ((perfecto depuis toujours sur le dos)). Il jongle, Tora, entre le jour et la nuit, fustigeant au sommeil l'amendement d'une routine cauchemardesque. Comme pour tout le reste il ne vit qu'au changement. ≋ situation financière ↝ (( SHALLOWS )) brume alerte qui se dissout aux aurores, il ne lui reste qu'une poignée de billets quand les responsabilités, fourbes et envahissantes, ne lui retire une partie de son gagne-pain avec la violence d'une vague venue s'écraser contre les rochers. Il dépense, parfois sans compter, parfois avec regrets. Fonds de poches constamment vides, les maigres épargnes disparaissent façon éclipse et les douceurs illicites sont privilégiées bien souvent aux denrées alimentaires. ≋ groupe souhaité ↝ (( CITIZENS )) ≋ caractère ↝ distrait & idéaliste ((tantôt déconnecté de ce qui l'entoure)) — insouciant — mélomane — fugace voir instable — sociable (trop) déteste être seul — paradoxalement individualiste — d'une honnêteté parfois déstabilisante — versatile — imaginatif — dispersé — épicurien cachant ses tendances dépressives — cosmopolite, profondément tolérant mais contradictoire : sa capacité à couper ses émotions peut le rendre froid, distant, indélicat — indépendant — on le trouve soit génial, soit suprêmement agaçant. |
ISN'T IT LOVELY, ALL ALONE? HEART MADE OF GLASS, MY MIND OF STONE need a place to hide, but I can't find one near TEAR ME TO PIECES, SKIN TO BONE HELLO, WELCOME HOME | | ≋ surnom ↝ prénom assez court, guère friand de ces fausses marques de familiarités cherchant à souligner une proximité m'as-tu-vu. ≋ signe astrologique ↝ le désir de liberté et la fougue indépendante du verseau, la désinvolture en parure mais l'idéalisme en étendard. ≋ signe chinois ↝ cochon de bois, individu qui ne peut ni mentir aux autres ni se mentir à lui-même, être authentique. ≋ animal fétiche ↝ amoureux des chats ou plutôt du sien, bestiole abandonnée sur un parking, recueillie il y a quatre ans et nommée affectueusement Susanoo en raison de son caractère orageux, territorial et défensif. ≋ permis de conduire ? ↝ pas de thunes pour le passer, il sait conduire mais n'a pas les papiers officiels pour l'attester et s'en passe s'il doit prendre le volant pour ramener des potes éméchés chez eux. ≋ tatoo // piercing ? ↝ les encres parsèment sa peau, réalisées par des tatoueurs clandestins à défaut de se vider les poches dans un véritable salon. Certaines marques qu'il regrette. D'autres non. La plus récente est la date inscrite à l'intérieur de son poignet droit, celle du jour où Sanji l'a emmené pour la première fois à la tanière, et que leur histoire a commencé. ≋ signes distinctifs ↝ souvent en train de fredonner un air, siffloter la tête ailleurs, taper du pied dans une cadence de lui seul connue. ≋ rêve ↝ il a pas le temps de rêver tora, il est trop dans la survie, dans le rush, dans l'instant pour se projeter dans les fantasmes. ≋ addictions ↝ une clope ou un bedot constamment au bec, le papier à rouler devenant presque l'extension de ses doigts. ≋ superstition ↝ le néant. ≋ casier judiciaire ↝ délits mineurs qui s'entassent comme autant d'erreurs de parcours : vol, effraction, délit de fuite, outrage à agent, ébriété sur la voie publique, outrage public à la pudeur, et autres petites souillures qui le font à peine sourciller. Il s'estime chanceux tora de s'en sortir toujours in extremis et d'éviter l’impardonnable. ≋ toc // manies ↝ a tendance à semer ses mediators un peu partout ≋ type idéal ↝ ni de physique ni de genre, tora sombre pour le mystère de l'attraction. ≋ phobie ↝ perdre sa capacité à se réinventer, recommencer, mais la crainte qui lui tord l'estomac est celle de voir ses acouphènes empirer. ≋ objet fétiche ↝ alliance magique désormais à l'index, zippo rouillé dernier vestige d'une âme disparue, et le croquis aux couleurs délavées soigneusement plié dans son porte monnaie, sanji était un plus très sobre quand il le lui a fait mais il le garde toujours avec lui. |
☾☾☾ ciel sans lune mommy issues || trash [tʀaʃ] || nyctophilia || born to roam || property of → no one || [b r o k e n boy] || m・e・s・s || génie bloqué dans le club jusqu'à la fin des temps || can't sleep ||「music on」||ILLUSIONS || « won't be controlled » || stratosphere serenade || you ain't trying hard enough, you ain't loving hard enough || *but first, coffee.* || #catperson || middle of the night || these s-o-u-n-d won't leave me alone. || i got my own back
➳ CRÈVE PEUR my favorite inside source, I'll kiss your open sores Appreciate your concern, tou're gonna stink and burn
I'm not the only one
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୨⎯ “A B I M E S“ ⎯୧ il se souvient des hommes qui s'arrachent à d'affreuses bêtes, des ventres violemment déchiquetés sous la puissances de dettes à éponger furieuses et farouches. Il se rappelle les robes qui, portées par le vent, se laissent bercer dans des ondulations sensuelles et méprisables. Et il les a vu, ces étranges ballets où danse et violence s'épousent parfaitement pour faire naître le dégoût, feindre d'ignorer les tumultes des coïts détestables. La valse de la catin toujours dans une terrible cadence, Tora il se cachait les yeux et le cœur, tirant fort sur la cible à rêves pour qu'elle produise assez de matière à oublie. Futur hypothétique qu'il reconstruisait note par note sur le piano usé de ses mélodies enfantines.
Beaucoup de déni et un peu de poussière — d'un côté du code génital, il y a sa mère, prostituée, dépressive, junkie, peroxydée ou ce que Tora aime appeler ❝ package shitty mom ❞. De l'autre, un trou béant. Les frustrations causées par l'abandon d'un géniteur qui toutefois demeure presque plus charitable dans son inexistence. A la haine se mêlait une tendresse inavouable, un désir d'importance étouffé dans l’œuf tant sa réalisation semblait chimérique.
Il le nie, mais dans le fond, cette origine, il la revendique. Cette origine le place à part. Lui donne une raison valide pour le fait qu'il ait tant de mal à s'adapter. Il s'est créé toute une foutue identité sur base de sa misère natale - le crime, la fournaise, le mystique, les putains. Terrifié à l'idée d'y remettre un jour les pieds. Il a peur que la caravane ne soit plus aussi dévastée et cruelle qu'il s'en souvient. Il voudrait pas avoir à affronter les réelles raisons pour lesquelles il est lui-même si fucked up, il ne voudrait pas s'apercevoir que ça n'a rien de géographique.
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୨⎯ “M A E S T R O“ ⎯୧ Tora il a créé son propre microcosme. Musique libératrice des a b y s s e s, son épicentre bouillonnant, en cercles concentriques jusqu'à la ligne d'horizon. Plus que rempart les mélodies se sont faites messie. Aussi primordiales que la gravité, son monde est pris dans ce champ lyrique et danse en orbite autour de lui. Son univers, il l'a toujours préféré aérien. Ses variations, troubles.
Autodidacte touchant très tôt à la guitare sèche puis électrique son instrument fétiche reste le piano, ses doigts qui dévalent les touches, ultime refuge. Derrière une partition, il peut tout exprimer, laisser couler ces sentiments qu'il a parfois du mal à énoncer : journal intime audio.
Fuite à Séoul portée par l'euphorie-folle des possibilités ; il a enfilé son costume d’Euterpe pour danser sous les louanges, on lui promettait un grand avenir (ou peut-être se l'est-il imaginé seul ? dans l'ombre des rêves brisés), félicitant ses mélopées et ses arpèges. Il s’est avéré que de fascination il n'était qu’objet de convoitise à ranger dans un coffre à malices aussitôt le talent consommé, expédié bien vite, d’unique il se voit réinventé flou. Utilisé. Cédant ses compositions aux géants de l'industrie musicale pour une poignée d'étoiles — il se fiche bien de la reconnaissance, les aspirations autrement plus réalistes que glorieuses, il s'émeut silencieusement de ses airs résonnant tantôt à la radio - it's mine - chuchotis calmant la céphalée qui chaque fois le guette à la vente de ses comètes précieuses. Le copyright absent mais les maigres revenus empochés.
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୨⎯ “SANS R É P I T“ ⎯୧
toujours ce même sifflement et dans mes insomnies j'en pleure c'est comme un nouveau deuil à faire, celui du silence il l'entend, toujours inlassablement comme un serpent qui glisse silencieusement pour venir déchiqueter les chaires de ses crochets. Elle est douloureuse dans sa fatalité, la réalité du diagnostic, et qui dure qui dure, se diffuse parfois avant d'espérer qu'elle ne s'estompe sans jamais disparaître. Balafre des nuits difficiles, éclatées, entre deux ou trois tâches de bonheur. Des piques comme des astres consumés tatoués dans sa tête qui lui rappellent sans cesse en ce sifflement sourd que la quiétude n'est qu'une question de silence. Son deuil d'abord. Puis celui du sommeil.
Victime de lui-même. Parce qu'il l'entend, point de pause ni d'échappatoire de sa propre conscience ; ça résonne fort dans sa caboche, à l'intérieur de ses pensées qui s'entremêlent et lorsqu'enfin elles s'arrêtent le bruit lui demeure éternel.
Il l'entend, ses poils se dressent quand la solitude frappe, que le son palpite dans son oreille. Il sent l'angoisse qui lui court la cage thoracique. Compagnons réprimés de ces dernières années répondant au doux nom d’acouphènes — terribles ennemis insaisissables et traîtres. Impuissant face à leurs assauts, les sautes d'humeur se manifestent, allégresse fragmentée en plein vol, il fut en proie au désespoir, prêt à la reddition ; phases dépressives repoussées jusqu'à les contrôler. Visage sombre d'une période révolue, il s'en tapait la tête contre les murs pour trouver le repos.
j'l'entends, c'est un cauchemar, je pense ce même bruit, j'en peux plus, il me tue, encore lui la fatalité nous rend invisibles — il se laisse porter par les insomnies, les aléas qui, comme la houle, s'abattent avec force, emportée par la furieuse envie de l'engloutir, le noyer, l'attirer vers les profondeurs sombres dont on ne s'extirpe jamais. Il n'a pas de pouvoir. Il subit, simplement, avec l'ultime conviction que l'étoile sous laquelle il a pu voir le jour s'est consumée plus rapidement que celle du voisin, manque de chance.
sans relâche sans retour sans rémission
et si le jour ne vient pas dans la nuit des perdus
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୨⎯ “N O C E S SOMBRES“ ⎯୧ Elles ne s'effleuraient plus, ne s'embrassaient plus, les douces paumes qui, d'habitude, glissaient l'une contre l'autre avec la furieuse envie de ne jamais se détacher. Elles étaient seules, trop froides, immobiles. Les draps ne flottaient plus les nuits d'ivresses. Les esquisses de bonheur s'étaient doucement éteintes pour n'y laisser que l'obscurité, violente tigresse. Les murs semblaient bien trop hauts, le vide éternel, la haine infinie. Les sourires, comme de petites flammes vacillantes ne brillaient plus, ils s'étaient consumés, étouffés par la noirceur du monde, de l'univers, de l'abandon. Elle n'était plus à lui, il n'était plus à elle. L'avaient-ils un jour réellement été ?
Nymphe de ses aubes, requiem de ses nuits — elle était tout ; et tora il aurait voulu, tellement voulu, que ça marche. Il se pensait capable de l'impossible pour elle, d’effriter des copeaux de vénus pour pailleter ses paupières, d'ignorer le sifflement désastre qui baille pourtant toujours à son oreille, de traverser les océans pour la rejoindre de l'autre côté du monde. Mais ça n'a pas suffit. hard truth : you cannot change things by loving them harder.
Il ne voulait pas le voir, ne s'en rendait pas vraiment compte, mais Soomin, c'était la fumée toxique qui imprégnait les poumons et son myocarde avec ses excès de folie, ses cataclysmes intérieurs, sa tendresse meurtrière. Ils se tuaient, à petit feu, avec une passion dévorante mais il ne pouvait pas s'arracher à elle ; chérissant leurs trop rares répits de bonheur, ces éclats comme des fragments d'éden qui vous effleurent et vous apaisent. Et puis, elle est partie.
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୨⎯ “LA M E U T E“ ⎯୧ Loups solitaires réunis sous une même bannière ; animaux sauvages qui se détachent pourtant lucioles de ses enfers — elles scintillent intensément rongées par la pesante solitude et, plantent leurs crocs dans les charognes balancées à leur suite, des sans-papiers, des sans-amours, des sans-avenir : bande de chiens galeux muant société secrète des enragés. Ça rêve grand, fort, ça se débat contre un destin cabossé qu'ils refusent d'ériger identité.
Avec eux c'est tuer les kilomètres, c'est fuir les calamités, les écraser, les ignorer, c'est d'être libre de vivre, de mourir, d'être ici ou là-bas, c'est d'être soi. Avant eux y'avait r i e n. Il déchirait la nuit dans un vide absolu, se contentait de s'oublier, et ne tenait que sur une illusion de pacotille. Tout plutôt que de tremper ses mains dans le cambouis de la réalité. Depuis eux y'a l'espoir. Ils l'évincent de ses pernicieuses abîmes, constellent ses nuits minées par le manque ; Sanji qui le tire de l'éternité de son halo fébrile, il vacille mais jamais ne s'efface se mêlant à son propre clair-obscur pour ne former qu'un prisme commun. Même Yoko, autrefois si menaçante, si guerrière derrière ses souffles acides a pris des allures de mélodie fluette et légère, imprégnant son univers de certitudes optimistes ; le cœur autrefois opprimé par la méfiance est désormais gonflé par ce sentiment nouveau, celui d'appartenir à quelque chose de tangible, de réel, de vrai. Il se sait attendu tora. Quand il disparaissait, personne ne le voyait et il s'est fait à l'idée d'incarner ce zéphyr du temps. Aujourd'hui y'a eux.
Ils le voient. Et lui aussi, les voit. Tous. Distinctement. Il ne pourra plus jamais refermer ses yeux, sur eux.
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୨⎯ “V A P E S“ ⎯୧ il donne pas dans les drogues dures tora, la dernière fois qu'on lui a proposé un rail, il a soufflé dessus. Trop peur, de ne plus se reconnaître. Il est pas aveugle cependant, il la voit bien sa propre hypocrisie, cracher sur les lubrifiants sociaux en descendant son quatrième shot de tequila et fumant son sixième joint. Pour ceux qui sont sensibles à la différence, c'est visible comme le nez au milieu du visage : tora tire sur la corde de plus en plus. Vodka, weed, gin, tequila ce qui était avant sa limite est désormais son ticket d'entrée.
Souvent en société, toujours accompagné, dans la masse des yeux vitreux, par comparaison, on le penserait clean. Il donne le change, après tout, ouais sa génitrice est camée, ouais, telle mère tel fils, le raccourci est tentant. Sauf qu'il ne fait pas dans les addictions, il n'a pas ce gène-là. Rien chez lui n'est nécessité, tout est choix, et c'est peut-être là le pire.
| ≋ pseudo ↝ CAP DIAMANT aka tête de maïs ≋ f / m ↝ lg noir ≋ présence ↝ collante ≋ qu'est-ce qui t'amène ? ↝ le plaisir du dispersement ≋ nombre de mots ↝ plouf ≋ région/pays ↝ lune ≋ more ↝ il est actuellement 05:59 au moment où je fais mon aes, mes horaires c'est une catastrophe akdjkjhf offrez du lov à totoro il viendra jouer de l'harmonica sous vos fenêtres (oui c'est un instrument sous-côté keskiya) il a besoin de poto dumbs & irresponsables comme lui pour faire des soirées scrabble pendant le confinement |
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