Lotus qui émerveille les songes de ces âmes damnées à jamais, beauté d’un monde inexploré ( Ren ) alors que la douceur de l’enfant vient hanter les esprits pour toujours, le souffle discret, car l’existence est presque timide.

Complexité de la ( vierge ) qui domine dans les veines du garçon, angoisses presque naturelles, ce besoin de contrôle alors que l’âme ne cherche qu’à se protéger lui-même.

Fragilité du ( lapin ) pourtant si rusé, curiosité qui dévore son âme et qui découle de ces yeux où tout l’univers pourrait s’y refléter, mais ne brille qu’une nuit dépourvue d’étoiles. L'animal bien silencieux, l’esprit calme et paisible qui repose toujours en paix.

Solitaire félin, indépendance qui rendrait fou n’importe qui ( chat ), amour bien basique pour l’animal qui ne l’a jamais quitté, ô lui qui garde tant de ses secrets, et qui s’est vu essuyer bien des larmes lorsque l’aube se levait lentement sur la capitale coréenne.

Carcasse qu’il possède, mais qu’il n’ose jamais conduire, envie inexistante alors que le besoin ne s’est jamais créé en son sein. ( Obtenu ) préférant de loin les transports.

Peau immaculée de l’encre pécheresse, fantaisies qui ne marqueront sûrement jamais la peau encore candide de l’enfant. ( Boucles ) qui pendent, brillent sous les rayons du soleil pour sublimer le joli minois qui s’offre à l’univers alors que les ( piercings ) se font rebelles sur le cartilage maltraité par les divines aiguilles.

Beauté presque légendaire, presque trop froide pour être apprivoisée, et il y a le ( regard ) qui s’encre dans les esprits, si sauvage, gamin aux orbes fatals.

On ne recollera plus les morceaux, de cette famille qui a éclaté, alors qu’il a tant rêvé que leur destin soit ( ensemble ). Souvenirs éparpillés dans les méandres du temps, et maintenant, tout sépare les cœurs que l’on peine à reconstituer.

Nécrosante ( solitude ), pourtant, c’est qu’il y trouve bien des repères dans l’isolement trop vital pour être négligé. Bulle que personne ne peut briser, monde qu’il s’est lui-même construit dans le plus grand des secrets.

La leçon est apprise, ne plus croire en ( rien ), pas même en l’amour bien trop destructeur.

( Vide ) de ces méfaits qu’il n’a jamais osé commettre.

Le voilà, le gamin qui veille au grain pour cette famille salvatrice, la peur que les cœurs se brisent avec fracas. ( Contrôle ) qu’il veut maintenir, car c’est bien là pour ce qui lui permet de respirer là où le souffle s’essouffle.

Et c’est qu’il peine à y croire, en l’amour qui n’éclate pas les myocardes, c’est qu’il peine à en rêver de cette personne qui viendra sublimer l’innocence, ( ange ) qui fera renaître l’amour candide en son sein.

Démon qui colle à la peau et qui empoisonne les vies ( infidélité ), luxure qui dégouline de ces doigts où la noirceur s’est tatouée, celle qui souille les peaux nacrées de ces pauvres victimes.

Douceur d’une enfance qui peine à s’effacer, visage angélique pour celui qui change à contre cœur ( peluche ) mais qui garde en lui, toute l’innocence du passé aux effluves sucrées et fleuries.