⊱ hundred miles c'est un forum réel asiatiquecity/universitaire basé à Séoul — une réponse par mois minimum — Avatars occidentaux bienvenus ! — Taille des avatars 200*320px — Une semaine pour finir sa présentation — Pas de prise de tête, rien que du love. That's all folks ٩(^ᴗ^)۶
BAI, héritage chinois d’une mère abonnée aux conquêtes, inconsciences maternelles quand vient l’heure d’assumer une famille bien trop nombreuse. JUNYU, belle pluie, comme une prémonition, signe d’un destin incongru d’un destin farceur.
âge
VINGT ANS, plus un enfant, pas encore un adulte, gamin naviguant dans des flots inconnus et dans la tête une enfance encore toute fraîche.
date & lieu de naissance
né le 3 JUIN 1998, gémeaux dont il ne partage aucun trait de caractère. PEKIN, berceau de son enfance, pays aux relents de désespoirs quand venait le temps de se cacher.
origines & nationalité
CHINOIS et uniquement chinois, origines pourtant partiellement inconnues, père disparu qui n’a jamais donné signe de vie.
cursus
COREEN – CHINOIS, deux langues qu’il ne maîtrise pas totalement, toute un univers à découvrir, à explorer. éternel cancre ayant redoublé, toujours en première année et des lacunes impossibles à surmonter.
métier
adepte des PETITS BOULOTS, travaillant parfois d’arrache-pied pour un salaire de misère, paiement au noir dans l’illégalité la plus totale. gamin écume collèges et lycées, parfois les couloirs de l’université, pour y VENDRE devoirs et fausses corrections d’examens, profitant allègrement de ce système corrompu prônant l’intelligence. et les LARCINS qui s’accroissent avec le temps, petits délits prenant de plus en plus d’importance, quand il en vient à arnaquer et voler touristes et inconscients.
situation financière
PAUVRE, argent gagné si vite dépensé, la maison en ruine, à peine finie, les dettes qui s’accumulent et les factures aussi.
orientation
HÉTÉROSEXUEL, ignorance teintée de dégoût pour le même genre, inconscient de ce monde qui l’entoure, monde qui s’offre à lui – la volonté de soutenir noam quand pourtant la société le forge un peu plus chaque jour, teintant ses pensées d'un relent d'homophobie.
groupe souhaité
j’vais rester où j’suis !
BOUFFON
PLAISANTIN
INCONSCIENT
SUIVEUR
songes peuplés de cauchemars au goût amer, incapacité viscérale à les dissocier de la réalité, la panique fait vibrer son coeur quand ses paupières s'ouvrent enfin ☽ errances nocturnes remplissent les nuits de l'insomniaque, solitude artificielle comblée par la cacophonie des rues malfamées, quand il n'attend que le retour du soleil et les bruits d'une ville qui se réveille ☽ soleil et chlore sur sa peau, parfum des fraises ou du savon, odorat délicieusement excité ☽ paysages se floutent sous son regard trouble, myopie pourrait être si vite occultée, si seulement il avait les moyens de s'acheter des lunettes ☽ enfant des traumatismes, peu lui tord le ventre à la moindre seconde, et la sensation de l'eau s'engouffrant dans ses poumon, noyant ses cris ☽ problèmes sociaux détectés à son arrivée en corée, gamin n'a pas l'habitude de se faire des amis, gamin ne sait pas se faire des amis, n'a toujours connu que ceux résidaient dans ses rêves d'enfants ☽ pourtant prêt à tout pour ceux qu'il aime, pour celle qu'il aime, capable des pires folies, quand le coeur s'en mêle ☽ gamin pas très futé, problèmes de mémorisation traînés comme des boulets, a pourtant réussi à apprendre à danser, les as peu gracieux, pourtant appliqués, afin de l’impressionner elle ☽ gentil enfant rend services pour quelques billets, encre gravée sur la peau d'une main experte ☽ méchant enfant, coeur déchiré par la peine, gamin métamorphosé, enchaîne les méfaits pour pouvoir enfin oublier ☽ et cette mère cruelle, si cruelle, partenaire de sa déchéance, les histoires effrayantes mêlant superstition et réalité, pour décourager l'opposition ☽ cicatrice gravant un croissant de lune sur sa hanche, tâche de naissance en forme de coeur au-dessus du coude, et les poignets parsemés de traces blanchâtres, symbole de son combat pour exister ☽ et au fond, tout au fond, le sentiment qu'il n'aurait jamais dû exister.
HYPERSENSIBLE
INSECURE
DISCRET
SELF DESTRUCTIVE
lève la tête
sourire simplet aux lèvres, regard perdu, l'impression d'être là mais pas totalement, d'être à la fois là et à la fois ailleurs, déconnecté de la réalité, la tête plongée dans son propre monde - il est pas très futé ce type, il a clairement pas inventé l'eau chaude. plaisanteries coulent le long de la gorge, rires déployés, toujours une pitrerie à faire, cherche les acclamations pour ensuite se couler dans l'ombre des plus grands. il comprend pas junyu, il comprend rien junyu, surtout pas les insultes, surtout pas les moqueries, après tout il en rigole alors c'est pas grave si ? dans sa tête tournent et retournent les mots durs, mots tranchants, plaies à vif, impossible à refermer puisqu'elles ne sont que mentales - mais s'il n'est pas physiquement blessé alors c'est pas grave...
si ?
peur constante, peur de tout, peur dissimulée sous les sourires et les rires, enfant des traumas ne passe que pour un faible d'esprit, un fragile, même s'il fait le grand, même s'il fait le fier - ce ne sont que tes tremblements qu'ils voient, quand il enchaîne les insomnies, images cauchemardesques imprimées sur la rétine, relents de sang et de morts, restent résolument dans sa tête, mots incapables de franchir la barrière de ses lèvres, larmes ne quittent pas le réconfort de ses yeux. s'il a toujours l'air mal à l'aise devant les poupées, refuse fermement d'apprendre à nager, ce n'est que parce qu'il est idiot, non ? réputation peu reluisante cache un coeur malmené, pensées fourbes tourbillonnant dans sa tête, valse sans fin et lui qui perd le souffle - valse incessante et lui qui perd la tête, sentiments impossibles à effacer, émotivité exacerbée, gamin se heurte à cette sensibilité qui lui est propre, sensibilité malsaine l'empêche de voir la réalité du monde, lui fait imaginer mille et un maux quand la paranoïa se mêle à ses mots. et au fond, la seule impression d'être seul ; seul au monde, les autres impossibles à rejoindre. il se confie jamais junyu, mais c'est juste parce qu'il a rien à confier...
non ?
pose cette arme
lettres de sang gravées dans la peau, sourire extatique quand sa survie ne tient plus qu'à un fil, relié sur la terre par l'adrénaline coulant brusquement dans ses veines, sentiment libérateur l'empêche de sombrer définitivement, rayon de soleil arraché à coup de griffes. havre de paix, refuse d'en ressortir un jour, et les larcins qui se multiplient, actes démesurés, actes inconscients le rapprochent sans cesse un peu plus de sa fin - seul moyen pourtant pour changer, pour grandir et peut-être un jour pour mourir.
(( mais t'es en vie ))
surnom
jun, juny, yuyu - toi là, crétin aussi, quand on ne se contente pas de le siffler comme un chien
signe astrologique
gémeaux, lié à l'Air, aux choses de l'esprit, cruelle ironie
signe chinois
symbolique importante pour le gamin, tigre de terre élevé au rang d'animal totem ne lui ressemble pourtant pas
animal préféré
le léopard des neiges, curieuse attirance pour cet animal si mystérieux ; les chiens, fidèles compagnons, capables de réchauffer son cœur glacé
sucré ou salé ?
sucré, plaisirs coupables ravissent ses papilles, étoiles dans les yeux, sourires béat aux lèvres
type idéal
fille gentille, fille douce, caresses au bout des doigts, voix apaisantes et sourire d'ange - fille de libertés, véritable courant d'air, si ce n'est saera, alors ce sera personne
objet fétiche
médaille précieusement cachée sous ses vêtements, contact prolongé contre son coeur ; visage gravé d'un léopard des neiges sur une face, son prénom joint au sien sur l'autre, comme une promesse devenue obsession
heure préférée
neuf heures, quand le monde commence à émerger, les rues à s'animer, quand tout reprend vie, qu'il cesse enfin d'être seul
permis de conduire
non
rêve
être heureux gamin naïf croyant secrètement à une happy ending, se couler à nouveau dans ses bras, retrouver le sourire enchanteur - et puis être riche
famille
trop nombreuse
piercing/tattoo
poing serré, symbole de tous ses rêves, souvenir à ne jamais oublier
style
anciens vêtements de ses frères, parfois de son oncle,tout est trop grand, tout est trop large, rapiécé, émietté, gamin nage dans des fripes qui ne lui plaisent pas, se laisse parfois tenter par des vêtements d'occasion
phobie
peur de l'enfermement, de la foule, de la solitude, de l'abandon, du vide, des fonds marins, des poupées, finira probablement par avoir peur de son ombre
toc/manie.s
geste instinctif, tourne et retourne sa médaille, quand les battements de son coeur deviennent trop dur à gérer, le regard baissé et les lèvres dévorés quand c'est la peur qui envahit son système
secret
chinois illégalement arrivé sur le territoire coréen, histoire peuplées de mensonges, toiles de secrets accrochés au plafond
couleur préférée
orange, synonyme de chaleur, de réconfort, sourires aux lèvres
superstition
gosse superstitieux prudent devant les miroirs, n'ouvre jamais de parapluie à l'intérieur, évite les échelle et les chats noirs, respecte les morts pour ne jamais s'attirer leurs courroux - peur chaque mot de sa mère our une vérité absolue, gamin vit dans la peur du karma
menteur ou sincère ?
vie de mensonges, refuse de laisser les autres découvrir son véritable lui, pourtant sincère dans le fond de son coeur, sentiments incapables de mentir
PAMPERIKA
paris ne veut plus rien dire si je dois la conquérir sans toi
i'm back alice, 22 ans, en train de finir ses études, promet de prendre soin de son bébé pour toujours
des chants de guerre depuis je compose, et dans mes airs je te tue en prose
- junyu, tu te rappelles de c’que je t’ai dit l’autre jour ? - … - junyu ? - oui maman. (elle a le regard sévère, maman, et junyu les yeux baissés.) - alors tu y vas. et sans un bruit. - mais ma- - sans un bruit j’ai dit. pas doux comme du velours, frottement. et puis le plancher qui se referme sur le regard paniqué du gamin.
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- lishui, on va où ? - ailleurs. - mais c’est où ailleurs ? - quelque part où on sera en sécurité. - plus de plancher ? - non, plus de plancher. les doigts viennent se perdre dans la chevelure du gamin. pour toute réponse, un sourire.
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- prends ces papiers junyu. à partir de maintenant on vivra en corée. tu ne peux parler à personne du voyage d’accord ? ces papiers, on les a obtenu légalement. tu te fais discret et tu racontes à personne ce qui s’est passé en chine. c’est compris ? - mais ma- - C’EST COMPRIS ? (elle hurle maman, les yeux révulsés, regard accusateur et il a peur, junyu.) - lishui avait dit plus de plancher… - qu’est-ce que tu racontes ? - j’ai compris maman. et il sourit le gosse, se veut rassurant. mais dans son coeur elle reprend de plus belle, la pluie, tempête déchaînée.
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- salut ! - salut. - tu fais quoi ? - ça s'voit pas ? - euh... non... - j'bosse. - j'peux bosser avec toi ? (hésitation devant le soupir, coeur serré par la peur du rejet.) - si tu veux. - tu bosses quoi ? - t'es lourd junyu. et la respiration qui s'arrête, gosse devenu statue de cire. les pensées qui s'embrouillent et se brouillent dans sa tête, quand son propre corps menace de l'étouffer.
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- saera, tu veux danser ? - j'ai cru que tu me le proposerais jamais. (sourire, si beau sourire, illumine les prunelle de junyu.) - je... danse bien ? - oui. (silence soudain, adolescents bercés par leurs respirations, pas rythmés par la musique.) - en vrai, je pensais même pas que tu savais danser. - j'ai appris... pour toi. (elle rigole et puis s'arrête, soudainement.) - saera, tu veux sortir avec moi ? - oui. et le coeur du gamin qui s'arrête. puis les papillons se déchaînent dans son estomac, battements d'ailes effrénés.
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- je veux plus que tu m'approches d'accord ? tu m'étouffes. je peux pas te donner c'que tu veux. - mais je... je vais changer. - tu peux pas, junyu. c'est trop tard. - je t'aime. - et moi pas. - pars pas. mais elle s'en va et il la regarde. ce soir-là, pour la première fois, le sang perle sur sa peau.
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- junyu ? je suis désolée. j'ai menti. je t'aime toujours.
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- madame ? saera est pas là et... vous savez où elle est ? (pourquoi elle a l'air si désolée, la maman de saera ?) - elle est partie, junyu. elle est passée récupérer ses affaires tôt ce matin. - où ? (coeur glacé, les mots peinent à sortir) - je... peux pas te dire. et c'est comme si tout son monde s'effondrait. gamin engloutit dans le néant, rêves et espoirs teintés de rouge.
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- yo junyu, on va à une fête, tu viens ? - j'arrive !
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- on m'a dit que tu... - mathématiques ? sciences ? littératures ? anglais ? - mathématiques. - ça marche. 25 000 wons. - d'accord.
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- salut junyu ! aujourd'hui on sèche la fac, le frère de dong sun a ramené du saké. - j'arrive !
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- t'es con junjun ! - hahahaha. (et il rigole, et ils rigolent - mais dans son coeur, elle a jamais cessé, la pluie.)
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- sae... ra ? (vision divine, étincelle dans les yeux, les cheveux roses négligemment balancé sur l'épaule pâle.) - junyu, c'est toi ? aaah, ça fait plaisir de te revoir ! - t'es rentrée quand ? - la semaine dernière. - pourquoi tu... - écoute, junyu, j'ai des choses à faire, on s'appelle ? elle sourit - il l'imite. mais elle l'appelle pas, et lui n'ose pas.
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- je sais pas c'que tu penses junyu mais toi et moi c'est fini d'accord ? et ça reviendra pas. j'ai... beaucoup réfléchi. et j'peux pas. nous deux, j'peux pas. - même si je... - oui. même si. elle a réponse à tout, gamine de lumière. et à chacun de ses mots, elle l'entraîne un peu plus vers le néant.
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- hé junyu, tu grimpes ? (et il grimpe, junyu, gamin naïf entraîné dans une course effrénée.) - elle est à qui la voiture ? (rires gras et clins d'oeils.) - aucune idée. sûrement un ptit riche. mais on s'en fout. j'ai appris que ta meuf, elle voulait plus de toi ? - c'est pas ma meuf. - c'est parce que t'es un fragile qu'elle veut plus de toi. - j'suis pas un fragile ! - bah prouve-le. et il le prouve, gamin inconscient, essaie tout du moins. début d'une longue liste de forfaits, commencement de la spirale infernale.
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mais dis papa, tu crois que si j'arrive à l’impressionner, elle reviendra ? et dis papa, si elle revient enfin, est-ce que j'arrêterai de crever ?
CE DEBUT DE REBOOT :sobs: :sobs: Il est parfait et j'aime toujours autant Junyu Je vais stalker de près, je vais surement reposter pour commenter parce que voilà ; il le faut et ta plume le mérite trop (elle est toujours aussi incroyable) :03: du courage pour la rédaction de ta fiiiiche
je suis mais refaite que tu reboot junyu, je sais pas si tu te souviens mais j’ai tellement un gros cdc pour lui
j'espère sincèrement qu’on puisse se trouver un lien cette fois, et ta plume ahhhh mama, j’ai trop hâte de lire la suite bon courage pour le reste, je vais suivre tout ça de près :ouin:
@min romee aaaahhhh t'es trop cute j'espère que la suite/fin te plaira alors hein parce que hein voilà tu vois c'que j'veux dire? bien merci beaucoup ça me fait grave plaisir t'imagines pas
@oh armel mais voilà omggggggg j'me suis jamais remise de ça d'ailleurs tu le sais?? genre wow junyu mérite pas tant d'amour t'es trop adorable toi aussi merci bcp genre vraiment beaucoup beaucoup beaucoup
PDDDDDDDD IS BACK OMG >:c Toujours un style aussi magnifique et touchant jpp, et j'me rends compte que c'est un outrage plus énormissime qu'une armée de bolcheviks qu'on ait jamais RP ensemble, t'as tellement la plume d'un petit poète qui ressent tout très fort, et très bien IM A FAN ONCE AGAIN BAI JUNYU DEPP !!!!!!!!! Il a l'regard qui tuuuuuue Re-bienvenue ptit Aliçon pas sage Troooop contente de te revoir parmi nous, tu quittes plus sinon j'te fracasse à l'aide de ma babouche tueuse d'hérétiques
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Han Soo Yun a écrit:
J'savais qu'on allait la sortir et j'aurais du parier sur toi, le roi des vannes pourries.
@han ja I'M SO SORRY PDDDDDDDD genre vraiment désolée d'avoir disparu (j'voulais faire un long pavé de larmes sur mon abs mais j'ai été prise (lol) par le temps...) mais t'es trop trop adorable mais genre wtf dude t'as vu ton écriture à toi??? (en vrai on a eu un rp tsais sur les cours de chinois jppppppppp MAIS CT N'IMP + j'oublierai jamais nos sms blagues sur les portugais....) il a le regard qui tue tchikhanja ouais ton message me touche trop trop trop, c'moi qui suis fan de toi (+ j'attends la babouche quand tu veux bb)
ET ET ET ET ET ET jsais que j'aurais déjà dû finir ma fiche mais j'ai eu ma soutenance ce matin donc bof de temps + là j'm'apprête à fêter ça comme il se doit et kiffer mon temps les prochains jours donc pas bcp de temps pour la fiche j'peux avoir un délai d'une semaine svp mes amours?
ps, si qn est chaud pour écrire mes anecdotes, tu peux mrci